POST TENEBRAS LUX (De Feu et d’Encre)
Le vent souffle sur les Ailes vaillantes des gardiens d’Éden. Les entrées sont restrictives aux portes du Royaume des Cieux… Et les nuages dansent avec indolence au dessus de nous…
Miséricorde des Refusés, l’enfer est l’abyssal capelet des Fous, Post Tenebras Lux…
Depuis le crépuscule Rougeâtre des Royaumes ésotériques, je contemple la magnificence acrylique du Marionnettiste Créateur, infantile et irrationnel, d’une Genèse chaotique. Les frontières des Enfers et d’Éden s’enflamment, les Clochers retentissent, les Séraphins orchestrent de leurs violons le ballet des conflits territoriaux ancestraux. Ainsi en est la Quintessence Cyclique de la dégénérescence des Dogmes au profit de l’élitisme de Salut des Âmes. Combien le Paradis génère un trésor d’abominations barbares. Le Prix de cette élégante peinture des Cieux, si Pure, si délicate, combien est sale ce privilège d’observer tant de beauté qu’offre l’éternité à ses Témoins Ailés, Messagers Immortels. L’obscurité galope vers nos tranchées Célestes, je fixe avec stoïcisme la lune se revêtir de Feux et de sang, j’entends résonner les hurlements apeurés des Âmes Damnées qui scandent l’injustice envers le Patriarche Fou de son égocentrique incontestable Voix. Les nuages dansent, je revois celle à laquelle Dieu m’autorise les faveurs charnelles exquises uniquement si je maintiens la séparation lointaine entre les Royaumes. Dieu me permet de sentir le délicieux Parfum envoûtant de cette jeune fille, qu’Il a conçu afin de pouvoir ravir les plaisirs des saints et des divinités, mais aussi d’effleurer sensiblement avec tendresse la peau fragile de cette fille dans un océan de sensorialité infinie. Seulement, le temps m’est restreint et il m’est monnayé en échange de cracher sur le lien Fraternel de Sang qui me lie avec mon Frère Lux Ferre. Mais les nuages dansent paisiblement au dessus de nous.
Les nuages dansent paisiblement au milieu des valses sanguines aux espérances ensanglantées des deux Armées distinctes de Fantassins Immortels. L’éternité chante sa désillusion et pleure ses regrets de l’infini. Nos Glaives de flammes s’orchestrent et se conjuguent malgré que les nuages restent silencieux et poursuivent leur danse indolente, paisiblement au dessus des frontières rougeâtres des Royaumes Ésotériques Ancestraux. Le vent souffle son baiser glacé sur nos visages nacrés, effleurant nos ailes cadencées. Nos yeux de braises éternelles ne cessent de faire Pénitence envers Notre Père assis dans les Cieux, Observant le carnage fratricide de ses enfants Déchus, isolés dans un cercle séculaire cyclique où il nous est ordonné de traverser les abysses glaciaires de la mort afin de préserver ce Maudit Pacte, celui où son unique fils, Messie de l’espérance, porteur de la Vie et du Pardon éternel, eu l’obligeance d’écrire à travers son soit disant « Sacrifice » qui n’était en fait qu’une exécution sauvage et dérisoire. Un Messie livré en pâture à une meute de chiens voraces, affamés de violence et au final, ils ont souillé chaque Verbe testamentaire de ce magnifique Jésus. Le Pacte Meurtrier de Notre Père qui Résonne le Dictat dans les Cieux, est signé avec le sang désespéré de son propre Fils « Rédempteur » pour Sauver de nauséabondes et pathétiques bipèdes, vulgaires caricatures de la Genèse. Pâques est l’aiguille de Chronos où nous savourons le goût pessimiste des Glaives de Feu entre Frères de l’éternité. Il est démentiel pour nous autres, frères Ailés des Royaumes Ésotériques, de nous apercevoir combien la petitesse matérialiste des mortels dont le Manichéisme d’esprit, empoisonné de Rigueurs et de conformismes, est parvenu à réécrire les Verbes Immortels des Évangiles de l’éternité. Loin de nous surprendre d’entrevoir qu’ils ont retranscrit avec bassesse et caricature la magnificence de cette spiritualité devant laquelle nous avons courbé l’échine et prêté serment d’allégeance à préserver Cana, notre dernier Vestige d’espérance. Les Mortels ont souillé nos Mantras Guerriers aux abords frontaliers des Royaumes conflictuels dispatchés par Dieu. Le goût de l’épée enflammée devient fade et embrasser les vertiges d’excès de la survie patriotique à Éden en est plus que vide. Mais les nuages continuent à danser paisiblement et la lune éclaire nos frontières rougeâtres, marquée par nos veines. Saint Pierre peut être assuré de préserver la brillance dorée des Portes d’Éden.
