666 Nuances de Braises (dans les labyrinthes de la nuit) + Poèmes ‘guest’ de Sandrine Turquier
25 août 2019 par vincent
« Le Ciel n’entend pas de prières, mais il écoute les mensonges… »
L’Archimandrite Ténébreux : Vincent Blénet !
DONNEZ VOUS RENDEZ-VOUS (666 Nuances de Braises)
Petit flocon de neige si délicieuse. Petit flocon de neige si délicate. Petit flocon de neige si Pure. Petit flocon de neige si douce. Petit être, tu es la Vie à l’état brut. Dans tes bras je renaît, je Ressuscite, je respire l’envie de Vivre sans crainte. Petit flocon de neige si fragile, tu brille par ton innocence. Petit flocon de neige, tu apaises les brasiers enjoués de mon enfer et tu acquittes ma sentence depuis les rivages du Styx. Petit flocon de neige si Majestueux, tu m’as offert ce soir la Vie. Petit flocon de neige, ton baiser de velours est si intense qu’il adoucit mes songes et caresse mes rêves. Petit flocon de neige, tes doigts de fées cajole mes cicatrices, telle une pianiste des jardins de Dieu. Petit flocon de neige, à travers tes yeux, chante les poèmes de Baudelaire & