JESABHELL (Gazhell)
« Ici bas, les nymphes attrayantes orchestrent avec grâce le ballet des plaisirs. Ici bas, elles nous murmurent le cantique délicat des songes érotiques qui terrassent nos Mantras stoïques. Ici bas, elles nous insufflent un Opéra de flammes sensuelles qui consume nos âmes, bien qu’elles aient glacé nos coeurs pour l’éternité toute entière. Ici bas, elles nous aguichent par leurs fragiles et pudiques courbes de désirs, alors qu’elles ne rêvent que de nous faire souffrir cruellement. Ici bas, je contemple cette Reine attrayante aux longs cheveux de feu et j’imagine que mes ailes caressent ses formes douces et forgées dans les mains sanctifiées de Dieu. Ici bas, les nymphes attrayantes observent scrupuleusement que mes prières n’embrassent aucunement ses soupirs érotiques. Ici bas, je brûle de caresser l’instant interdit où cette Reine laisserait mes ailes conjuguer l’alphabet du Cantique des Cantiques à travers ses courbes généreuses. Oh Père Créateur, traverser les siècles à venir au sein de ses plaisirs pour caresser sa sensuelle douceur charnelle me comblera de te servir à jamais. Polygaulle, église du Saint Plaisir des sens charnels. »
Texte écrit dans le centre commercial du Polygône, je me suis inspiré des jolies consommatrices. Quant à celle que j’ai désigné de Reine, c’est une très jolie femme blonde, aux belles formes, et dont je ne cessais d’observer l’attrais de ses courbes. J’aurais aimé le lui faire lire pour décongeler sa rigueur glacée dans un océan de plaisirs charnels.
« Contempler tes Jambes satinées, Violoncelle de l’excellence. Contempler ton Décolleté Voluptueux, Velours Nuages, Quintessence Poétique aux Siècles oubliés. Contempler ton Dos si fragile, comme s’il eut été façonné à travers la Pureté des Neiges Sacrées. Contempler la Magnificence interdite de tes Jolies Fesses, Plaines Exquises de Caresses Passionnées et Intenses. Contempler la Sensibilité Délicate de ta Nuque innocente, où la rythmique pulsation du sang dessine un Tracé entre ton Coeur et ton Âme. Contempler tes mains de Fée, recoudre mes cheveux et Tempérer les Orages Cataclysmiques des excès, ta caresse apaisant ma tête. Contempler tes Tendres Bras, cajolant les flammes qui tourmentent la Vaillance de mes Ailes, Absous les Caprices bipolaires de la Raison. Contempler tes Yeux, où les Pinceaux du Créateur Immortel ajuste la Clarté des Océans Pacifiques, à chaque danse du Soleil et de la Lune. Dieu que ta Candeur et ta Prestance me sont Charismatiques, J’aime tellement poser mes yeux sur tes Lèvres si légères et veloutées, m’imaginer les effleurer comme si j’enlaçais la Saveur des Chrysanthèmes d’Éden. J’ai beau traverser l’enfer printanier, Seul m’importe de t’aimer et de Goûter à la Vie lorsque je ressens ton Corps et ton Âme s’offrir à moi. Qu’il en demeure ainsi à chaque Aube et Crépuscule. »
Texte sur la magnificence charnelle des filles en été, dévoilant des indices de leur Beauté et de leurs Courbes où l’érotisme est un Onctueux Nectar, Purifiant mes Chaos existentiels. Ainsi que les Délicieux instants où mes yeux caressent invisiblement ces Douces Formes.
