Observer cette fille (mort sûre d’amours)
2 juil 2020 par vincent
Somptueuse Déesse.
Désirs, érotisme, tu es Poétesse.
Sulfureuses Hôtesse.
À tes seins, à tes fesses, je me confesse.
Dans mes rêves les plus intimes tu es la promesse.
Attrayante tourterelle aux enivrants supplices.
Délice de l’Éden enflammant mes plus jolis caprices.
Traverser l’enfer aux mille charmes.
Parcourant ce Ciel aux mille femmes.
#LaCompagnieLittéraire
Lorsque l’amour t’a délaissé, qu’il t’a méprisé avec une gifle glacée. Lorsque c’est la peur qui te consume, qui enlace chacun de tes pas. Lorsque toi-même tu es bouffé par la terreur. Alors parfois, quand l’occasion se présente, et que pour un instant la frayeur n’est plus ton inquisitrice mais bel et bien ton alliée. Que c’est agréable et savoureux de renvoyer toute la fureur des flammes désenchantées, apocalyptiques, des tourments qui désarment ton être à ceux qui essaient de te déstabiliser avec arrogance narquoise. Infliger cette douleur à tes ennemis devient une infinie douceur somptueuse et succulente. Jouer avec la peur, incarner la frayeur à ceux qui essaient d’être intimidants, cela aide à oublier sa propre terreur qui te ronge atrocement.
Les pauvres ont une richesse en matière créative, alors les riches sont pauvres d’esprit… L’argent achète ces moments et monnaye l’instant… L’argent revend du néant et corrompt le présent. L’argent investit pour l’insolent, il dupe & boursicote les sentiments. Il traque le faisan et convertit les insouciants. L’argent marchande avec les ignorants, il illusionne pour sublimer la fosse à purin. L’argent a volé nos descendants, il a mangé tout le festin. Le sortilège en est scellé, nous sommes arrivés à nous faire baiser. Le Temps est désormais devenu de l’argent. Ainsi en a décidé le sablier du grand horloger. Tranchés à vifs, bien qu’apeurés et figés par la fatalité. Nous devrons embrasser la vengeance, mais nous devrons nous soumette à la sentence. Condoléances…
« Aimer la Vie car ici-bas les Désirs sont assassins. Ils tuent sans répit ni vergogne et tu es forcé d’acheter ton humanité. Aimer vivre pour mieux être carbonisé par les flammes au lieu d’être caressé par des femmes. Aimer vivre alors que la joie merveilleuse de toucher la délicatesse d’une peau féminine se monnaye et devient une facture exorbitante, réservé aux habitués du luxe. Aimer vivre pour constater que l’humanité se reproduira en éprouvettes sur Internet par facturation #metoo. Aimer Vivre pour assimiler que la richesse est à la beauté ce que la laideur est à la précarité. Aimer la Vie pour encenser les tricheurs, vénérer les meurtriers et blâmer les tourmentés. Aimer la Vie pour ne jamais rêver car les rêves sont de pures démences, s’y abandonner c’est signer son internement. Aimer la Vie pour apprendre que ta voix ne compte pas, et même si tu peux aller loin des regards sans bruit ça les arrange bien. Aimer Vivre pour s’apercevoir que ce monde n’est qu’une fosse septique dépravée, un fossoyeur débauché qui nous conduira dans la Chute vertigineuse. Aimer la Vie pour s’apercevoir que notre existence n’est pas plus capitale qu’une action boursière. Aimer la Vie parce que sinon nous irons périr ensemble en Enfer. Aimer Vivre car la Peur attise le deuil. Pour aimer la Vie et survivre, il m’a fallu mourir et m’éteindre cent fois. Alors que vivre c’est payant, alors que mourir c’est gratuit, boire le désespoir c’est tout ce que tu peux avoir. Vivre c’est illusoire, dérisoire, sauf si tu en achètes des avoirs. »
Brûler son enclave, briser les chaines et défaire le silence. Tuer son absence, geler l’omniscience. Tabasser la souffrance et museler la famine. Caresser l’indolence, embrasser la sensualité de ma promise. Ecrire le sceau de l’hérésie et souiller vos précieux calices. Enflammer la peur et embraser vos craintes. Pleurer ma colère sur vos lèvres, déféquer l’angoissante schizophrénie sur votre palier et y sourire de folie. Toucher les brasiers et danser avec les flammes. Périr par le souffre, brandir un glaive revanchard et hurler dans l’asphyxie. Assouvir la détresse, nourrir la solitude et combler la désillusion, notre infidèle maîtresse. Devenir l’horreur, endosser la paille du croquemitaine et enlacer nos ombres avec ferveur. Dieu se sent seul car les instincts ont dictés les cœurs vers le malheur, comme si l’apocalypse & notre éclipse furent inéluctable.
Solitude extrême. Le parfum de souffre rôde aux alentours. Il éclate de rire devant le spectacle des crucifix qui s’enflamment furieusement. L’odeur de la mort danse avec la folie, elle tend ses charmes vers la vengeance, laquelle frémit de s’exprimer. Solidarité avortée dans les brasiers dantesques. Ici-bas, ne rougis plus d’afficher les mensonges. Le Diable est un petit angelot pudique. Le son des hypocrites est assourdissant, il envahit les couloirs de l’éternité et souille chaque cercueil confiné dans les cercles infernaux de l’enfer. Pleurer ne vous sauvera pas, inutile de faire risette avec nonchalance narquoise. Les tricheurs sont des traîtres diplômés et aguerris dans la souffrance. Ils prennent du plaisir à vous assassiner.
Se suicider à cent pas dans un cercle. Puiser la souffrance circulaire dans un Enfer sans issue. Ressasser les prières dans un brasier apocalyptique sourd-muet. Se tripoter en rêvant d’être contaminé par celle dont on est amoureux. Traverser l’aliénation et rugir la démence sur les murs sociaux. Invectiver et supplier Dieu de nous laisser respirer un brin de vie littéraire et de sexe…
« Observer celle qu’on aime du plus profond de son être et voir qu’elle s’émerveille dans les bras d’un autre. Comprendre qu’elle se fiche éperdument de mon cœur qui verse quelques larmes amères. Mon âme pleure pour elle, le monde peut-être à la fête, tout peut basculer dans un brasier apocalyptique, cela m’est égal parce que je l’aime « Elle ». Parmi ce bal incandescent, dans les cendres de ce carnaval abyssal, mon cœur danse avec insolence dans mes pleurs encore et toujours pour elle. Elle pour qui je ne suis que poussière et néant dérisoire. »
Toi Pauline pour laquelle je vacille, oui je l’admets je frémis des sourcils et ma vie se suspend sur le fil lorsque tes yeux vers moi sont dociles. Toi Pauline pour laquelle mon cœur se brise, toi pour laquelle mon âme se calcine et disparaît dans des poussières de brise. Toi qui l’aime sachant qu’il s’est joué de toi. Toi qui sais déjà que l’amour t’y a souvent pincé les doigts, croix de bois croix de tralala. Toi Pauline pour laquelle j’ai chaque soir tutoyé l’excès des Enfers, toi Pauline pour laquelle j’ai marché dans le désert. J’ai hurlé, je hurle et je hurlerais que toi Pauline je t’aime. Bien que dans la misère tu sois dans mes prières. Bien que les rêves aient un goût amer, bien que la tristesse m’ait galochée une éternité entière. Approcher la fin du monde pour te voir me sourire. Caresser l’apocalypse pour enlacer d’un tendre baiser tes joues. Effleurer la fin des Temps pour t’entendre me chuchoter quelques mots doux…
« Le vent souffle sur elle. Il effleure légèrement cette jeune femme. D’une sensuelle caresse il répond à ses attrayantes promesses. Le soleil éclaire sa peau fine, il enlace avec douceur les traits aguicheurs de son corps et illumine la candeur flamboyante de ses yeux écarlates. Tendrement le vent souffle l’existence sur l’innocence de la jeunesse. Le vent souffle et danse avec innocence dans l’opéra érotique où se conjuguent les soupirs d’extase orgasmique de cette fille avec le vent. Mes ailes s’embrasent avec fureur et joie, elles frémissent et vacillent en cadence symbiotique avec des ébats de plus en plus sulfureux