Photo par « Le Nouveau Montpellier », dans la rubrique « Humans of Montpellier »
$$$UCCUBE$$$ ET LABYRINTHE$ (De Feux et d’Encres)
« La mélancolie est l’illustre compagnon de la beauté; elle l’est si bien que je ne peux concevoir aucune beauté qui ne porte en elle sa tristesse. » Charles Baudelaire.
Si Lilith n’avait pas été écarté du Paradis, Eve n’aurait jamais corrompu Adam dans le Péché originel, Ostentatoire à Dieu. Probablement qu’il est plus Salvateur d’avoir une passion sexuelle qu’une pseudo stabilité de couple réformiste, cela aurait pu éviter l’erreur de l’évolution humaine, semblable à celle d’un troupeau de singes dégénérescents qui prend et qui défèquent le Don de l’existence. Au fond, qu’est ce qu’il semble davantage incarner le Blasphème envers le Patriarche éternel, le sexe ou l’envie de tricherie en désobéissance à travers le fruit ?!…
Les Promesses rendent les Fous joyeux, les Cierges sont plu values $$$…
Oubliée dans les abysses, la mélancolie des siècles, foisonnement des interrogations psychiques, tourbillons de l’infortune. Haïr est en fait un misérable jouet offert par la Fatalité cynique, le divertissement savoureux des Diables et des Dieux. Chaque modeste pion de l’échiquier voyeuriste de ces Divinités nourrit leurs addictions aux Poisons Narcéines qui flattent la masse salariale absurde, incarné par les différentes prières et louanges rituelles d’églises manichéennes. Le Bal des mensonges circule à merveille, de cierges en cierges, de chapelet intégriste en chapelet réformiste, de chandelles en Chandelles, de Pasteur à Prêtres, de Séminaire à presbytère, de couvent à Monastère. Ainsi de suite et à l’infini, même à l’intérim syndicale des Évangiles Sacralisée, vétusté de quelques Cathédrales Gothiques, les ecclésiastiques en mimétiques d’Orateurs despotiques seraient d’ailleurs plus à même d’affirmer plus haut encore que la Voix incontestable de Celui dont les clefs du Paradis des Psaumes Dogmatiques, à savoir Notre Père qui terrifie la Genèse du plus haut des Cieux. Dieu n’aurait plus alors la gérance du Jardin Privé, les créanciers Fanatiques du Dimanche n’ont guère envie de renouveler le bail gardé par Saint Pierre. Dieu, Propriétaire d’Éden, n’a pas assez de garantie face au syndic Pastoral ?… Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
« Les promesses rendent les Fous joyeux, les cierges sont plus value. Les promesses égayent les Déments, le Ciel est un Vestige à vendre. Lacrymosa des Refusés d’Éden. Saint Sulpice des Damnés éternels. »
Oublié dans les abysses des Siècles Décadents et perdus, il est inutile de verser une larme car dans le brouillard des égarés, les larmes n’ont jamais d’écho. Chaque soupir désespéré ne recevra aucune réponse. C’est ainsi qu’il en est ici bas. Aucun ange, aucun Archange, aucun Séraphin, aucune âme ni Divinité qui s’égare et s’abandonne dans les méandres industriels du Néant Purgatoire où les chants aguicheurs des Succubes attrayantes nous invitent à nous assombrir par le Chaos Négationniste, est l’irréparable et irrémédiable finalité d’un aboutissement cyclique et sans fin. Pourquoi ressentir de l’amour, puisqu’il n’existe pas. Pourquoi rechercher à la ressentir entre mes Ailes, puisqu’il nous est prohibé de les approcher sans assouvir leurs appétits mercantiles. L’immortalité n’est qu’une longue et dépressive phase transitoire où je ne vis que pour être esclave. Il est dérisoire d’espérer, faute de s’apercevoir que dans le silence glacé du Néant, par delà les siècles et autres Millénaires de confusion profonde, le couperet intransigeant de la Vie sera irrévocable par la Noblesse de la Négative fataliste. Si l’amour est une drogue incurable, alors je certifie que ce Poison se faufile dans mes Veines. Comme tout Poison qui se respecte, les carences de doses d’amours ont un effet de manque genre toxicomanie agressive sévère. Il n’est pas conseillé d’y recourir. Traverser l’éternité en manque de cette substance nocive, bien que très active, en observant qu’elles n’ont de faveurs qu’aux palefreniers choisis par Dieu, et que je ne puis qu’en être l’observateur désabusé par un laisser aller mélancolique. Cela tout le long de l’immortalité. Il compréhensif que ma raison ne me contrôle plus la plupart du temps. Dague incisive, cette drogue tue mon âme, pendant qu’elle ruisselle dans mes Veines infectées par la dépression.