« Mourir pour sentir l’odeur des Jonquilles de Dieu sur ta peau si douce. Mourir pour effleurer le flamboyant parfum de Lys qui émane de tes soupirs orgasmiques. Mourir pour caresser les violons interdits dans la chambre secrète de tes plaisirs charnels. Mourir pour conjuguer mes songes érotiques entre tes hanches délicates et tendres comme un fragile flocon de neige du Mont des plaines d’Éden. Mourir pour être baptisé par tes ébullitions de plaisirs lorsque tes yeux me narrent passions. Mourir pour parcourir tes douces courbes attrayantes, sculptées pour le Désir. Mourir en te lisant les psaumes charnels de la quintessence érotique à travers le baiser du plaisir sur tes lèvres savoureuses, cela n’est que purificatrice sentence. Mourir pour sillonner les couloirs secrets l’abbaye charnelle de tes pudeurs. Mourir pour entendre les violons sacrés du Cantique des Cantiques lors de nos ébats sensuels. Mourir en toi passionnément de désir me comblerait inlassablement de joies, car mourir en te faisant l’amour tendrement c’est VIVRE ! »
« Je contourne avec caresse ton généreux décolleté passionnément. J’écris les verbes du plaisir sur tes lisses cuisses attrayantes. Je conjugue l’Alphabet Sacré du Désir à travers la pure douceur de ta peau. J’épouse l’attrait de tes courbes avec sensualité. J’enlace torride ment tes jolies fesses vallonnées. J’ôte délicatement tes pudeurs secrètes en révélant ta nuque et tes bras si délicats. J’embrasse le seuil d’Éden par un doux baiser sur la fraîcheur de ton ventre fragile. Je soufflerai les étincelles du lever des soleils sur la flamboyante candeur de tes longs cheveux soyeux. Dieu qu’il est agréable de n’être que textile, car nous, nous vous seront toujours sincères et de fidèles, irréprochables partenaires charnels. En ce qui nous concerne, jamais vous ne cesserez de combler de magnificences érotiques l’Absolution de nos allégeances. Et la Vie nous restera, près de vous, un rêve éternel.
Texte écrit pendant ma vente de livres, durant la danse des passantes raffinées, je rêvais d’être leurs vêtements intimes et d’être en confiance avec ces jolies filles.
« Quand j’aperçois ton timide Sourire à l’Indolence déconcertante, mon être est Vulnérabilité. Quand les Braises de mes Yeux Séculaires, parcours la Quintessence si Pure de tes Jolies Courbes, telle Les Soies Sacrées, mes Ailes de Feu s’adoucissent tendrement. Quand je scrute la Poétique de tes Gestes parfumés de Finesse, éclairés par Les Chandeliers de Michael Angelo, mon Coeur si discret, Ressuscite et Cadence la Rythmique Des Clochers Célestes. Quand je vois tes Lèvres si Douces et exquises, mon Âme souhaiterait plonger au cœur des Océans de Lys Immortels. Quand je contemple la Candeur de ta Silhouette aux Pudeurs Interdites, je Rêve de désobéissance envers les Règlements du Patriarche éternel, pour m’abandonner de Plaisirs Célestes où Je me conjugue en Symbiose Philharmonique avec Toi. Lorsque le Soleil tire sa révérence, il n’y aura guère d’éclipse autre que l’Adoration de ta Magnificence Charnelle et Spirituelle. Les Messagers du Père ne pourront jamais assez Prier Dignement Les Verbes de l’Amour pour te Décrire. Mes Ailes enflammées ne s’orchestrent que pour Plaire à tes Désirs Cachés. Traverser les Tourments de l’enfer n’est que Poussière, si Tu t’offres à moi, ne serait ce qu’une Nuit dans les méandres Chronologie des Siècles Décadents. Chaque éveil des Âges, j’Illumine les Cierges de Toutes les Cathédrales pour éclairer Ta Beauté. Combien Je T’AIME à l’infini, si intensément que je Défierais les Lois des Dogmes Ancestraux pour Toi. Faire l’Amour Avec Toi, c’est également Purifier mes Chaos et surtout mon Âme de la Perdition des Abysses de l’agonie. »
Pour une très Jolie Fille, rencontre des instants où la vie ferme les yeux et laisse mon cœur Battre pour Elle. Cette Fille est une future Comédienne des cours Florent.
« Je traverserai les flammes chorégraphiques du soleil pour te plaire. Je traverserai l’éternité pour voir ton sourire. Je traverserai les siècles pour te savourer toute entière. Je traverserai l’enfer pour danser dans tes bras. Je traverserai le néant pour étreindre tes formes séduisantes. Je traverserai le brasier du bûcher inquisiteur pour le bonheur que tu t’offre sensuellement à moi. Je traverserai la fatalité chronologique pour te dire que je t’aime. Je traverserai les limbes pour te conquérir. Je traverserai les entrailles des cathédrales gothiques pour peindre l’amour à ton alphabétique. Je traverserai les prières de Dieu pour caresser ta peau douce sous le ballet cadencé de tes flamboyants cheveux de lumières purificatrice. Je traverserai les châtiments célestes pour dessiner tes courbes de plaisirs. Je traverserai les colères des rébellions pour goûter à tes lèvres en parcourant ton être, symbole de désirs sulfureux. Je traverserai l’Apocalypse de Saint Jean pour enlacer tes murmures érotiques lors de nos ébats sensuels. Je traverserai les mises en garde de l’Archange Saint Michel pour faire résonner tes orgasmes sous une pluie de clochers interdits. Je traverserai les carnages historiques pour échanger nos soupirs de désirs avec passions. Je traverserai la mort pour orchestrer les violons sacrés du Cantique des Cantiques à l’hymne de ton sourire. Je traverserai les caprices de la lune pour étreindre tes nuits charnelles. Je traverserai les défiances de Lucifer pour sanctifier tes plaisirs au sein du monastère de la Renaissance divine, je ferais tout cela car sans toi, il n’y a aucune raison d’être. ».