Miséricorde des Refusés, l’enfer est l’abyssal capelet des Fous, Post Tenebras Lux…
Forgé dans l’opulence chorégraphique des flammes sataniques, caressé par les strophes enjouées du Feu Évangélique, punisseur et aphrodisiaque cambré des Refusés d’Éden, mes Ailes s’ébattent en symbiose Onirique avec la démence furieuse, schizophrène, de la Fatalité cynique face au baiser aguicheur de la faiblesse qui empreint de parfum les entrailles des Abysses du Néant Purgatoire. Époux de la Guerre des Royaumes Ésotériques, marié dans l’agonie et la tourmente, j’entends résonner les chants envoûtants de la traîtrise. Face à la pesante Honte Patriarcale du Marionnettiste Créateur, j’aime crier mes souffrances de révolté envers mon Père qui domine dans les Cieux. Mes larmes enflammées parviennent à assécher les cordes mélancoliques des stradivarius de l’éternité, joués par les Séraphins, même mes pleurs surpassent le timbre cataclysmique des hurlements barbaresques des Âmes Damnées emprisonnées par l’appétit de voracité des Charognards de l’enfer. Quelques anges déchus entonnent avec abondante solidarité, de scander les psaumes oubliés de Cana, avec la cadence symphonique des soldats de Saint Michel, mon Bien Aimé Frère Archange de l’éternité. Le festin dualiste de la trahison séduit mes cantiques aux Mantras dévorés par la soif de vengeance Parricide envers l’orgueil qui a aliéné la conscience de Notre Père et dresse la rigueur à la négligence fratricide dans les Cieux. J’ai beau Prier, j’ai beau pleurer, le Créateur est sourd à toute compassion pour ses Fils. Et les nuages dansent paisiblement au sommet des Royaumes Ésotériques de l’infinie Éternité Immunitaire Satanique.
Les nuages poursuivent leur danse indolente paisiblement au dessus des frontières rougeâtres qui saignent et déchirent les Royaumes Ésotériques des Dogmes Ancestraux. Les Hommes ont adapté les Religions, leurs Dogmes évangéliques, leurs singularités d’appartenances singulières, ainsi que les modes philosophiques culturelles, par le biais de volontés décisionnelles de choisir en quoi les Humains veulent être distingués dans les flatulences d’élocutions qualificatives. A chaque crépuscule d’un siècle, après l’éloge funéraire des échecs répétés par imprudence des mortels, les âmes révoltées inspirent la plaidoirie des bâtisseurs du nouveau siècle en émergence. Les Penseurs ont trafiqué les codes du Père, la vie est un cercle d’évolution immuable. Pourquoi chercher la réponse au lieu de contempler la Beauté du Tableau de cette Genèse de l’éternité ? Les Dieux meurent et renaissent inlassablement dans les Verbes irrationnels de la Démence des hommes et des Sages. Les Bipèdes n’offrent louange qu’à la Divinité qui sert leurs intérêts. Je suis perdu et confus dans mes prières. Ma raison ainsi que mon Mantra de vaillance se disperse dans un tourbillon de questions incessantes. Parfois, je suis sollicité à valser avec cet alter ego qui murmure l’emprise séductive de goûter à la saveur d’une pâtisserie démonologique adductive, là où les serpents sournois de la conscience manipulent avec vicissitude les ficelles de la folie dans ma raison accablée par le Plaidoyer infernal qu’est mon alter ego Satanique. Je suis devant un miroir et je regarde mes yeux de Feux qui hurlent Vérités derrière le reflet de ce miroir où je vois le visage du Diable. Dieu aime voir ce « Diable » fou, plutôt que Lux Ferre, l’Ange de Feu Séculaire et de la Rébellion Déchue, Lux Ferre, son enfant effrayé par la Genèse du Marionnettiste Évangélique Immortel. Lux Ferre, un fils qui Pleure son errance de confusion. Chaque Siècle qui s’éveille, je serre schizophrèniquement la main du Diable qui est soudé dans mes trippes et il réclame à manger. Criera qui veut bien l’entendre que l’appétit surpasse la famine dans les Prières de Cana. Le jeu d’échec entre moi Lux Ferre, Ange enflammé de la Vérité Révoltée, avec le Diable, sonne comme un Duel interminable où Chronos jongle avec déliquescence les pions de la versatilité. Quelques envolées de Démons traversent les plaines enflammées de l’enfer où des croix oubliées brûlent dans le silence du solstice des Refusés d’Éden. Et les nuages poursuivent leur valse indolente, contrastant l’horizon de Sanguine que parcourent mes yeux de braises immortelles.