Les Promesses rendent les Fous joyeux, les Cierges sont plu values $$$…
Oublié dans les abysses mélancoliques des siècles neurasthéniques. Toucher les flammes de l’enfer, toucher le chaos avec jouissance satanique et pornographique. Étreindre la folie car les meutes louviers ne me laisseront jamais rien. Toucher le fond du silence sans espérer ressentir cette Délicieuse Beauté Mortelle qui hante chroniquement mes Désirs et mes Soupirs érotiques. Longs et tourmentés couloirs que sont les Vies courtes dans le Néant Purgatoire. Froide est la main de Dieu dans la Quintessence des Cierges enflammés des Blasphèmes et des Péchés. Glacial est le Plaisir, là où l’odeur attrayante des prairies de Cana n’existe pas Sauf dans mon âme enclavée par l’obédience des Fous. Je valse de joie dans le paradoxe brutal de la Vie et de la Mort. Fascination qu’est la survie de l’esprit alors que la Genèse l’étouffe d’un poignard assassin et cannibale. Mes Ailes s’ébattent en vain et l’usure dépressive tue lentement, progressivement mon être. Cana est ma maladie psychiatrique, je sens les « Ailes du Vent » confiner mon subconscient effrayé et ligoter mon psychisme terrifié dans l’agonie Satanique Éternelle des Psaumes Dogmatiques d’Éden. Loin est elle, elle dont mes Prières n’ont laissé que quelques cendres dans le cimetière égaré des Messagers Ailés du Royaume. Pourtant j’essaie de l’appeler inlassablement sans succès. Cette Fille est la jolie vision de ma démence et je ne sais pas choisir entre un aliénant nymphéa ou la cataclysmique réalité dépressive Agonisante que Dieu m’offre en choix ? J’aime cette fille mais je veux revoir le jour. Que me reste t il à espérer ? Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
« Les promesses rendent les Fous joyeux, les cierges sont plu values. Les promesses égayent les Déments, le Ciel est un Vestige à vendre. Lacrymosa des Refusés d’Éden. Saint Sulpice des Damnés éternels. »
Oublié dans les abysses du Styx des Enfers, les logiques de sens se permutent et changent d’épaules. Le Mal devient Bon, le Juste devient Inquisition, l’enfer est secourant, le Paradis est cruauté. Par delà le Bien et le Mal, les enchères sont bourgeons fleurissants, et l’unité des Mondes est transactions bénéficiaires. L’égoïsme attise les profits aux multiples visages. Les Héros sont les tricheurs, les Victimes sont les vaillants du courage car ils ont su garder en sommeil l’ensemble des pamphlets infligés par les dictats aliénés des « Hérétiques de l’héroïque ». Le miroir des Offenses se visionne à travers le défilé ‘innocent’ des couleurs de plus en plus rougeâtres qui éclairent les indolents nuages qui traversent lentement le gouffre abyssal du Néant Purgatoire. Dieu a beau être dissimulé par l’encerclement des « Ailes du Vent », la statistique de la Vérité ne dupe personne ici bas. Tous savent qui fait quoi, et qui est responsable de tout. Davantage la beauté du feu jaune vif qui illustre les nuages passe progressivement au rose enflammé, puis pourpre sang, alors, ici bas, nous savons que des Frères Ailés sont tombés au Nom du Père. Alors que les tourbillons circulaires entraînent mon psychisme à perdre la raison, et cela grâce au sourire indolent de celle qui chavire mon cœur dans la passionnelle dépressive. Abandonné dans la négation, piégé par les joies d’un Bonheur qui n’est que le virus – tel un cheval de Troie cancérigène – qui assombrira mon âme dans les méandres émotionnels de mes sentiments amoureux, guides incisifs vers les chaos cyniques du pessimisme. Par le sceau du Blasphème, le feu des Fous grave la damnation au fer rouge des Déchus en mes entrailles, pour elle je deviens un paria des‘Accusés’ et j’entraîne avec grâce Tchékovienne les Refusés dans un ballet symphonique de la démence où la folie tournoie porno graphiquement avec la violence et l’auto destruction. Ainsi, je revendique combien l’amour est ma chute, la chute de ceux qui ont cru qu’elles éprouvaient une émotion de sensibilité envers ceux dont la Vie broie sadiquement les palpitations aux divers visages.
