Bloody Hell extrait livre « DF&E » 2019
4 fév 2019 par vincent
Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
Traverser à l’infini les Cercles chaotiques de l’enfer, tel une danse cyclique Dantesque. Être à la fois Victime et Coupable, se divertir dans une jouissance additive et égocentrique, tout en étant dévoré, voire consumé à l’auto destruction massive, empreinte de Frénésie Nihiliste, flirtant indécemment dans le négationnisme. Ne jamais avoir connu le droit de Vivre et d’apprendre à ressentir ses émotions. Je ne puis me permettre de bien distribuer les cartes de « la Belote » contemporaine moderniste avec mes semblables, dans cet opulent Bal des Traîtres, dont le masque sournois de l’hypocrisie a pris possession de leurs âmes mercantiles. Même l’amour est Tricherie et mensonges élitistes. Elles n’ont guère de cœur ou d’âme, elles les ont troqués au rabais des Soldes d’été, en échange de consommation excessive, voire obsessionnelle et maladive, d’achats matérialistes dérisoires, éphémères, de produits luxueux et illusionnistes. Seules les blessures et les Cicatrices vous rappellent que la vie vous a frôlé sans vous choisir. Alors oui, j’illumine les Braises Expiatoires de mes offenses chaotiques. Oui, je Déchaîne les flammes de l’excès dans une Défiance Ostentatoire à soulager les pulsations sanguines, asphyxiées par les accoutumances chimiques des enclaves négationnistes Freudiennes. À défaut de ne pas avoir goûté à l’extase suprême de l’existence, à travers l’érotisme langoureux auprès d’elles. À défaut d’être soumis à l’angoisse éternelle. Je prends Plaisir à réveiller vos Frayeurs, car vous avez Noyé mon Esprit dans le chaos de l’éternité. Je Capitule face à la Fatalité, j’apprends l’acceptation de l’abandon de la Délivrance et je traverse l’immortalité dans une routine fade journalière. In Exelcis Deo.
La justice des Hommes n’est pas jeu de dupes au Tribunal de l’éternité. Loin des Tricheries farfouilleuses de la ruse des mortels, les « Ailes du Vent » appliquent à l’alphabétique précis les Verbes Incontestables du Père. Nul n’est absous du Jugement irrévocable. Malgré les pleurs incandescents des siècles amovibles, empoisonnés de dogmes, bassesses de la Chute aguichante des tentations aux goûts de révolutionnaires. Les blanches Colombes suffoquèrent dans les flammes inquisitrices des Accusateurs, dont le palais réclama, avec arrogance vindicative, la prise en otage des « Bastille » de chaque éveil générationnel, lorsque les soleils modernes offraient une nouvelle offre dérisoire de Conquêtes Napoléoniennes. Nombreux Pactes Faustiens respirent encore la fraîcheur du sang des innocents qui ont cru qu’ils seraient en mesure de défier les aiguilles aiguisées de la Fatalité Intransigeante. Dieu n’est pas apte à guérir vos faiblesses, cependant Il sera prêt à marteler la Sentence Impitoyable de la Damnation éternelle. L’enfer est jonché d’âmes meurtries se nourrissant des reliquats organiques où le moindre Vestige émotionnel est une « Hostie » oubliée par la monarchie Versaillaise du Jardin élitiste d’Éden. Le Ciel appartient aux Prédateurs, l’enfer est aux anges. Les Saints fabriquent des fous, les fous deviennent les Icônes des Saints. Alors Dieu écoutera les cantiques de la dégénérescence Irrévérencieuse, inlassablement, et à chaque danse entre soleil et lune.
Galvauder la Noblesse par le roublard brouillard de la « majorité ». Galvauder la Créativité par l’illusion commerciale stratégique de la stigmatisation. Galvauder l’héritage des Patrimoines pour engraisser les lucratives statistiques. Galvauder les témoignages des siècles par la corruption des populistes Tweets. Galvauder les votes de Salem car l’exécution est dans la tendance. Galvauder la Raison pour assouvir la rentabilité de Totalitarismes. Galvauder les excès par l’avarice de l’offre et la demande. Galvauder les Portes de la Cité d’argent afin d’en tirer profits & bénéfices. Galvauder les parjures et marchander les prières. Galvauder le trafic des cierges et taxer la brûlure expiatoire des Neufs Royaumes Occultes. Galvauder les Ombres pour attiser les braises de l’hérésie électorale. Galvauder la bassesse pour fructifier l’éloge de la MERDE. Galvauder l’Amour pour la quintessence de vos Luxures. Galvauder la Cruauté pour développer le Marché des assassins. Galvauder la Peur et facturer des Pleurs. Galvauder l’irrévérence des Labyrinthes pour Guider les Voleurs. Galvauder l’éternel Sablier pour assouvir les Tricheries. Galvauder les Serrures et rendre fou St Pierre. Galvauder les Blasphème pour forger les flammes des abandonnés d’Éden. Galvauder les millésimes pour aseptiser le Graal. Galvauder la Résurrection du Golgotha et pré commandé l’achat forfaitaire de votre entrée au Ciel. Galvauder l’exhumation des tombes et afficher l’estimation du Silence des Morts. Galvauder la sottise de la ‘Promise’ et Déifier l’idolâtrie. Galvauder l’inquisiteur et soudoyer les verbes de l’église. Galvauder le Sommeil des Morts et offenser les Croix Putréfiés. Galvauder les symboles pour agiter le désir des fous. Galvauder la Vie et marchander la Mort. Galvauder l’Humain et trahir le Sacrifice. #HELLBRAZZERS$$$
Quelque part, perdu entre l’Enfer et le Paradis, elle est la hantise de mes gestes…