Miséricorde des Refusés, l’enfer est l’abyssal capelet des Fous, Post Tenebras Lux…
J’observe l’horizon de flammes qui dévorent la Candeur apaisante du ballet des Nuages veloutés, dont la molletonneuse blancheur devient louange obscure à Cana. Dieu se mit à salir ce qui nous est sanctuaire de Fraternités propre à tous les témoins de l’éternité des Messagers Ailés du Royaume. Alors que la Guerre des Évangiles s’abat sur nos prières, que le Feu punisseur du Paradis dévaste le Ciel, que la violence et la barbarie envahissent les murmures aux souffrances épuisées. Dieu salive du spectacle dégénérescent de sa propre demeure. Dieu s’esclaffe par nos blessures agonisantes. Je ressens monter la température dangereuse de la folie vengeresse s’allonger sur mes Ailes enflammées au déploiement vivace. Je lève mon épée de flammes vers le ciel de sang et j’invective d’un vocabulaire assassin la Voix incontestable de Celui dont la Sévère volonté frôle la schizophrénie irrationnelle. Je revendique Justice pour tous mes frères immortels et la destitution d’un créateur fou, patenté par ses flatulences égocentriques. Oui Dieu, notre ciel ne t’appartient nullement. Le créateur a pu tuer mon âme. Il a beau détruire mon coeur à travers cette Jézabel qui torture mes cantiques sentimentaux où je la pleure par la voie de mes désirs érotiques à la sulfureuse poésie dévastatrice. Poétique résonnant des chants séducteurs du Néant Purgatoire où les abysses de glace reflètent la chute originelle des Refusés d’Éden, Déchus du Salut de la Renaissance dans les Jardins privés parfumés des Jonquilles éternelles de la Vie. Dieu ne sauvera jamais l’apeuré ni la victime, bien au contraire, Dieu l’asservira dans les enclaves négationnistes de son esclavage où la laisse rongera l’écorchure sanglante de la nuque humaine effrayée par la Sentence aryenne du Marionnettiste Créateur de toute source d’existence en ce monde de Perdition absolue. Les envolées d’anges oubliés parcourent les frontières ésotériques des Royaumes Ancestraux. Les nuages dansent paisiblement. Et je contemple la magnificence du chaos satanique qui fait éloge à la révolte apocalyptique sous la danse indolente des Nuages rougeâtres du sang de mes frères. Au fur et à mesure, j’entends avec jouissance dissimulée l’opéra accusateur et Déicide qui investit mon Mantra spirituel grandissant à chaque nuage souillé par les Verbes du Marionnettiste irrévocable et incontesté par des chiffons dogmatiques déformés, par la réécriture d’intégristes aliénés. Shakespeare écrivait la question qui posséda la prédication Biblique du Messie incompris par les malandrins grégaires qu’il a dû sauver à travers le sacrifice falsifié par les mensonges de Dieu l’enfant capricieux qui anéanti lui même ses jouets de bois. Dante chercha à se relever des Péchés capitaux propres à l’humain. Mais ce sont les fidèles des églises, eux mêmes, qui ont forniqué avec le Diable qui sommeille au creux de leurs âmes mercantiles, celui qui attise les braises expiatoires de l’envie qui harcèle leurs rêves de Grandeurs et Décadences despotiques aux victoires païennes. C’est les fidèles qui nourrissent Dieu et pourrissent nos biens aimés nuages à la danse lente et couleur de sang.