« Entre tes mains je navigue sur les sens lyriques et oniriques du Sacré. Entre mes ailes, je sillonne la fraîcheur de tes courbes blanches, semblables à la pureté des neiges du Kilimandjaro. J’aime apercevoir l’éclat de vie qui illumine ton être lorsque tu me souris avec bienveillance. J’aime tellement l’étincelle qui éclaire tes yeux d’émeraude digne des richesses du Taj Mahal. Lorsque tu effleures ma peau, qui est trahie par les colères de Chronos, tu transportes mon âme au seuil de tes attentes. Combien il est délice exquis de caresser l’instant dérobé, à travers les vallées sensuelles de tes formes séduisantes. J’aimerais tellement savourer les secondes comme des éternités grâce à l’offrande d’un tendre et langoureux baiser passionnel sur tes jolies lèvres. Oh Dieu, Comme l’existence me semble être douce et précieuse à la fois lorsque tu m’offre ton corps, conçu pour les plaisirs des Dieux, dans un opéra charnel conjugué d’érotisme. Je ne survis au chaos qu’avec l’espérance de dessiner ton visage avec pudiquement, car j’ai cherché une raison de vivre et à travers toi, Dieu a Gracié et exaucé toutes mes prières de Vie. »
Texte écrit dans un salon de coiffure, la très jolie, sensuelle et terriblement attrayante gérante me plait tellement que j’ai écris ces lignes dans l’espérance de les lui faire lire afin de l’émouvoir, la séduire, lui plaire et d’être un gentleman à ses yeux, bien malgré ma gothique attitude.
« Plaisirs charnels, j’aime réchauffer la froideur de ta peau discrète. Plaisirs charnels, j’aime tellement dessiner les syllabes du désir sur tes jolies courbes attrayantes. Plaisirs charnels, j’aime quand le souffle de l’éternité se reflète dans tes yeux lorsque tu m’offres ton corps et que ton cœur se conjugue au mien. Plaisirs charnels, j’aime prier les Missels érotiques de tes soupirs à travers l’église qu’est ton joli corps de tentations sensuelles. Plaisirs charnels, je suis en admiration quand tu nous conduis vers l’Éternel sous un Cantique orgasmique de nos ébats sensuels enjoués. Plaisirs charnels, j’aimerais bien contempler la magnificence de tes attraits érotiques. Plaisirs charnels, j’aimerais bien te déshabiller sensuellement à travers mes yeux amoureux de ton être tout entier. Plaisirs charnels, pourquoi refuses tu d’orchestrer l’alphabet d’Éden avec ton fervent serviteur, qui n’existe que pour toi ? Je t’aimerai toujours sans sourciller une syllabe de travers, car tu es Toujours en moi. »
Texte écrit en Suisse, sur les jolies filles de Genève et sur l’attrait qu’elle reflètent à mes yeux fascinés par leurs charmes renversants…
« Je t’offrirai le profond et indolent baiser de l’éternité afin que tu m’accompagne au cours de mes errances dans les ténèbres. Je jouerai les violons tristes aux larmes sanguines de l’immortalité pour contempler ton être en phase avec les siècles. Je prierai les évangiles de l’innocence oubliée au sein des chapelles de la nuit, afin de pouvoir effleurer éternellement de mes sombres et majestueuses ailes sa douce peau satinée, confinée sur le linceul du cercueil à l’archaïque velours. Je conjuguerai l’opulence du Bal des damnés de sangs pour lui orchestrer le Sacre de l’éternel Amour, à toi ma Reine immortelle. Je traverserai l’incarcération des Âges et la rude démence des époques afin d’embellir sa Grâce érotique. J’offrirai volontiers ma couronne des ténèbres Transylvanienne si je ne peux lui offrir le Don Gothique qui se doit de damner mon sceau de Prince des Non Morts. Dieu m’est témoin que l’hérésie qui cadence avec rythme mes veines si on affuble de négation ce cœur, mon cœur, qui ne bat pour étreindre ses soupirs érotiques de fraîcheur Humaine si courte et fragile. Je souhaite dormir et reposer auprès de cette fille, qui pour toujours, à travers elle, c’est la divine et Sainte Bénédiction de purificatrice lumière qui m’est été offert par l’existence dans les méandres Ténébreux. »