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Oublié dans les Enfers Purgatoriales, les visages sont la compagne de l’excellence. Lorsque l’on vous condamne à subir l’éternité dans le vide sombre et froid, chaque Vestige, bon ou mauvais, vous est « enchantement ». La voix des multitudes de souvenirs se reflète à l’infini des Ages et des siècles éclipsés. Traverser les flammes de l’enfer et s’allonger devant la finalité. Capituler face à l’infranchissable. Se noyer dans les abysses carnivores de millénaires épuisés, toucher le chaos au fond des entrailles du Temps. Se remémorer la caresse inflammable du Soleil et respirer l’illusion de la Nuit. Pleurer sur la dépouille de mes Soupirs hanté par les songes Sataniques indéfectibles d’une Foi en le Sabbat Rédempteur au sein de Cana. Pleurer pour elle. Pleurer à cause d’elle. La cadence des Oubliés ne s’éteint pas, et la lueur des cierges ne reflète que celui qui l’a monnayée dans l’église des Riches soumis à la verve vantarde des Pharisiens sectaires. Les congrégations de la stupidité des ‘Arrogants Commerciaux’ des Dogmes Evangéliques, arriveraient même à vendre un homicide groupé, déguisé en suicide collectif et rebaptisé en sacrifice pour Salut des Dieux. Ces prédicateurs falsifiés offriraient un voyage de l’éternité dans le Paradis absolu, à travers un four crématoire magique où les victimes abandonneraient enveloppes charnelles dans les flammes afin de retrouver Dieu. Les Génocides sont la publicité des évangiles. La boucherie est l’objet marketing préféré des Divinités. Le Paradis est réservé aux Assassins. Cana n’a pas assez de sièges et de Voix dans l’Hémicycle pour garantir une épaule compatissante à ceux que l’existence a brisé. Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
« Les promesses rendent les Fous joyeux, les cierges sont plu values. Les promesses égayent les Déments, le Ciel est un Vestige à vendre. Lacrymosa des Refusés d’Éden. Saint Sulpice des Damnés éternels. »
Oublié dans les Enfers abyssaux des Tourmentés, j’arpente les longs et froids miroirs de l’éternité, tant d’âmes en pleurs résonnent leurs douleurs. Ici bas, les Serpents aux Bescherelle démocratiques parviennent à séduire les proies affaiblies par les mensonges omniprésents dans chaque fenêtre, chaque porte, chaque sourire, chaque Désir… Emprisonné par le silence glacé j’erre à l’infini dans les cercles carcéraux des abandonnés. Cycliquement, l’errance solitaire étouffe mes soupirs lorsque les saisons changent. Traverser les tourbillons de Feux Sataniques qui dansent en symbioses chorégraphiques sur moi et lèchent l’innocence violée de mes vaillantes Ailes, tournoyer dans une valse avec les Diables dont Dieu Missionna la candeur du Châtiment afin que les Leçons soient bien comprises et retenues dans l’éducation à l’immortalité. Épris de Douleurs, embrassé par la démence furieuse schizophrénique, violé par l’immortalité existentielle, baisé par la Souffrance et les émotions, valsant dans les silences des errances solitaires. Je tournoie d’agonie dans les cercles chaotiques de flammes révocatrices des Enfers Purgatoriales. J’entends parfaitement les Versets de Dieu, guidé par les « Ailes du Vent », car pour suivre la Droiture des exigences, il ne suffit pas d’assagir le bout de bois, mais bel et bien de le raidir, quitte à le casser en puzzle. Les Voix du Seigneur sont impénétrables. Que Diable de souffrir, aux Diables les larmes de détresses et la tristesse. Dieu et la soumission à la Vie ordonnent « Subi et tais toi ». Traverser inlassablement et sans finalité la douleur et la peine sans avoir le droit à contestation. Respirer, Caresser, enlacer, voire danser avec subtilités pornographiques, dans les méandres industriels des flammes sataniques en Osmose Onirique et Chorégraphique. Pourtant je me dois de ressasser ce fichu Mantra « il n’y a pas de Douleur »… Quelque part ici bas, une légère brise souffle doucement sur mes Ailes déployées dans les vagues enflammées des excès, et malgré l’odeur nauséabonde de pisse et d’excréments qui jonchent les détritus périssables des Péchés mercantiles. J’essaie de canaliser mon Esprit à la quête du beau et Joli Visage du Positif. Chercher la beauté à travers la laideur stigmatisable. Et bien souvent, je ne puis qu’en faire un tragique constat, à savoir que leurs Beautés nous Attrait dans des Blasphèmes, et nos Blasphèmes en révèlent une Beauté créative.