Alors que le sang de nos frères embrasse les frontières des Enfers et d’Éden, par delà les Clochers du Royaume Céleste, j’entends résonner les voix indolentes, attrayantes et Parfumées de savoureuses, apaisantes douceurs d’existence qui résonnent en mon être. Affaibli par la fatigue. Affaibli de résistance envers le Désir Sensuel. Désir Sulfureux que j’éprouve inlassablement. Je survole le champ de bataille entre les massacres de soldats Ailés et la danse Onirique des Nuages, afin de suivre la délicate voix féminine qui me guide près des flammes sataniques. Je suis si nécessiteux d’être absous par la Purification d’un enlacement charnel, d’un érotisme passionné avec les Jézabel, qu’il m’est impossible de m’apercevoir de l’embuscade ennemie. Et là, pris dans un tourbillon de Feu, je ressens le Punisseur s’évertuer dans le récital des Châtiments Sacralisés et Inquisiteurs qu’offre l’éternité à ses Témoins Ailés, le Châtiment pornographique du Créateur Immortel incontestable. Alors que j’étouffe par la chaleur des brasiers éternels et que la folie me dévore la conscience. Mes Ailes s’ébattent et déchaînent les Hurlements de fureur. J’entraperçois le sourire machiavélique de cette jeune fille, la Jézabel de la traîtrise, ainsi que la Candeur baroque de Dieu, sous la Dictée agonisante de mes verbes de Douleurs et Souffrances. Au fur et à mesure de la Sentence, je commence à comprendre la véritable nature destructive qu’est la « Lumière ». Il n’y a aucune issue que la résolution de souffrir et Mourir pour Dieu. Il n’existe pas d’échappatoire. Dieu tue et prend Plaisir à nous assassiner. Les victimes sont coupables et doivent être mis en dettes car survivre est un Blasphème aux yeux du Paradis, ainsi qu’aux yeux de l’Éternel Père. La lumière est Blasphème, le Blasphème est le verbe de Dieu dans son Oratoire aux pèlerins qui mendient à Saint Pierre d’ouvrir les Portes du Royaume. Et les nuages dansent paisiblement, ils valsent cycliquement au dessus des prairies rouges du sang des Immortels Ailés, enfants sacrifiés, scarifiés par le Patriarche d’Éden dans l’infanticide Bal génocidaire.