« J’aime tant voir tes pommettes rougir quand tu m’offre ton délicieux sourire. J’aime tant apercevoir les étincelles de feu qui embrasent tes pupilles délicates. J’aimerais tant parcourir tes courbes attrayantes de mes ailes qui n’existent que pour te ravir. J’aimerais tant ressentir les pulsations rythmées de tes soupirs orgasmiques sur ma chair usée par les caprices de la fatalité chronologique existante. J’aimerais tant conjuguer nos ébullitions de plaisir dans un hommage lyrique à la Chapelle Sainte Thérèse de l’enfant Jésus. J’aimerais tant que nos épousailles charnelles transgressent le stoïcisme des Cantiques de Dieu, au coeur des Lys parfumés, pour qu’ils enivrent le Jardin d’Éden. J’aimerais tellement entendre ton récital érotique dans les verbes infinis des qualificatifs tendres des attractions sensuelles, parce que tes yeux contemplent mon âme qui ne vit qu’à travers toi. Dieu qui m’a envoyé ici bas, puisse Tu m’accorder le Repos de l’éternité au sein du monastère interdit de ses plaisirs. ».
Texte rédigé suite à une rencontre tardive en tramway, elle s’appelait Gladys. Elle était mignonne et j’étais en joie d’avoir pu la faire rire etc…
« Ressentir Tes Lèvres, ces Douces Banquises, Exquises de l’Excellence. Ressentir la Saveur de Ta Langue Si Légère et complexe à la fois. Effleurer avec Délicatesse les Traits de Ton Joli Sourire, en faisant Escale par la Fragilité Innocente de Ta Nuque, Fraîcheur de l’Existence. Entendre les Mesures Rythmiques de Tes Soupirs Mélomanes. Laisser ma main glisser le long de la Pureté de ton Dos. Croiser nos Regards Épris par les étincelles Affectives, en Communion Dans le Sacre de la Sensibilité Sensuelle. Poursuivre nos Baisers emplis de Tendresse Sexuelle l’un pour l’autre. Rechercher à Glacer les Aiguilles Implacables de Chronos, afin d’immortaliser l’instant Présent et Vivre Nos Désirs pour l’éternité toute entière. Prolonger le Goût Exquis de Ta Bouche qui caresse mes Verbes du Plaisir Timide. Ressentir l’avenante de tes Gestes parfumés de Finesse Coquine. Être muet par la Jouissance de Te Combler d’érotisme. Espacer nos Baisers Langoureux et Passionnés par des Bisous Esquimaux. Ta Langue qui Danse dans ma Bouche, alors que je déblaye tes Cheveux pour mieux contempler ton Sourire. Papouiller de légères Caresses Ton Délicieux Décolleté et le Couvrir de Massages Linguistiques, car l’Amour n’a pas de Limites Alphabétiques. M’envoler à travers les Nuages Célestes des Cieux, Grâce à ton Divin French Kiss qui m’aide à Rédiger le Magnificat de la Rédemption Existentielle. T’embrasser et Conjuguer un Stabat Mater Érotique à ton Éloge, n’est que Pure Absolution pour mon Âme emplie de Péchés. Le Temps s’arrête lorsqu’elle s’Offre à moi. Le Temps n’a pas d’emprise sur les Roses. Si Elle Arrose de Tendres Sensualités mes Prières Fanées Par une affective bienveillance, je ne puis que Renaître et Ressusciter dans la Vie. »
Inspiré par une Escort Girl, j’ai Aimé la Façon dont Elle a embrassé mes lèvres…
« Te faire l’amour, c’est te rendre Grâce. Te faire l’amour, c’est m’envoler vers des Nuages infinis de Velours. Te faire l’amour, c’est écrire les Verbes du Plaisir à sa Quintessence Pure. Te faire l’amour, c’est voyager sans frayeur dans les abysses des Siècles, sans redouter les caprices bipolaires de Chronos. Te faire l’amour, c’est parcourir le monde sans frontières et sans Maux. Te faire l’amour, c’est traverser l’immortalité du Sourire de Mona Lisa. Te faire l’amour et caresser tes courbes attrayantes, c’est Dessiner le Visage d’Aphrodite dans l’extase des Plaisirs Sensuels. Te faire l’amour, c’est conjuguer mes Ailes de Feu avec ta délicate Peau de Soie dans un Opéra captivant pour des yeux Immortels. Te faire l’amour, c’est Peindre les