La Rose d’Éden est Poison. Le sourire est facturé. Elles approvisionnent leur arrogante Vénalité carnassière sans vergogne, car elles savent manipuler l’offre et la demande à nos misérables cœurs de palefreniers. Le Poison de la Rose d’Éden infecte nos veines et suffoque nos soupirs d’un rythme assassin. Elles tuent nombre d’Ailés qui tournoient le chaos avec jouissance satanique et boulimique. Les clochers crachent les pleurs ensanglantés sur les nuages nacrés des Cieux. Aphrodite et Vénus déclinent la relève du règne de Marianne. Le Sacrifice d’Anne Frank, le Sceau de la Magistrat Académique du Panthéon et le Sacre Intemporel de Simone De Beauvoir sont Souillés, il a chuté vertigineusement dans les flammes abyssales de la Disgrâce pour l’éternité. Les Roses d’Éden, où l’opéra de Succubes démoniaques tournoient leurs charismes aux degrés évolutifs des Cercles Infernaux l’Enfer, Maudites incestueuses dérobant la moindre innocence vulnérable – tel un pédophile paroissial abusant des Prières de l’enfance meurtrière – à leur guise dans un fumet de courtisanes insolentes. Elles sont tellement asphyxiées par ces parfums désenchantés de sournoiseries narquoises, qu’elles en sont puantes de leurs propres flatulences versaillaises de pacotilles. Les témoins aux Cœurs Purs, écorchés par les prodigues de l’abandon, confessent la capitulation des batailles oubliées. Le temps est vainqueur, toujours, Maître absolu du jeu d’échec. Les Anges Déchus s’agenouillent en courbant les ailes et l’échine. Soumis à la Fatalité rude qu’elles sont les Intempestives et véritables ‘Dieux Antiques’. Nous sommes la possession des Roses, Elles sont dépourvues d’âme et de sentiment car elles ont choisi d’être marchandises impitoyables. Longtemps j’ai voulu écouter les silences des « Taire » en imbibant mes Ailes de Feu par de l’éther au goût des Roses d’Éden. J’ai longtemps appelé et tenté de soudoyer le Passeur des Enfers. Désormais à travers les flammes du Chaos Satanique, je danse en effervescence dans un opulent ballet de Refusés et je vomis la Noblesse Déchue des Roses d’Éden. Je ne paierai Point le Passeur et au Diable les Enfers, cependant Elles ne méritent aucunement ma pièce pour joindre un bouquet de fleurs lorsque le Banquet de Cana ajustera les Blasphèmes.
Nous sommes ceux qu’on fréquente. Le Désir sexuel envers une belle femme est une bataille acharnée envers ses propres désespérances. C’est également une longue et dépressive lutte agonisante contre les verbes d’une impitoyable sentence à la fatalité carnassière que ces Jézabel nous infligent sans remord ni pitié. Rêver de partager la couche d’une belle et jolie mortelle, échappée des plaines parfumées d’immortalités du Jardin Restrictif d’Éden, afin de fuir les cicatrices chaotiques dont Chronos a forgé le sceau à l’Hérésie de Feu, symbole des Offenses et d’appartenance aux sombres et tourmentés couloirs de l’Occulte. Les Pharisiens Faustiens Déchaînent le Temple mercantile de la luxure si attrayante, nombres d’âmes Damnées enchérissent le taux d’actions boursières dans le Royaume des Ombres. Les cierges oubliés dans l’église Déchue sont désormais des promesses hallucinogènes inscrites sur de nombreux Pactes de Sang – d’infinies transactions zigzaguant de Purgatoires en Cercles Dantesques et de Cercles Dantesques en Purgatoires, etc. Ainsi est le cirque cyclique. Punir les écorchés dans la Sexualité Salvatrice, assouvir les Bourreaux par le Baptême des excès. Le sacrement des assassins retentit dans les chapelles enflammées de l’enfer.
Lilith était la compagne de l’excellence. Pourtant elle avait une conscience, celle de l’esprit. Là où la conscience ressent et s’interroge. Là où le Cœur s’exprime. Lux Ferre également avait les sentiments fragiles et sensibles, ainsi que des émotions l’ont précipité dans les abysses infernales où des flammes Occultes du Royaume des Enfers, combattant son être à l’infini. Des sentiments à fleur de peau. Désormais Lilith fut remplacé par une misérable copie de femme, Ève, celle qui jouit en caressant ses instants libertaires solitaires avec la Dague Punitive Patriarcale sans états d’âme. Eve, concubine de second ordre, Pécheresse cantatrice Fatale du Chaos émotionnel. Eve, la dévergondée hypocrite qui n’assuma jamais d’avoir assassiné les rêves du Créateur. Eve, la petite voix saugrenue qui chante « Victoire » là où les crimes Damnatoires sont une danse Viennoise dans les vocabulaires Énochiens. Le ballet des Anges Déchus survole les nuages rougeâtres du Styx avec rythme cadencé, mes Ailes frissonnent et mes yeux de l’éternité contemplent avec pessimisme l’obscur parfum de l’existence se consumé dans les vagues de l’excès. Je respire l’air d’apparence léger de la prison de verre, je médite à la fine limite qui sépare l’enfer de cette prison glacée tout en songeant à la dette pénitentiaire de l’immortalité que je dois envers mon Créateur. Croire en l’étreinte de Cana n’est plus qu’un cierge qui s’éteint lentement par le souffle Délicatement assassin de ces filles qui troublent mes Prières émotionnelles. Jézabel de l’infidélité, par le sceau hérétique du Feu, je me meurs à l’infini des siècles émergeants. Il n’y a rien de surprenant à ce que ces attrayantes Jézabel, avides de commerces et de superficialité, soient irrésistiblement éprises par des primates sanguinaires impulsifs. L’enfer n’était pas le Seuil pessimiste écrit par Dante, ni les méandres neurasthéniques et Chronologiques retranscrits par John Milton. Le Visage du Mal absolu, le véritable Enfer est le « théâtre » hypocrite, sournois et psychiatrique qu’est ce monde terrestre.