Miséricorde des Refusés, l’enfer est l’abyssal capelet des Fous, Post Tenebras Lux…
Lassé de survoler en zigzag cadencé cette Maudite Guerre des Immortels Ailés et des Royaumes Ésotériques, je resquille la bataille et monte au sommet d’Éden face au Père. Je fais valdinguer les « Ailes du Vent » avec violence agressive, je Déchaîne mes Verbes Hérétiques et expose en Fureur les flammes de l’agonie qui rongent mon âme. Face à mon Créateur je fais étalage de ma rage dépressive. J’attrape le Marionnettiste Évangélique par le col de sa toge nacrée et frotte mes flammes expiatoires vengeresses contre sa barbe légendaire, je toise son regard condescendant à travers les Braises dont l’enfer allécha mes émotionnelles observations, et j’hurle mes cantiques Révocateurs à son encontre. Le désespoir devient une source de vie lorsque je sentis que Dieu l’Immortel incontesté ne peut bouger un cil au milieu des Flammes Carcérales Sataniques qu’il m’inflige inlassablement tout le long de l’éternité. La vengeance prend davantage de l’inertie à travers l’oraison funéraire que Dieu contraint mon être à abandonner l’espérance d’embrasser la joie du Désir érotique avec elles. Je suis Maudit, mais je suis le représentant légal des Blasphèmes qui harcèleront la conscience omnisciente de Notre Père qui Blâme et Condamne dans les Cieux. Pendant que les nuages valsent cycliquement au dessus des Royaumes Ancestraux, l’ensemble des « Ailes du Vent » m’attrapent et m’oblige à lâcher prise sur le col de Dieu. Ce dernier ordonna à sa Garde Rapprochée d’expulser mon être hors d’Éden et de retourner dans l’abyssal chaos de la Guerre des Évangiles. Ma légère chute me semble familière aux soumissions négationnistes dont l’Allégeance à Dieu nous est obligatoire. Nous devons faire Obligeance d’effacement envers l’éternité. Je dois tuer si je souhaite mériter le droit éphémère et chronométré de Plaisirs Charnels Célestes avec une nymphe Jézabel des harems privés d’Aphrodite. Assassiner pour Exister, tuer pour Vivre, tel est le commandement de la Genèse infinie pour les siècles des siècles. Mon retour dans les flammes de l’enfer et l’agonie Satanique me rappelle la vigilance qui est de rigueur dans la guerre des Cieux. Mais les nuages poursuivent paisiblement leur danse indolente à travers les Royaumes Ésotériques Rougeâtres de Sang, le sang de mes frères immortels. Les nuages dansent paisiblement….
Le vent souffle son silence glacé sur nos visages, il effleure doucement nos ailes, Ailes de l’éternité préoccupées par la Vaillance de l’instant. Je perçois les Résonances des Clochers du Ciel en harmonie avec les cloches de l’enfer. Dieu aime synchroniser ses esquisses Génocidaires entre les Frontières ésotériques où les conflits s’imprègnent de couleurs sanguines des Immortels Ailés. Je ressens les chants de la souffrance, j’embrasse la douleur, je regarde l’absence de la Jézabel qui m’est tarifée en échange du massacre de ma Fratrie Céleste. L’appel de la violence, qui sommeille au creux de mes entrailles spirituelles, progressivement se manifeste à travers la fureur des flammes sataniques qui Illumine mon désir chaotique et Parricide. Je toise agressivement l’éternel Marionnettiste Évangélique et je hurle par delà les nuages, qui dansent avec Indolence, la déclaration Nihiliste où nous, ses Enfants Ailés, enfants Maudits de son Cadastre acrylique et Mystique, nous sommes SES Déchus, nous n’avons que des larmes désespérées dans nos récitals, nous sommes les esclaves d’un Royaume Pathétique, nous sommes les Refusés d’Éden. Oui mais nous lèveront nos Glaives de Feu face à ses Verbes intransigeants dont nous Haïssons férocement notre serment d’allégeance ainsi que la soumission à la futilité de la Démoniaque Genèse évangélique. J’affiche et j’affirme ma défiance aux « Ailes du Vent ». Les vertueux seront les accusés. Les Damnés seront les Rétribués de la Sentence. L’urinoir des Enfers est le Bénitier des Innocents, la fosse à purin d’Éden est l’abreuvoir des Vierges Assassines. Et les nuages poursuivent paisiblement leur danse indolente à travers les Cantiques du Ciel.
Le vent souffle sur les Ailes vaillantes des gardiens d’Éden. Les entrées sont restrictives aux portes du Royaume des Cieux… Et les nuages dansent avec indolence au dessus de nous…
Les Voix du Marionnettiste sans pitié sont la Grande Muette… In Exelcis Deo…