et symphonique avec elle. Le vent souffle, il embrasse langoureusement ses lèvres lorsqu’elle me sourit alors que nous faisons l’amour. Mes gestes sont bienveillance & tendresse, elle obtient ce que recherche inlassablement la gazelle après avoir été conquise, un homme empli de virilité mais qui va fondre comme du beurre. Bien qu’enflammé notre fougue insolente refroidit de plaisir l’orage des excès. À travers la pureté charnelle avec elle je renais à la Vie et je marche sur les clous du droit sentier. Autour de nous la fin des temps peut arriver et intervenir dans la partie. Cela m’est égal parce que mon à moi c’est elle. Tant qu’elle est dans mes bras je suis au paradis. Avec elle et en elle la Vie est douce comme un caramel de grand-mère lorsque Pâques a fait sonner le carillon. Avec elle et en elle… »
#StValenTUNES : Aujourd’hui c’est jour de festivités, c’est la « St Valen-TUNE$ ». Désormais il nous faudra payer pour croire sentir qu’elles peuvent nous aimer. Il faut taxer l’exorbitante richesse afin de dégoter une once de sincérité. Il faut casquer pour croire qu’il est possible d’être aimé par ELLES. Tout devra être facturé, encaissé et monnayé pour toucher profondément la sensualité ainsi que la douce caresse d’être aimé par ELLES. St Valen-TUNE$ est le messie du mouvement des putain soumise et des michetoneuses éhontées, assumant l’irréversibilité de cette triste réalité. St Valen-TUNE$ est la province des modernités, le sauveur des illuminées du #metoo revendiquée avec haine et fierté. Désormais je n’ai qu’une seule action à exécuter, celle de masturber avec frénésie le canon scié chargé d’une arme à feu chromé et verser une petite balle dans ma tête de monstre avéré. C’est la Vie, la vie est une fatalité et Dieu lui-même n’en discutera jamais les modalités. Aléa jacta Est telle en devient ma normalité, me suicider pour m’absoudre de mon péché. Celui-là même d’avoir pu imaginer que mon âme était liée à une quelconque forme d’humanité.
#MorganPriest : Sorcellerie en streaming, paroisses virtuelles de pacotilles. Un petit homme endoctriné dans la toile eugénique de la modernité sectaire fashionista. Un petit homme effrayé cherchant à s’octroyer une personnalité. Un homme factice qui s’improvise prédicateur. Prêtre falsifié de l’ombre qui va se prélasser dans la stupidité et les mensonges. Petit homme chauve, mélange de la souffrance des victimes blanches qui ont embrassé une svastika afin d’éviter les blessures et les coups. Petit ecclésiastique au rabais qui se permet de parler au nom d’un état d’esprit fort et cultivé. Petit chenapan imbécile qui fait outrage à son habit de gothique pour se moquer d’une génération perdue et noble. Petit con organique qui bafouille des mots et s’approprie nos maux ténébreux. Petit arrogant qui a créé un guignol absurde, incapable d’être l’auteur de ses songes, voleur des auteurs, va faire graver sur une stèle éclairée par les haut-parleurs du monde « Morgan Priest » pendant que les oubliés continuent d’écrire les psaumes dont l’usurpateur va encore s’en revendiquer la paternité… Morgan tu n’es pas un pasteur, ni même un éclaireur… Morgan tu n’es qu’une idée farfouillée de marchandise obsolète et dérisoire… Morgan tu es une putain d’institution falsifiée.
Vision nocturne : Les jeunes vivent à travers le mensonge. Ils sont remplis de labyrinthes et d’excès. Ils exultent leurs énergies positives et négatives à outrance jusqu’à atteindre un état comateux où ils sont dépouillés de Vie, limite léthargiques. Ils t’abordent avec sympathie et te montrent un sourire à l’écoute et si tu le vois pas, ils parviennent à te faire croire qu’ils étaient sincères avec toi. Le plus douloureux n’est pas tant le mensonge qui semble être de la courtoisie mais ce qui est blessant c’est de comprendre qu’ils se sont joué de moi-même. J’ai exposé mes émotions et mes expériences avec franchise. J’ai entendu un chuchotement et j’ai grillé une tactique en forme de supercherie. Pourquoi, comment, qui est qui ? Au final qui a été vraiment sincère avec moi maintenant, qui a été honnête avec ses discutions échangées ? Les jeunes exultent, ils hurlent. Ils cassent et recassent de partout, cela les amuse infiniment. L’alcool n’est plus un exutoire de tensions sur le quotidien, c’est l’hostie dogmatiquement correcte par excellence. Ils attirent et attisent les énergies négatives et agressives, voire les égrégores d’un matérialisme narcissique. Ils s’identifient à des produits de consommation, ils se tarifient de tout & en tout, ils se jettent dans la poubelle après avoir été consommés (psychisme, sexe, sensualité, amitié). Ils ne calculent pas l’avenir mais vivent leur existence telle une allumette qui s’embrase violemment et s’éteindra sèchement pour ne laisser que des cendres poussiéreuses.
Je suis dans un lycée où j’apprends à me faire habiller par la révolte, la mort, le chaos, la peur, la haine, la douleur, la méfiance, le rejet, la déshumanisation, l’abandon, la froideur, la frustration forcée, les excès, les escortes girls payantes et trop cher, la trahison et les mensonges. Les jouvencelles parlent entre elles. Elles aiment bousiller des innocents et briser des vies sans remords ni pardon. De toute façon je suis la cause de la souffrance de ceux qui peuvent m’aimer. J’ai la malédiction cancérigène qui rôde sur mes gestes. Je suis un blasphème, une hérésie, un monstre et une chose immonde. La Vie je la mange par la violence et l’obligation sans avoir des saveurs joyeuses. Avec les technologies qui sont extrêmement coûteuses et refroidies l’amour humain. Avec tout ça qui fait que les gens sont dans la pensée qu’il nous faut être des produits consommables et consommés. Tout ce matérialisme et la religion de l’argent qui empoisonne tout. Montpellier est rempli de jeunes cons qui nous regardent avec IRRÉVÉRENCE et détruit les enfants innocents je n’arrive pas à me voir comme un adulte, j’ai toujours le blocage de me voir comme un petit enfant. Je suis très tiraillé avec le nounours qui est en moi et la fureur des flammes qui rugissent. Je n’ai pas d’espoir et de pardon de Dieu. L’enfer a été en moi depuis toujours. Lorsque j’ai avoué aimer une fille publiquement, on a pas arrêté de me dire qu’il fallait que je détruise le sentiment d’amour et que je haïsse la fille en question car « ce n’est pas normal qu’une fille comme elle soit réceptive à mon cœur » « c’est pas trop normal que je sois aimé par une jolie femme » « le sexe est pour les normaux, les beaux, les stéréotypés fashionable ». Je suis fatigué par la Vie mais je reste en vie. Je vous embrasse et vous souhaite une belle journée, mieux que la mienne…
