Psaumes des Damnés !
1 sept 2013 par vincent
La romance est carnassière, l’innocence violée de celles qui nous attraient reste destructrice, la sentence est meurtrière !
Même si nous nous évertuons à prier pour elles, que la profondeur de leurs regards est abyssale, on finit par se noyer à travers l’indifférence criminelle actuelle. Nous en oublions de préserver le don de l’Eternel, le sacrifice Christique décline, le crépuscule est colossal !
Le retrait de la présence de la fille croisée, marque le sceau de l’ignorance face à la déférence Biblique, nous nous forgeons ainsi des consciences Apocalyptiques !
Dans la condoléance retenez nos prières, dans l’absence nous cherchons le père, au cœur de l’Apocalypse nous essayons de plaire !
Dans les Abysses vous flirtez avec les enfers, la consonance des clochers vous fait taire. Foutue insouciance de plaire à la jolie fille de nacre, elle nous exhorte vers le Styx existentiel d’être !
L’omniprésence des règles complexes et denses nous tourmentent, elles nous condamnent à embrasser les excès !
L’abstinence des passions délite nos émotions, on régresse au sein de nos bastions, puis nous trépassons isolés dans la peur. Faute d’avoir cherché à frôler l’existence rédemptrice espérée, nous abdiquons pour notre Résurrection et nous capitulons nos immortalités !
La télévision nous balance des promesses salvatrices, afin de proclamer notre égalité. Le goût du mensonge médiatique nous est fatal, nous sommes en laisse. Abnégation et silence imposés affichent notre médiocrité déclarée, nos vies dérobées anéanties sont la vérité de la tricherie !
L’insolence de rêver terrasse nos joies proscrites et font de nous des damnés, l’offense de la chasteté brisée impose le deuil de nos puretés désabusées !
La résonance du prêcheur défrise les prières fades et glacées dans l’église !
L’impudence de nous embrigader dans l’esclavagisme avec des masques hypocrites face à l’existence, prouve la déliquescence de notre foutue espèce. Ton pardon est mort Jérusalem !
L’Archimandrite ténébreux : Vincent Blénet !