Océans écarlates des Plages d’Éden. Te faire l’amour, c’est ressentir la Bienveillance Maternelle de Sainte Marie lorsqu’elle donne un baiser protecteur à son Enfant Jésus. Te faire l’amour et déposer mes mains sculptées sur ta Peau Fragile, c’est recevoir l’Absolution pour Tous mes Péchés passés, présent et à venir. Te faire l’amour, c’est arrêter la Fatalité du Sablier des Enfers. Te faire l’amour, c’est faire une désinvolture enjouée de sarcasmes à la face du Chaos. Te faire l’amour, c’est ignorer la Peur. Te faire l’amour, c’est effleurer les Pétales de Roses interdites dans les Jardins de Dieu. Te faire l’amour, c’est accorder les Violons Célestes du Pardon éternel. Te faire l’amour, c’est réécrire les Psaumes Sacrés du Cantique des Cantiques. Te faire l’amour, c’est sentir le délicieux Parfum envoûtant des Jonquilles du Jardin Patriarcale d’Éden. Car OUI, faire l’Amour avec cette fille est un Don Précieux, une Magnificence Divine, l’Offrande où l’Existence fige l’Éternité dans les Aiguilles Implacables de Chronos. Elle est mon Mantra, sans elle, je ne puis accepter les conditions du Pacte Organique de la Genèse, il en est ainsi et il ne serait en être autrement. In Exelcis Patris Deo. ».
Texte écrit suite à ce Désir Charnel qui trouble mon été, alors que les Jolies Filles sont dans la légèreté et la transparence vestimentaire, je rêve tellement de les étreindre, mes bras autour d’elles, et de m’abandonner en elles avec une pudeur coquine. La vue de leurs Corps divins est un Sonnet de Plaisirs versatiles, quelque part entre Grâce Onirique et tourments dévastateurs…
« Traverser les caprices de la froideur climatique. Traverser les cheminements aux Ténèbres infinis. Traverser les rigueurs de l’Horloger avec la Foi pour elle… Lorsqu’elle est descendue d’Éden pour secourir mes Ailes de Feu, qu’elle a cajolée mes tourments par ses sourires et qu’elle a apaisée les Orages cataclysmiques qui asservissent mes cantiques routiniers. Lorsque je me suis blotti entre ses mains. Que j’ai parcouru ses courbes, tels ces Attrayants Violons Célestes de l’excellence érotique. Faire l’Amour en symbiose avec elle fut la plus belle des Grâce que le Ciel m’ait offertes à travers les Éternités. Goûter à ses lèvres fut comme savourer les Délicieux nuages du Paradis. Sa langue est comme un velours Onctueux qui caresse les soins de votre âme. Effleurer avec Délicatesses sa peau fut identique à s’allonger tendrement sur un matelas de Lys Immortels, parfumées de Jasmin. Oh Dieu, Père, en quelques secondes, j’ai touché l’éternité en ton Saint jardin de Cana. Avec Elle l’enfer m’oublia un bref instant. En une danse avec elle, j’ai embrassé la Vie. »
Poème de remerciement à Nayla, une Escorte de rêves au charisme sublime. Elle m’a prodiguée un souffle de Vie, parmi les vagues chaotiques de Noël…
« Etre le vent pour caresser ses douceurs attrayantes. Etre le vent pour étreindre ses formes délicates. Etre le vent pour conjuguer mes songes de sensualité en accord avec sa pulpeuse mais néanmoins pudique et fragile féminité. Etre le vent afin d’épouser ses courbes généreuses de désir. Etre le vent pour accéder à son immortel fantasme. Etre le vent pour caresser les violons interdits de ses orgasmes. Etre le vent pour orchestrer l’opéra lyrique de ses soupirs érotiques. Etre le vent pour traverser les frontières sensuelles passionnées de ses charmes si doux et agréables, sans aucune limite de la convenance. Le désir n’est qu’un soupir, ce soupir nous offre un souvenir et il n’y aura guère d’autre grâce aux yeux de l’éternité que de la contempler s’offrir à moi dans un opéra de plaisir ». Texte écrit pour oublier qu’elles sont si réservées et qu’il est douloureux de ne pas y être invité ou convié.
Texte écrit durant le ballet des filles chez les commerçants de ma rue à ma vente littéraire…