Lorsque vous pourrez comprendre pourquoi j’ai ces réflexes qui mettent en évidence « mes défauts de galanterie ». Lorsqu’on est dévoré, submergé et asphyxié par ces désirs que l’on n’a jamais pu assouvir avec elles. Je suis consumé par l’envie sexuelle et lorsque ma route croise la vue atrocement attrayante d’une jolie jeune femme exquise, laquelle est vêtue somptueusement avec légèreté, mettant en avant ses charmes, sa délicieuse silhouette féminine sensuelle et douce. Que le charisme sulfureux de la belle demoiselle, laquelle passe près de moi, et que cela effleure mes sens avec un parfum d’insolence et que le rêve du désir enivre mes pensées, qu’elle aguiche mes prières. Il est évident que je sois envoûté. Cependant lorsque je dévisage la jeune femme, la majorité d’entre elles vont croire, que je suis un ogre trop imposant qui réfléchit à déballer, tel un enfant affamé et exaspéré par l’attente, sa sucrerie du quatre heures avec indélicatesse. Et bien NON vous faites ERREUR mesdemoiselles !!! En effet le désir sensuel ainsi que l’envie sexuelle érotisée me submerge tellement que mes yeux sont dans l’incapacité à « lâcher prise ». C’est une vérité qui me desserts je l’avoue. En revanche ce que vous ignorez totalement, c’est que malgré les désirs envoûtant qui suffoque mon être. Malgré les rêves de fusion charnelle qui me hante. Par-delà mon regard d’ogre « obsessionnel » en vrai je ne rêve que de caresses sensuelles, d’un langoureux baiser passionnel. De toucher, tendrement enlacé avec celles dont je rêve, la peau, la complicité sentimentale et la chaleur émotionnelle dans un opéra de plaisirs. Ne vous méprenez plus sur ce gros garçon habillé en noir. Je suis en manque, je suis frustré c’est vrai mais faire l’amour pudiquement avec bienveillance est ce qui me tient à cœur avec toutes ces demoiselles, lesquelles affolent mes pulsions d’amours. Malheureusement je n’ai pas encore eu le privilège de vous faire découvrir comment je fais l’amour.
J’en veux à la vie d’avoir traversé toute les épreuves et d’avoir avalé toute la souffrance qui ne s’en va pas. J’en veux à l’existence de survivre sans jamais pouvoir VIVRE un peu de ces joies que je rêve de toucher un jour. J’en veux à la vie de n’avoir jamais eu de vie. J’en veux à l’existence que les normaux détournent mes phrases pour accuser mes sentiments et blâmer mes émotions. J’en veux à la vie qu’ils n’ont jamais compris et qu’ils n’ont jamais cherché à comprendre parce qu’ils sont incapables de voir. J’en veux à la vie parce que je suis condamné dans une forme d’immortalité à subir les caprices et les dictatures des normaux, lesquels sont susceptibles dès qu’on a osé exprimer l’envie et le désir. J’en veux à la vie parce que même après leurs avoir expliqué mon dilemme et ma torture, elles me rabâchent que je dois y renoncer parce que ça arrangera mieux leur cosmos de Bisounours socialistes. J’en veux à l’existence de survivre à travers la mort glaciale de l’âme humaine. J’en veux à la vie pour une errance dans le froid hivernal où je suis forcé d’applaudir en voyant les normaux avoir des femmes dans leur lit et qu’elles réchauffent leurs prières de salauds hypocrites, égoïstes et imbuvables de misogynie machistes. J’en veux à la vie pour tous ces cauchemars et toutes ces peurs profondes qui me hantent et qui me traquent sans vergogne. J’en veux à la vie pour tous ces normaux qui croient que l’Éden n’est qu’à eux et qu’ils ont gagné la souveraineté du paradis d’emblée tout en accusant les autres d’aller tout droit brûler en Enfer. Oui je hais la vie parce que je veux VIVRE et je souhaite jouir avec elles et en elles pour de vrai et sans avoir à payer une fortune que je n’ai pas. J’en voudrais toujours à la vie de souffrir, même si j’apprends à en grandir, je n’en récolte jamais les fruits salvateurs.