L’amour est LE Blasphème, le Mantra de la Haine et le précepteur du Vice. L’amour est l’Hérésie impardonnable qui régalera les Charognards d’Âmes Damnées, le fumet appétissant qui enjolivera les papilles insatiables, conjuguées d’impulsions sexuelles frénétiques du Bourreau sanguinaire, Mandaté par les Moines de la Damnation éternelle. L’amour est la Dague tranchante qui infecte la parcelle d’humanité. L’amour c’est la petite voix qui retentit à l’infini dans les préludes suicidaires de la Démence Abyssale Négationniste du Chaos Satanique. L’amour est le plus simple mobile qui dicte les stratégies Génocidaires, ainsi que la culpabilité des Fascismes destructeurs. L’amour tue et nous guide vers le Néant Purgatoire où personne ne sera délivré du Mal. L’amour ne guérit pas, l’amour Assassine. L’amour ne sauvera l’injustifiable qu’à l’extériorisation de la douleur expiatoire. L’Amour n’existe que pour diffuser les flammes abominables de l’agonie Satanique Éternelle. L’amour c’est le Poison qui enflamme acidement le sang de nos fragiles veines et suffoque nos souffles par le souffre du Boucher conformiste existentiel. Embrasser l’excès des Soleils, enlacer la saveur apaisante des Ténèbres. Cracher sur l’irrévérence des Lys parfumés, cracher sur l’arrosant tribunal accusateur d’Éden. Affronter la défiance du soleil et toiser l’effronterie des Pharisiens. Dieu pleure, Il suffoque, par l’écoute du sacrifice originel des enfants scarifiés par les mensonges blasphématoires des clergés aux cierges déchus. L’enfer est la Quintessence de l’amour.
Oublié dans l’éternité et les flammes, pourrait on comprendre…
Aux fins fonds des entrailles dans les Enfers, Je chie sur la Vie. Je scarifie mon visage pour ensanglanter mes jugulaires la Honte d’Éden sur la face de Dieu. Je vomis les brasiers enflammés de l’hérésie sur la face de Dieu. Je tranche mon inutile sexe pour salir la face de Dieu. Je dissèque mes boyaux pour jouer avec et m’en servir de décor peinture sur la face de Dieu. Je pisse du feu cancérigène sur la face de Dieu. Je nage dans les crachats et j’éclabousse les glaires nauséabondes sur la face de Dieu. Je patauge dans les excréments Blasphématoires des Péchés machiavéliques de la cour aristocratique et je m’en sers de pinceau pour dessiner ma vie damnée sur la face de Dieu. Je fornique dans la démence mélancolique et j’éjacule ma dépressive frustration chronologique sur la face de Dieu. Je festoie dans les gerbes malsaines des abattoirs sanguinolents et je les recrache sur la face de Dieu. Je danse avec les flammes psychiatriques des abandonnés pour les infecter sur la face de Dieu. J’avale le canon scié par une vertueuse fellation sadomasochiste et je transfère ma psychose en léchant la face de Dieu. Je jouis d’être battu à sang et régaler les appétits pornographiques des Aigles Wagnériens et maîtres penseurs sociologiques qui partouzent en souriant sous les satisfactions de Dieu. Je me masturbe en rêvant des coups de fouet clouté sur ma chair et j’en loue Grâces à la Vie d’être condamné dans les Punitions collectives, inlassablement, car je donne plaisance sur la face de Dieu. Pourquoi doit-on craindre les Feux de l’enfer éternel, celui qui nous brûle à jamais ? Nous-mêmes sommes déjà en pénitence sur un Bûcher inquisiteur médiévaliste, véridique objet de bondage pour tous Pharisiens dogmatiques et autres Pasteurs Damnatoires des Enfers, puisqu’il s’agit de la Vie. Vivre est l’interdit Suprême, nous devons juste n’être que BRÛLÉS. Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance.
Dieu est un cancer. Dieu tue et ne regrette pas d’infliger le Mal pur. Dieu infecte vos veines et chie sur vous. Dieu éjacule sa haine sadique Négationniste dans le fœtus avorté de vos mères. Lorsque vos pères vous giclent merdiquement dans la chatte élimée de vos pouffiasses de mères, dont l’utérus ressemble à une autoroute alerte rouge Bison Futé Tampax Manix, Dieu a déjà pissé le Blasphème Inquisiteur des Cauchemars Sataniques dans vos pitoyables âmes de futurs mongoliens pour TV réalités. Dieu gratte ses couilles pleines de sueurs animalières en regardant la Damnation éternelle bouffer vos rêves et songes. Dieu glorifie les Assassins dictateurs, dominant des massacres Génocidaires, et Dieu crache son mépris sur vous sans état d’âme. Pour Dieu, vous êtes des fourmis qu’il aime écraser infantilement. Dieu n’en a rien à secouer de vos prières, pour lui, vous êtes juste bon à distraire sa mégalomanie destructive parce qu’il se fait barber par son omniscience arrogante. Dieu a créé le Mal pour servir ses intérêts et son impact marketing. Satan est le produit Premium de Dieu. Dieu alimente l’alphabet des satanistes et Rayonne au plus haut des Cieux lorsque les païens sacrifient leurs propres spermes de neuf mois sur l’autel de l’idolâtrie diabolique. Dieu prie pour que l’enfer submerge son Royaume et souille le Banquet de Cana. Dieu se masturba complètement excité de jouissance démoniaque, lorsque Jésus lui supplia de Pardonner à la race humaine, alors que Jésus subissait le Châtiment pornographique des hommes sages, tous anobli par Dieu. Dieu gerbe ses tripes lorsque vous lui adressez votre amour et priez pour le salut des hommes en son nom. Dieu porte le pseudonyme de corruption. Dieu baise vos enfants, tel un pédophile paroissial dont aucun tribunal ne pourra condamner sa prose barbare et intolérante. Dieu viole vos chérubins et salit l’espérance de la vie dans les « Maux » de l’éternelle jeunesse cyclique pour les siècles et des siècles à venir. In Exelcis Patris Deo Satanae.