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Oublié dans l’urinoir abyssal du Néant, là où la merde et la pisse sont Reines. Elles m’aguichent tellement fort. Avec Indolences empoisonnées, je ressens la brûlure brutale qui s’écoule dans mes Veines infectées par la vie. Je lutte tant bien que mal, mais je lutte vaillamment contre mes Démons d’autodestruction intérieurs. Eux m’invitent à aiguiser mes Glaives enflammés sur mes Ailes ainsi que ma chair assombrie par la dépressive routine éducative. Combien le Paradis se retrouve dans la saveur onctueuse de mon sang, délectable aux yeux de la Monarchique valse des traîtresses. O Dieu, à force de ne pas pouvoir la toucher, ni la sentir entre mes Ailes de Feu. Après avoir Goûté à la Damnation Négationniste et Abyssale du Chaos Satanique, je ne puis qu’en être un produit, fabrication maison, des mécaniques Dévastatrices des Évangiles de l’enfer. Je ne puis me permettre que de jouir dans l’horreur et la folie. Si les Nymphes d’Aphrodite ont peur de me regarder, ce sont elles qui ont rédigé les Verbes Accusateurs des charges accablantes, lesquelles ont forgé le sceau de sang qui condamne mon âme à forniquer avec la langue des Déchus du Néant Purgatoire. Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
« Les promesses rendent les Fous joyeux, les cierges sont plu values. Les promesses égayent les Déments, le Ciel est un Vestige à vendre. Lacrymosa des Refusés d’Éden. Saint Sulpice des Damnés éternels. »
Oublié dans les Enfers du Purgatoire à pisse, la philosophie Nietzschéenne n’a aucun sens. Ce qui ne tue pas ne rendra pas plus fort, mais cela vous laissera une profonde cicatrice, tel un sceau de Feux et de Sang littéral où chacun pourra observer à quel degré la Vie vous apprend à être MAUDIT, voire de MAUVAIS GOÛT. Le Mal sera en vous et nul Nietzsche, ni aucun Nietzschéen ne viendra applaudir ni approfondir de thèse explicative sur le sacrifice scarificateur de vos épreuves existentielles. Ce qui ne vous tuera point vous gravera l’emblème Blasphématoire et Hérétique des Malédictions de la Vie. Mais également l’amassement de Douleurs qui forgeront la psychose paranoïaque, et celle ci ajustera le Plaidoyer accusatoire des Pharisiens glorieux en Enfer. Vous ou Nous, sommes tous et resterons à jamais des proies vulnérables pour les Procès de Sorcellerie à chacun des Tribunaux Hérétiques de Salem. Jeux obscurs, jeux des Ombres, jeux de Dupes, ou bien jeux d’échecs… Comment déchiffrer l’indéchiffrable. Je ne saurais expliquer le dialecte impalpable des Fous aux lubies indescriptibles. Les Énochiens, Sages de Cana, sont démunis par ce silence glacé des Dogmes illuminés, eux qui scandent les Commandements ostentatoires, perchés sur la Tribune des Parlements Hérétiques. Tapis dans les catacombes obscures, je m’amuse avec les frayeurs qui orchestrent le ballet des Ombres. Et les Démons sont mes Alliés dans ma cadence aliénante. Les murmures ressassent un adage fréquent, Ici Bas, à savoir que « Le Sang appelle le Sang » et dans les Enfers abyssaux du Néant Purgatoire, les impulsions sont monnaies courantes. Parfois il est inquiétant de constater que choisir la neutralité, abstention apaisante, est une vertu qui ne nous sauvera pas des Aigles Wagnériens. Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance.