Comme il est étrange de s’apercevoir qu’il est plus facile, voire accessible à l’humain de prodiguer aisément le mal, la destruction et divers machiavélisme de manière gratuite et universelle alors que faire le bien ou aimer est un long processus à acquérir durement. Nous avons plus de possibilités à transmettre la mort glaciale et la haine gratuitement, et pourtant lorsqu’il s’agit d’amour, de tendresses sexuelles ou bien d’apprendre à comprendre ceux qui ont une différence, non pas une faiblesse ni une tare, mais bel et bien une richesse en découverte de soi-même ainsi que de l’âme humaine. Nous sommes ancrés à buzzer massivement sur des lascars pitoyables qui se tapent des poses ridicules en taclant les victimes de la modernité avec arrogance narquoise, au lieu de chercher à découvrir le monde qui nous entoure. Curieuse espèce qu’est la nôtre, ne trouvez-vous pas ?
« Parfois ça paraît plus simple d’exhiber ses excès ou d’accuser le monde entier, alors qu’au fond on essaie seulement de l’atteindre Elle. Mais il est plus aisé, voire plus facile de surenchérir dans l’outrance et dans la défiance, écrit sur ses pages. Lesquelles sont éditées à travers la terre entière, alors que parfois Elle, elle est simplement assise juste à côté de moi. »
« Réécrire l’éclipse & récrire l’apocalypse à travers les charmes et les flammes de cette fille. Mes ailes vacillent, elles frémissent de désirs. Mes ailes restent troublées d’envies sulfureuses où se conjuguent la jouissance et la souffrance. Je m’échappe, je pars un court instant apaiser mon âme qui brûle déjà chez les anges d’en bas, juste quelques secondes d’hérésie, juste imaginer faire l’amour avec ces somptueuses & attirantes déesses… »
« À travers une œuvre artistique, il y a un cœur qui rit, qui pleure. Un cœur qui rêve, qui aime ou qui est triste. À travers notre art nous jonglons avec nos émotions. Nous sommes des êtres humains et nous avons la chance d’être artistes. »
(H)elles : Fraîcheur de l’innocence, fraîcheur d’insouciance. De vous regarder je rêve à la magnificence dans une nuit, enlacés par un silence, où les caresses sont mon absolue révérence. Je vous désire avec éloquence, j’espère ne pas être l’oiseau de vos offenses. J’espère être une promesse d’indolence, l’effervescence d’une poésie charnelle, la quintessence d’un timide mais fougueux verset sensuel. Par-delà mon physique de la « disgrâce » et par-delà mes carences en expériences, je suis un nounours pour votre confiance, le confesseur de vos sens, il n’y a pas de plaisir sans confidences ni d’orgasme sans faiblesse.
J’aimerais quitter les Enfers et trouver la lumière. J’aimerais éteindre l’apocalypse et te plaire. J’aimerais démystifier leurs Éden et t’emmener dans l’éphémère. J’aimerais que les soleils vampiriques soient moins amers et que nous fassions tendrement l’amour sans virtualités intermédiaires. J’aimerais que mes sentiments ne t’infligent aucune forme de blessure. J’aimerais t’aimer aussi fort que les flammes sont la quintessence du brasier des Enfers. J’aimerais que tu puisses découvrir que par-delà mes ténèbres, je n’ai qu’un seul désir, celui d’enivrer tes soupirs d’extase et autres milliers de plaisirs. J’aimerais te combler d’extase et te ravir. J’aimerais sortir de l’enfer et à nouveau écrire. J’aimerais calmer les douleurs pour renaître par mon écriture. J’aimerais réinventer les aubes gothiques et redécouvrir la musique de mon âme littéraire. J’aimerais beaucoup retrouver l’acrylique de la poétique et repeindre cet exile infernal qui a marqué la brûlure de mon subconscient. Qu’à travers la folie et la violence qui ont enlacés ma raison, j’aimerais revivre et respirer inlassablement, langoureusement, intensément et éternellement ce qui est mon être & OXYGÈNE : l’écriture. J’aimerais à nouveau réorchestrer des milliers d’émotions littéraires et exorciser mes sentiments non pas de maux mais par des mots.