Vivre c’est souffrir. Souffrir c’est affaiblir. Affaiblir c’est détruire. Détruire c’est bannir. Bannir c’est pourrir. Pourrir c’est ensevelir. Ensevelir c’est mourir. Mourir c’est vous suffire. Trahir c’est mentir. Mentir c’est vous anoblir. Emmuré dans la chair, étouffé par la sueur, prisonnier trop vite par les contraintes chronologiques de l’organique charnelle. Encerclé dans le doute, enclavé par la peur, esclave de ses pensées. Adductif à la rage, dépendance à la fureur, drogué à la colère vengeresse. Baisé par le Désir, privé de la sensation des Plaisirs Charnels, censuré d’être enlacé par l’érotisme féminin. Abonné à la douleur, imposé à la folie, jugé à être brûlé pour intolérante médisance des mépris d’ignorance de l’apeurée faiblesse terrifiée. Condamné pour existence, démoli pour avoir été, exorcisé pour justifier la véritable Hérétique Mentalité de celui qui blâme. Facile est il de spéculer sur autrui. Bien est il difficile de comprendre celui qui souffre. Qu’il est doux et agréable de résumer basique ment les défauts dit « visibles » sans chercher à comprendre. Mais apprendre à écouter le tourmenté, cela vous est impossible, voire inenvisageable. Vivre c’est souffrir. Souffrir c’est affaiblir. Affaiblir c’est détruire. Détruire c’est bannir. Bannir c’est pourrir. Pourrir c’est ensevelir. Ensevelir c’est mourir. Mourir c’est vous suffire. Trahir c’est mentir. Mentir c’est vous anoblir. In Nomine Patris… In Exelcis Deo…
Malgré les aiguilles de l’Horloger qui refroidissent mes veines, Je cours, je cours, toujours et inlassablement, je ne cesse de courir. Courir après le temps. Courir pour fuir. Courir après la mort. Courir après la raison. Courir après la vie. Courir après les camisoles chimiques fortes imposées. Courir pour ne pas devenir fou. Courir après les femmes. Courir après la tendresse. Courir après la reconnaissance. Courir après l’inspiration. Courir derrière la peur. Courir pour écrire. Courir pour soupirs désespérés. Courir pour expirer. Courir après la Foi. Courir derrière la Sentence Damnatoire de Dieu. Courir après l’enfer. Courir derrière les voix de l’enfer. Courir après le Châtiment pornographique du bannissement d’Éden. Courir après le Paradis. Courir après la Paix. Courir derrière les deuils effroyables. Courir après le sadisme. Courir derrière la punition dépressive des gens. Courir pour ne pas mourir. Courir pour essayer de Vivre. Courir parce que la vie ne l’autorise pas. Courir pour assouvir les vices de l’Horloger. Courir après les miettes économiques de la Monarchie. Courir pour respirer le parfum de cette fille, délices des Lys. Courir pour survivre. Courir pour affaiblir. Courir après l’espoir. Courir pour la faire JOUIR. Courir pour y croire. Courir après le désespoir chaotique du Néant Purgatoire. Courir pour divertir. Courir derrière les caprices de Lilith. Courir après Baudelaire. Courir après l’Absolution. Courir après le rire. Courir pour se définir. Courir pour enjoliver. Courir derrière les Blasphèmes. Courir après le miroir. Courir après le faire valoir. Courir après l’arrosoir. Courir dans les urinoirs. Courir pour guérir. Courir et périr. Courir pour maudire. Courir et bannir. Courir et blêmir. Courir pour assourdir les silences. Courir pour alourdir les pages blanches. Courir pour défaillir les remontrances. Courir pour arrondir les nuisances. Courir pour anoblir. Courir pour la fleurir. Courir pour la ressentir. Courir pour l’embellir. Quoi qu’il arrive, je ne cesse de courir, sans vivre… Mais les nuages dansent paisiblement avec indolence au dessus de nous. In Exelcis Patris Deo.
Oublié dans l’éternité et les flammes, pourrait on comprendre…
Le Mal a réussi à forger son empreinte sulfureuse en mon subconscient, déjà à vif et usé par les batailles de tranchées des Royaumes Ésotériques. Au fil des siècles et des blessures, partagé entre cette pesante Éternité si conjugale, et entre l’émotionnel qui alourdit le déploiement de mes ailes. Les crépusculaires levés solaires reflètent le déclin dans une beauté devenue fade routine cyclique dans la Quintessence de mes yeux d’immortalités. Elle, l’aguicheuse Babylonienne dont la saveur du Péché Originel si condamnable envers les vocabulaires Dogmatiques d’Éden. Subir cet effroyable écart tactile si répréhensible et pourtant d’une Rigueur Imposée, loin, très loin d’elle. Oh Dieu je confesse laisser mon âme immortelle être submergée par le Froid glacial qui embrasse ma Raison et enlace nocivement – avec indolence – mon Cœur d’Amour envers l’existence et l’ensemble de la Création Patriarcale. Elle est comme la Neige qui s’allonge au sol, le spectacle est beau, poétique. Pourtant à l’effleurer, le flocon pénètre hostilement dans les poumons et infecte le Cœur.