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Oublié dans les abysses du Néant à pisses, l’immortalité a un goût amer. Je subis et non survis. Je survis et non je vis. Je n’existe pas. Le Soleil éclaire les Heureux méprisants, mais il Brûle ceux dont Dieu a scellé la Malédiction, ceux qui nagent dans les cyclones enflammés et chaotiques du gouffre des Oubliés. Puisque vivre m’est interdit. Puisque ressentir m’est un péché. Alors il m’est intriguant de devoir avaler avec paradoxe la vie. Résumer l’existence lorsqu’on est un Refusé parmi les Damnés, et même lorsqu’on est Damné parmi les Déchus, je l’illustrerai comme une gigantesque orgie sadique malsaine. Et devoir vivre, ici bas, c’est être une pucelle neurasthénique traumatisée par la psychose viscérale des objectifs vidéographiques, capturant les violents jets sémantiques de gaillards analphabètes tous gonflés par du fascisme grégaire et stéréotypé. Je meurs à l’infini des miroirs aux reflets des paradoxes schizophréniques. La vie est liée à la douleur. Je ne pourrai jamais Vivre, mais subir les conséquences des intendances de la matière. Je ne puis dormir, seulement souffrir éveillé. L’existence n’est rien d’autre qu’un viol collectif où les partouzeurs sadiques et scatologiques vous marquent au fer rouge et vous enfoncent le brasier de force dans les orifices, ceux qui vous permettent de mieux respirer et affranchir votre survie. Gravé par le Feu Inquisiteur des Châtiments Sacralisés par les Pharisiens industriels et autres Jézabhell mercantiles, il n’y aura pas de lendemain de vie, mais un impôt esclavagiste d’obéissance éternelle. Le goût vertigineusement Abyssal du Chaos Satanique est l’essence même de la vie. La saveur des flammes Damnatoires de la Monarchie, afin de Juger les qualités du faible, c’est le privilège de la vie. L’enfer Négationniste dans les veines pour l’éternité, et la folie enclavée au Seuil de votre âme, cela fait partie des taxes obligatoires pour avoir l’obligeance de devoir vivre. Payer pour ressentir. Payer pour aimer. Payer pour s’hydrater. Payer pour effleurer ses lèvres. Payer pour Exister. Payer pour comprendre la malédiction de Vie. Dieu, où est la Quintessence de Vivre ?!… Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
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Oublié dans l’abyssal gouffre du Néant. Si l’enfer est pavé d’âmes sous la torture, ici bas, au cœur des limbes Purgatoriales, nous gisons dans un silence carcéral parmi un vaste cimetière où nos espérances et nos rêves sont nos tombes glacées. Marié à la mélancolie, époux du désespoir, traverser les obscurs labyrinthes des Abyssales Limbes. Il m’arrive de déambuler à travers les cadavres d’Éden, lesquels sont laissés à l’abandon des Charognards. Ici bas, les fleurs fanées sont Grandeur. Les âmes détruites, rongées par les vers carnivores, Ô oui Dieu, il m’est souvent arrivé de grignoter les restes d’asticots sur des lambeaux d’entités spirituelles. Ici bas, dans le Néant Purgatoire, se nourrir des cadavres c’est crier ‘Byzance’ et il nous faut remercier la Vie pour subir l’immortalité. Rendre grâce à la Déchéance d’entrecroiser l’absence de débauches joyeuses. Prier à la messe des Morts, dans les catacombes où nous sommes reclus, tapis dans les Ombres. Nul ne doit apercevoir nos regards, ni nos fragments d’ailes, sous peine d’être châtiés de nous être exposés face à ceux dont la Pureté n’a d’égal que Perfection Wagnérienne. Lancinante m’est l’écoute de l’orgue contre-ecclésiastique qui résonne en ces douloureux Enfers. Prier pour anoblir la médisance, Prier pour assouvir l’appétit des Prédateurs, Prier pour remercier l’existence d’être la Proie. Parfois des délégations de Pasteurs Damnatoires de l’enfer, viennent approfondir les Capitaux Blasphématoires Péchés sur nos fronts terrorisés. Tel des créatures de Bénitier Protestante, nous recevons un baptême de flammes près du fleuve mortifère du Styx. L’opéra de feu qui danse et jongle autour de mes ailes, de mon auréole, telle une invitation pour une délicate valse. Bien que ce spectacle de Grâce et de Beauté charme mes yeux de braises, fascinés par l’indolence chorégraphique et synchronique du ballet qui inscrit nos Pénitence à travers la Malédiction du Ciel. J’en arrive presque à étreindre ces douces flammes comme des Amantes passionnelles lors d’un ébat érotique où accepter d’être oublié, rejeté, damné, éradiqué, sans vie, juste souffrir et ne pas vivre. Ces prouesses ne sont guère payantes, Elles !!!… Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