Somptueuse Déesse.
Désirs, érotisme, tu es Poétesse.
Sulfureuses Hôtesse.
À tes seins, à tes fesses, je me confesse.
Dans mes rêves les plus intimes tu es la promesse.
Attrayante tourterelle aux enivrants supplices.
Délice de l’Éden enflammant mes plus jolis caprices.
Traverser l’enfer aux mille charmes.
Parcourant ce Ciel aux mille femmes.
#LaCompagnieLittéraire
Pour l’amie Camille : « Camille c’est mon amie qui brille. Camille elle file comme elle scintille dans le Ciel… Camille elle brille et elle scintille dans les étoiles… Magicienne, Camille file dans les étoiles et guéri les nounours gothiques qui vrillent. Camille c’est mon amie qui veille sur le brasier qui scintille dans mes lignes… Camille tu scintille et tu brilles dans mon cœur d’amis… »
Ma mère : elle est la première à lire mes textes. Ma mère est très à cheval discipliné vis à vis des fautes d’orthographe et donc elle a un réflexe quasi instantané, voire impulsif de corriger mon ébriété littéraire. Parfois cela va jusqu’aux SMS que je peux lui écrire. Mais avec le temps je le prends beaucoup mieux car c’est grâce à ses corrections que j’ai pu me fortifier et me perfectionner dans ma prose. Maman était directrice commerciale et elle fut classée numéro un de France il y a des années de ça. Elle a formé pleins de jeunes qui ont pu réussir leurs carrières grâce à ses conseils. Moi ce qui m’importe lorsqu’elle lit mes écrits c’est de l’observer me découvrir ou plus encore de découvrir ce dont parfois je n’arrive pas à dire. Ensuite l’espoir de la rendre fière est important à mes yeux. Il y a plus encore c’est qu’avec les corrections passés ensembles, elle m’a appris, indirectement formée, à mieux recentrer ma plume sur l’essentiel afin que mes textes puisses sonner plus juste vis à vis de ceux qui vont me lire. Je lui dois beaucoup dans mon évolution solitaire. Elle m’aide dans la formation de mon écriture…
Message des limbes (mort sûre d’amours)
Par contre les gens qui ne sont pas trop dans les codes, on ne peut pas les changer à son idéaliste… sinon on refait le temps de 39-45….
Je ne vais pas me chercher des excuses et je suis en train de réaliser qu’il est vrai que je m’en cherche toujours une.
C’est vrai que je me plains trop souvent et que j’aime me plaindre… dans ma tête j’ai l’impression d’être pris pour un menteur… on a toujours dit que j’invente mes souffrances et ça m’a perturbé dans mon évolution.
Après avoir observé les établissements de nuit, c’est logique qu’à force d’être entouré de personnes superficielles qui se la racontent et qui flambent sur leur vanité égocentrique et narcissique… je comprends que vous êtes persuadés qu’être déguisé en bouffon de TV réalité c’est la norme.
J’ai beaucoup de défauts mais c’est Vincent l’écrivain et vous, vous êtes vous. On s’aime et on s’apprécie. Sinon on commence à vouloir trafiquer les gens à l’intérieur c’est plus du tout le même ami qu’on fréquente…
PS : pour ma santé c’est vrai que mon obésité est un fardeau. Mais qu’en est-il de ceux-là qui boivent des litres d’alcool jusqu’à la cirrhose ? Ceux qui consomment des produits stupéfiants cocaïnomanes héroïnomanes LSD etc.
Et pour certains collègues qui complotent dans le dos des autres et qui font des stratagèmes pour niquer les collègues. Je suis obèse, schizophrène, con comme un balai… mais je vois les gens qui sont autour de moi et j’apprends…
Qu’est-ce qui est plus morbide ? La drogue, la cirrhose, la trahison, les complots, l’avarice ou les michetonneuses Machiavéliques… ???