Survivre et gagner une modeste bataille, aux frontières linéaires des Portes de Saint Pierre, conscient que le Mal étend progressivement sa couche sur les Mortels dans ce pitoyable « théâtre » de la Genèse. Nous autres, Soldats de Dieu, Messagers Ailés du Royaume Céleste et Témoins de l’éternité omniprésente, nous gardons en mémoire le Sacrifice du Fils Rédempteur. Il est possible que le Calice du Pardon et du Baptême à la Résurrection de l’âme se soient chrysalides dans le Graal de l’oubli. Pourtant, malgré les vagues de flammes Occultes croissantes, Nous Archanges et Anges éternels, nous savons que la Crucifixion, marquée des blessures de la chair et du sadisme fanatique des illuminés dogmatiques Humains. Le Symbole du geste Salvateur de Jésus contre le cancer de la tyrannie Pharisienne à l’orgueil infini. Cette Offrande immortelle du Fils aux pleurs aimant, scarifié sur une croix de bois. Et bien, les siècles défilant les danses de l’inconscience, soit, mais la croix du Pardon a été plantée dans le Mont de Golgotha. Et sur cet édifice de pierre, est inscrit qu’il a abandonné sa vie pour aimer les autres. Aussi nous résistons et luttons pour écrire l’amour dans ce macabre sablier de l’immortalité fataliste.
La Misère est devenue un Produit marketing sélectif. Elles ont l’aptitude à Assassiner n’importe quel cœur susceptible d’être corrompu par le camouflet du Parricide Orgueilleux de l’éternité. C’est dans les Désirs que ces attrayantes Jézabel, capables d’obscurcir la vaillante stabilité de nos pensées, ainsi que des conséquences Révocatrices à travers nos psychismes émotionnels. Jézabel, meurtrière par la dague érotique d’une Indolence aussi glaçante qu’une saveur efficace de se laisser dévorer par la Rage infernale. La sueur a remplacé les larmes, symbole du deuil à l’espérance littéraire propre à Lewis Carroll et autres James M. Barrie, emprisonnés dans les Limbes Abyssales d’un Neverland aux illusions des Merveilleuses Dévastations. Ne laissant pas d’état d’âme ni de remord, tués par les industriels Jézabel, les Anges Déchus se vautrent dans un galop effréné Apocalyptique de cannibalismes Nécrologiques et Boulimiques. Le ballet démentiel et démesuré des Âmes Perdues dans cette orgie satanique, laissée dans l’abandon des Prières de Cana, alors que nombre de « Saints » falsifiés squattent les Plaisirs Charnels et Salvateur d’Éden. Des vulgaires Mandigôts, profiteurs parasitaires à l’arrogance vaniteuse et scandaleuse, « Sacralisés » par Dieu grâce à la pression populaire des « Messies » de pacotille, Prêcheurs de conjugaison, bafouillages des Dogmes du « politiquement correct », instauré par les tribunaux Inquisiteurs assoiffés de « chasse aux sorcières de la provocation alphabétique ».
Si vous êtes effrayés, voire pétrifiés, par les reflets infinis aux goûts de Dictature(s), peu importe sous quelles formes se montrent elles. C’est qu’en votre véritable instinct animalier, aux consonances prédatrices, il sommeillera toujours en votre subconscient, inlassablement et avec irrévocable Fatalité, un prodigieux désir Despotique d’être le Dominant. L’enfer est jonché d’âmes souillées par la soif d’arrogance, prêtes à corrompre tous autres à leurs propres idéaux. On blasphème toujours autrui lorsqu’on sait maintenir le masque sur ses jouissances idéalistes clandestines des politiquement correctes. Dieu est Omni voyant, certes, mais il garde constamment un Œil sur l’éventuelle « disponibilité » à saisir le Céleste Trône du ‘Chef’… Car ici bas, celui qui court à la chasse, laisse disposer de sa place…
Quelque part, perdu entre l’Enfer et le Paradis, elle est la hantise de mes gestes…
Dans le vocabulaire Énochien, la colère est éphémère, alors que la lucide réflexion s’allonge sur les nénuphars de l’éternité. Il n’existe aucune pulsation, y compris linguistique, à travers les actions de l’excès qui soit requise aux sévères oreilles des « Ailes du Vent ». Pour jouir simplement des mélodiques Violons du Céleste cœur des Séraphins Symphoniques, il suffit d’embrasser langoureusement le masque hideux de la traîtresse sournoiserie et de galocher passionnellement la sournoise traîtrise. Le Poison de jasmin ruisselle au sein des Verbes enjoués du Pasteur Faustien enflammé. Plusieurs Pactes de Sang s’acheminent de murmures en murmures au delà du Royaume d’Éden, tels les Hosties funestes qui répandirent la « Peste Noire » parmi les Prières de supplications, provenant des soupirs désespérés de Cierges Médiévalistes. La Monarchie de la corruption affecte les tympans de Dieu, et pourtant, il y permet ce trafic infectieux, salir le Cadastre Mystique de la Genèse. Au sommet des distances frontalières entre les Royaumes Ésotériques, j’observe tristement le lynchage irrévérencieux des « Saints » falsifiés envers les Démons. Eux n’ont guère de choix pour contester le sceau Blasphématoire de la Disgrâce éternelle. Ils contribuent à l’application des Règlements de la doctrine de Cana. Ils sont les gardiens municipaux des Cantiques Incontestables du Père, l’Immortel Créateur de toutes existences. Les Démons subissent à tire larigot la lancinante prédilection négationniste, Plongée de pessimisme cynique, d’une légion de Pasteurs des Enfers, dont les communions sataniques effraient davantage que les vagues de flammes immortelles dansant autour des crânes emmitouflés de vétustes suaires ténébreux. Les Cercles chaotiques de l’enfer chantent la mécanique Dantesque cyclique des Châtiments à la chaîne de l’éternité, sous la Dictée Fanatique des prêtres réformistes de l’enfer. Les âmes damnées sont terrifiées par les Démons, lesquels sont pétrifiés par les Braises Expiatoires dans le regard punisseur des Pasteurs de l’enfer. Ainsi tourne ce manège incandescent, sur Terre les Mortels zigzague dans une foire aux serpents Ecclésiastiques, dans une Quête de plaisance envers l’autorité Patriarcale d’Éden. Ainsi soudoyer la Plaidoirie de l’Incontestable est un Marché aux diverses entourloupes et multiples duperies afin de tricher et trafiquer la Voix Immortelle, Régente du Labyrinthe Mystique et du Manège paroissial pour les siècles et millénaires à traverser.
Les émotions sont un Mal nécessaire, nous avons le devoir d’être stoïques devant l’adversité, mais nous ne pouvons être insensibles et glacés lorsque les sentiments franchissent le seuil du quotidien solaire. Pourtant, l’émotionnel est source de Douleurs et traumas. Être l’esclave de l’enclave organique est davantage un Blasphème, bien que Dieu l’ai qualifié de Don Précieux d’un soit disant « libre arbitre ». Nous tous, pions positionnés sur l’échiquier Intemporel du Patriarche éternel, Mortels et Immortels, Damnés ou Privilégiés, Ailés ou Déchus, nous n’avons que l’opportunité de souffrances et autres saignements schizophréniques. Les cicatrices chaotiques de l’éternité sont notre Enfer à l’infini. Les voix pures chantant les cantiques d’église sont celles des enfants souillés par les violences assassines, dont l’évangile contemporain, mondialiste et conformiste dénature les vocalises spirituelles de l’innocence Sacrée.
La tristesse, l’Amertume, la mélancolie dépressive parviennent plus facilement à effleurer nos Âmes, car elles symbolisent ce qui fait la singularité de l’humanité au fil des degrés divers dans l’éternité. Pleurer est le reflet du cœur. L’immortalité est un océan de larmes, chacune est un cierge qui incarne le symbole de l’abandon des liens, pavés de promesses rompues. Le soleil peine à l’effacer de mes yeux aux Braises sanguines, asphyxiés par les Feux de la violence vengeresse et les tourments ensanglantés. Mon Dieu, cette modeste Sainte hante les verbes de mes sommeils, sommeils traqués par les caresses malsaines des cauchemars cycliques. Les flammes de l’enfer galopent furieusement vers moi. J’ai beau Prier, nul ne sauvera l’injustifiable qui fut plongé dans les abysses des Limbes du Néant Purgatoire. Mes ailes s’activent et cherchent des réponses à l’inquiétude. Le grondement Féroce d’Éden expulsa tout murmure de prière d’Asile envers les mâchoires carnassières, voire cannibales, de l’inévitable sentence de la Genèse où l’innocence sera sacrifice. La chasse aux sorcières des temps modernes est un marché lucratif, les âmes circulent en opulence de Cercles Sataniques en cercles démonologiques à l’infini. Les « Ailes du Vent » officialisent les transactions spirituelles au prix de quelques âmes sensibles, afin de rentabiliser l’éclipse ecclésiastique.
Puiser le Mal à travers le Bien. Puiser le Bien dans le Mal. Puiser l’inspiration dans le Néant Purgatoire. Puiser le Chaos en abondance depuis les rivages du Styx. Puiser le Fléau qui enflammera les immortelles Croix du Mont Golgotha. Puiser la haine dans les chapelles. Rentabiliser la peur près des Jonquilles d’Éden. Marchander les discordes à travers le Ciel bien-aimé du Père éternel. Fructifier l’exécution des Sorcières à la bourse et en établir des statistiques bancaires à évaluation populiste. Trafiquer le Paradis Immortel pour le rebaptiser en marché inquisiteur de Salem. Corrompre les ondes radiophoniques de Dieu et diffuser les Blasphèmes dans l’Évangile. Brasser des psychotropes en masses forfaitaires, noyer les Déchus dans un rougeâtre Jourdain, inondé par le sang du Baptiste. Celui-ci a du payer Faust pour avoir un chapelet de neuroleptiques et absoudre quelques Passeurs d’âmes peu scrupuleux. Droguer la Bénédiction au profit des cercles linéaires des Neufs Royaumes Occultes. Baptiser les flammes Dantesques de l’enfer éternel et souiller le seuil des Portes du Ciel. Égarer les Gardiens Ailés du Paradis, essoufflés par de séduisantes Nymphes Faustiennes d’Éden, soumises aux méandres d’un énigmatique Labyrinthe dans les charismatiques Vallées des Ombres. Tarifer l’insolence sexuelle et bannir l’absolution érotique des sens. Devenir le monstre aux Entrailles des Enfers plutôt que de cacher l’enfant innocent de Cana, parce que l’offre et la demande en tireront encore plus de bénéfices. Twitter un carnage est bien plus attractif qu’effleurer le courage de se confronter à un témoignage rédempteur. Nous sommes juste les observateurs dans la Nuit. Nous sommes juste ensorcelés par elles, mais nous-mêmes sommes déjà en pénitence, Damnés dans l’éternité. Erotique de l’ésotérisme ou ésotérique de l’érotisme, Dieu seul le sait. Religion de la Science ou Science de la Religion, Dieu seul le sait. La Royale Fleur de Lys ou le venin de la Rose, Dieu seul le sait. Le Mantra d’un Prophète ou le patrimoine des Dieux, Dieu seul le sait. L’immortalité est jonchée de cendres et de crucifix brûlés. L’empire du Soleil a éclairé les pamphlets dogmatiques des Vices, et Nous pleurons pour la discrète Beauté de la Nuit. In Excelcis Extenso Deo. #Hell36
Oublié dans l’éternité et les flammes, pourrait on comprendre…