Les Promesses rendent les Fous joyeux, les Cierges sont plu valus $$$…
L’aube Manichéenne des Âges émergents des siècles corrompus par la tricherie séductrice, depuis le fond des abyssaux urinoirs de l’éternité je l’ai observé avec regrets, les déclinaisons sont aux seuils. En cette partie de poker, là sur l’échiquier socio-politiquement correct des bipèdes assassins, le cœur émotionnel des âmes est devenu une référence en trahison, en cruauté, en armes meurtrières spirituelles afin d’emmagasiner les Profits, les bénéfices rentiers, l’avarice et l’orgueil, dignes héritages des Pharisiens lors de l’acharnement au pied de la Sainte Croix rouge sang. Les Humains ne sont guère plus étrangers des règlements de survie Ici Bas, dans les méandres abyssaux des gouffres urinaires du Néant Purgatoire. Pour respirer il faut tuer. Pour rêver il faut être Brûlé et en accepter la damnation disciplinaire de l’éternité enclavée dans la démence sénile immortelle. Il n’y a point de prière ni de Foi à attendre, seule la jouissance d’être condamné par la Main Sanctifiée de Dieu. Ainsi en est-il. Si la calomnie est vertueuse, se pourrait il que l’enseignement soit la Divine et providentielle noblesse dans la Chute Vertigineuse au sein des flammes carcérales, à travers les Festins Machiavéliques des cannibales Charognards de l’enfer pour l’éternité toute entière ? Enclavé dans la mélancolique démence et la dépressive frustration rancunière. Se pourrait il bien que la réponse à mes angoisses est « dois-je aller encore plus loin que l’enfer pour combler l’Amour de Dieu ? »… ma confusion des paradoxes trouble mes errances dans mon cheminement. Ainsi en est-il ou encore Ainsi doit il être… Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
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Et stigmatisé dans cet abyssal labyrinthe embrumé et oppressant, là où nombres d’âmes se meurent au cœur des chapelles Damnées et des Croix en flammes, là où le désespoir a inscrit ses lettres de Reine. Je traverse l’immortalité dans une routine fade journalière, là où les Croix brûlent et là où l’humeur politisée attise la Candeur Érotique du mensonge prophétique des Serpents Démocratiques. Les nuages dansent paisiblement encore au dessus du gouffre du Néant Purgatoire. Oublié dans les entrailles des Enfers, je vaque dans le Néant au milieu d’un silence effroyable où nul n’est proche de la confiance, mais plus près des lois de la Méfiance et des tricheries de tous bords. Perdu dans les tourbillons de confusions, je scrute timidement les valses hypocrites des Aristocraties des Aigles Wagnériens. Quelques larmes de cire s’allongent à mes pieds, alors que mes Ailes se recroquevillent, parce que mes yeux de Feux contemplent la délicieuse, délicate, mais cruelle Nymphe empoisonnée qui occupe l’ensemble de mes songes interdits. L’amour est le Mantra de ma douloureuse souffrance carcérale, Dieu, piégé par Aphrodite et entouré par la vigilance Narcissique de ses « Ailes du Vent », souhaite m’apprendre la leçon glaciale du ‘Détachement’ qui est la Vertu de rigueur pour les nouvelles aubes à venir, des siècles en accord mélodique avec les Apocalyptiques « Révélations » écrites par St Jean. Oublié, perdu, confus, je tourne en rond dans le Néant, je nage dans le silence et je m’égare dans le labyrinthe des Chaos car les pleurs sont discrets et réservés. Et je traverse l’immortalité dans une routine fade et journalière, là où les Croix brûlent et là où l’odeur des excréments parfume les prêchi-prêcha des Serpents Démocratiques dans les nombreuses églises endoctrinées à la politique. Socialisation est Stigmatisation. Libération est Damnation. Punition est Rédemption. Crémation est Éducation. Détention est Crémation. Nation est Aliénation. Prison est Absolution…. In Nomine Patris, In Exelcis Deo, Lacrymosa…
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