D’accord je suis un mangeur compulsif et je me plains toujours, d’accord. Mais j’ai fait des efforts pour atténuer mes conversations négatives et au moins j’ai essayé de m’adapter devant des gosses irréfléchis. Sachant que je viens de loin.
En tout cas ce que je souhaite préserver de bien dans cette aventure c’est que j’ai pu apprendre et faire évoluer ma plume.
Notes étude du marché (escortes-girls) par Vincent :
Le manque de sensualité et la privation sensorielle de désir est assassine, cela flingue un homme. vivre sans toucher donc sans jamais coucher me détruit et me pousse à vouloir me tuer. Le suicide est enivrant car lorsque que j’ai fait l’amour à une escorte occasionnelle et que pour la seule et première fois de mon existence j’ai effleuré ce à quoi j’aspire à vivre dans la joie sensuelle amoureuse et la vie pure, je ne peux le vivre car tout est réduit à de l’argent contre de la vie. Question d’escortes et pas de partage complicité ni d’humanité. Je suis conditionné dans la froideur des escortes et on me rabâche que je suis laid, gros et moche. Voire hideux sans âme pour être caressé par elles. ils disent que je dois me faire des travellos et des transsexuels sinon je devrais vivre sans désir, sans expérience ni partenaire féminine digne de plaire à moi parce que ça les arrange bien dans leurs confort d’exigences et de codes glacées.
Pour revenir aux escortes c’est affreux, je dois chercher sur des annonces virtuelles comme sur un marché de viandes à bestiaux. Après c’est chercher à décrypter l’annonce la moins fausse, donc ça bousille les sentiments et les émotions ou la magie du moment. Tout n’est que rendez-vous froid sur commande et vie exécutée à la commande genre programme tv avec télécommande. Pas de magie ni complicité que du glacée. Compter le temps et réfléchir à jouir dans les temps sans profiter de sa partenaire ni de l’instant c’est tuant, ça depuis plus de dix ans que je fais ça. Rencontres éphémères car après la passe devoir d’oublier pour tout recommencer (recherche annonces à bestiaux + décryptage des annonces fausses + négocier la durée, le prix et le besoin des sensations avec la fille + enquête Sherlock Holmes pour retrouver l’adresse + ébats à la Rambo et Terminator afin de jouir dans les délais du temps payé à l’escorte).
L’effroyable chose des escortes c’est qu’il faut aussi préciser la demande sur tout, ça en devient froid comme lorsque je les contacts et je demande si un baiser sur les lèvres est compris dans la prestation + est-ce qu’embrasser la fille avec la langue est autorisé dans la prestation. En effet elles disent que le french kiss est dans la prestation mais c’est sans la danse de la langue. En gros c’est un bisou de Mc Donald, un smiley des corses de carrefour. Encore du froid. et tout ceci est réel c’est du concret que je subis depuis toujours et en 10 ans d’escortes plus les dires des gens qui me cantonne à les travellos ou les transsexuels + les filles qui disent que c’est honteux que je les aiment et que j’aimerai faire l’amour avec elles.
Cette réalité me décime de jour en jour, la dépression a de quoi manger mon âme pour que je revienne à l’envie de mourir. Aussi je préfèrerai passer sur la chaise électrique et sentir la brûlure de l’électricité sur moi que de ne jamais faire l’amour avec une jolie tourterelle.
Somptueuse Déesse.
Désirs, érotisme, tu es Poétesse.
Sulfureuses Hôtesse.
À tes seins, à tes fesses, je me confesse.
Dans mes rêves les plus intimes tu es la promesse.
Attrayante tourterelle aux enivrants supplices.
Délice de l’Éden enflammant mes plus jolis caprices.
Traverser l’enfer aux mille charmes.
Parcourant ce Ciel aux mille femmes.
#LaCompagnieLittéraire