#LivinginParis : L’enfer est abyssal. Fantassins ailés tournoient en cadence infernale. Sous la prière de l’immortel Général. Affronter les démences dans l’ésotérisme du carnaval. Messagers ailés courbent l’échine devant ce machiavélique festival. Au Diable le carrousel infernal. Les Dieux seront éternels, même si les Anges immortels crachent sur ce psychiatrique teknival. Bien que votre glaive en soit loyal, la folie Faustienne égaye encore l’Internationale. Traîtres et assassins sont conviés à ce Dantesque Bal. Là où le Bien se confond dans le Mal. Chronos taraude avec le sablier abyssal. Les Damnés se comptent par millier au final. Jeunesse volée, jeunesse brûlée. Vieillesse brisée, vieillesse désabusée. Jeunesse dorée, jeunesse prostituée. Vieillesse cachée, vieillesse Damnée. Jeunesse avortée sur le pavé, jeunesse effacée de l’éternité. Vieillesse bafouée, vieillesse enflammée. Jeunesse clonée, jeunesse achetée. Vieillesse liquidités, vieillesse tuée. Jeunesse plastifiée, vieillesse éliminée. Jeunesse périmée, vieillesse abandonnée. Jeunesse polluée, vieillesse effrayée. Jeunesse zappée, vieillesse oubliée. Jeunesse étriquée, vieillesse spéculée. Jeunesse ensanglantée, vieillesse prostrée. Jeunesse partie en fumée, vieillesse asphyxiée. Jeunesse putréfiée, vieillesse crucifiée. Jeunesse scarifiée, vieillesse monnayée. Jeunesse dépravée, vieillesse démantelée. Jeunesse tarifée, vieillesse dévergondée. Jeunesse agenouillée, vieillesse dépouillée. Jeunesse Débauchée à volonté, vieillesse marquée à jamais. Jeunesse capitonnée, vieillesse parquée. Jeunesse aliénée, vieillesse défenestrée. Jeunesse loupée, Vieillesse baisée. Sainte Marie, Mère pour tous, versera ses larmes tout au long de l’immortalité. Golgotha pleure ses croix, les Hortensias sont souillés dans ces Paradis artificiels. Marchands des sommeils cannibales, Besoin vital déloyal, Dieu présentera son bilan fiscal au final. Et dans la Miséricorde, le Bien se monnayera par le Mal dans ce Bal abyssal. #LivinginParis #Hell36
#Hell36 : Elle avait l’air et la manière d’être humaine. Elles ont l’Art et les manières de tarifer nos peines. Elle avait l’air et la manière de tournoyer les sentimentales épines. Elles ont l’Art et la manière de fructifier mes larmes acides aux couleurs sanguines. Elle avait l’air et la manière d’évanouir les blessures de mon cœur. Elles ont l’art et la manière de marchander le solstice d’hiver et la Lumière. Elle avait l’air et la manière d’embellir ma noirceur intérieure. Elles ont l’art et la manière d’obtenir la facture de nos meurtrissures. Elle avait l’air et la manière de séduire la délicieuse douleur. Elles ont l’art et la manière de nous détruire par delà le reflet des miroirs. Elle avait l’air et la manière de jouir en me regardant mourir. Elles ont l’art et la manière de me faire croire qu’aimer est une Virtuose réalité. J’ai cru pouvoir Aimer, j’ai cru ressentir qu’elle pouvait m’aimer. Bien que prohibé, fût-il l’espace d’un instant, pouvoir piéger et enlacer l’éternité. Briser les carnassiers sortilèges de l’Horloger, rigoureuses secondes enflammées. #HELLBRAZZERS$$$ #Hell36
#Gazhell : Un moment privilégié, là où symbiose & onirique riment harmonieusement avec elles. Poésies érotiques, parenthèses Passionnelles, sensualité et émotions vibrantes. Le hic c’est que nos Temps archi modernistes commercialisent massivement ce précieux Don Humain. Les dagues des bassesses & des vices en sont les instruments. Nymphes d’Éden aux Saveurs vénales et Dogmatisme intransigeant des codes totalitaires, le dictat de la mode et l’envie de Puissance Aryenne est devenue votre alphabétique chaotique. Cana en pleure encore. Le Désir Wagnérien ne s’habille pas nécessairement de blondeur aux yeux bleus, il sommeille nerveusement dans les fadaises hallucinogènes des « décideurs » multiples. Et qu’importe si la couleur de l’argent est noire, jaune ou blanc. Le Sang n’a pas de limite tant qu’il y a de l’or à marchander & fructifier, inlassables trafics Faustiens. La déshumanisation identitaire & culturelle se vend en masse. L’offre et la demande dictent leur loi et assassinent les cœurs sensibles apeurés. Le Banquet des Meurtriers festoie avec abondance dans l’arrogance et l’irrévérence. Éden s’incline devant les sanguines larmes du Jourdain. Les Clochers de l’éternité déciment les Victimes de l’anonyme. L’enfer me fait courber l’échine. Flammes immortelles qui dansent et font vaciller mes Ailes Déployées au seuil des Lignes du Néant Purgatoire. Frontière Occulte d’un abyssal Styx des Neufs Royaumes des Ombres. Prophétiser l’auditoire ou accepter ?! J’espère juste qu’un jour certaines pourront comprendre les cycles infernaux qui ont traversé mon être parmi les Festins sadiques des Machiavéliques Cercles Dantesques de l’enfer éternel… #Hell36 #HELLBRAZZERS$$$
#HELLBRAZZERS$$$ : Ô Déesses cartésiennes de « l’Amour », combien la vénalité surpasse votre vanité ! ‘Désobéissance’. Ô combien de siècles verront le jour sous la dague meurtrière du pamphlétaire de vos dogmatiques alphabets. ‘Désobéissance’. Ô combien de soleils et de lunes cesseront de valser sans avoir de vos verbes irréguliers carnassiers ! ‘Désobéissance’. Ô combien de sabliers vont-ils gaspiller dans l’hémicycle corrompu des Cabochards dépravés ! ‘Désobéissance’. Ô Déesses cartésiennes, combien de vies allez vous décimer pour stopper l’interminable « jeu des chaises musicales » au sein de l’Oratoire désabusé ? ‘Désobéissance’. Ô Combien de sièges vont devoir trembler devant l’irréparable Fatalité, là où Dieu présentera faiblesse sur l’échiquier de l’éternité ? ‘Désobéissance’. Ô combien de vertueux Énochiens seront affolés par la débauche porno sadomasochiste qui séduit vos délicieuses Nymphes. ‘Désobéissance’. Ô Aphrodite, pourquoi l’étreinte des Blessés te déplait ? ‘Désobéissance’. Nombreux sont les Anges Désenchantés qui, malgré l’exode vers l’enfer, maîtrisent vents et marées afin de préserver la lueur de leurs cierges éclairés. ‘Noblesse’. Même s’ils sont esclaves de la danse des Neufs Royaumes des Ombres. ‘Noblesse’. Même si à travers les cercles Occultes, les charognards démonologiques cadencent, de Cercles en Tourments & de Tourments en Cercles, l’opéra lyrique des Flammes expiatoires du châtiment. ‘Noblesse’. Les Immortels Oubliés de Cana, bien qu’exhumés des Enfers, nous sommes les misérables « Refusés » de votre Éden bafoué. ‘Noblesse’. Ici-bas dans la résonance de Roublards Clochers, quelques Anges Damnés & Saints Déchus dansent, dangereusement avec les Flammes chaotiques de la démence ‘Décadence’. L’escroquerie est devenue le contremaître du Pénitencier. ‘Pénitence’. Traque infernale de l’Horloger immortel, nul n’est apte à rivaliser. ‘Absence’. Elles entendent davantage la gifle que la caresse. ‘Obédience’. Nombreux sont les Crucifix qui s’embrasent, asphyxiés par le Deuil, en silence Ici-bas. ‘Vengeance’. #Hell36
Quelque part, perdu entre l’Enfer et le Paradis, elle est la hantise de mes gestes…
Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a brisé. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a brûlé. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a tourmenté. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a crucifié. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a dévisagée. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a stigmatisée. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a écumé chez apeurés. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a exhibé chez les cinglés. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a terrassé. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a bousillé. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a taclée. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges par un méprisant silence, m’a flanquée un nécrologique soufflé. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a tué. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a noyé. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’empêcha de Ressusciter. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges je l’aimais. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’appelle par delà l’éternité. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges, avec elle je désirais partager l’immortalité. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges inspirait à VIVRE sereinement la Traversée. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a flingué. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges, c’est elle que j’aurais aimée. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges me faisait penser et respirer. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a fait découvrir vos verbes irréguliers carnassiers. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a dit qu’il n’y a pas à espérer sinon l’oublier à jamais. Cœur léger ou cœur défait, la fille aux cheveux rouges m’a baptisé dans la cathédrale Notre-dame des Damnés. #Hell36 #HELLBRAZZERS
Dieu me fait penser à la fable de Jean de La Fontaine « le corbeau et le renard ». Dieu ‘le corbeau’ perché de haut sur son immunité, nous demande de nous frotter à la vie, quitte à se salir les doigts car apprendre c’est devoir tomber pour mieux se relever. Mais corbeau Dieu est si fasciné par son auréole, assis sur son trône sans jamais connaître le souffrance de la vie ici bas sur terre, n’écoute que ‘le renard’. Le renard n’est peut être pas le Diable car le vrai visage du Démon est en l’esprit machiavélique de l’humain. Dieu ‘corbeau’ ne fait que donner son camembert qu’à l’élite sans jamais comprendre ceux qu’Il méprise et qu’Il damne sans jamais écouter !!!
Lux Ferre pleure… Le Désir est devenu prévisible, et tant que vos Maudits tribunaux pamphlétaires de Salem pointeront inlassablement l’index de l’accusation sur nos visages de l’ombre. Vous ne verrez que « LUCIFER » et non pas les « Lux Ferre ». Tant qu’il y aura des gens comme vous, vous aurez TOUJOURS des gens comme nous prêts à vous mazouter la gueule. Lux Ferre, le symbole catalyseur de l’envolée de l’esprit. Les Jézabel massacrent sans relâche ni état d’âme les coeurs Purs et sensibles dont elles jacassent les Rêveries commerciales et lucratives. Saint Michel embrasse les flammes, Lux Ferre pleure…
Patience ou Démence. Sciences ou Croyances. Médisance ou Clairvoyance…
L’Archimandrite Ténébreux : Vincent Blénet !
Dante Ki$$ LIFE. Baudelaire Ki$$ FAITH.
Milton Ki$$ KNIFE. Nietzsche Ki$$ BREATH.
My Dear Angela White… Angela is my White Night-Prayer. Angela is my White Poetry of Desire. Angela is my White JOI Teacher. Angela is my White Cunnilingus Exorcist for the Player. Angela is my White Passionate Pleasure. Angela is my White Porn Redeemer. Angela is my White Sexual Saviour. Angela is my White Sulphurous Whisper. Angela is my White Sensual Fear. Angela is my White delicious Sinner. Angela is my White Erotica Tear. Angela is my White Purify inquisitor. Ooooohhhh Sweet & Dear Angela White…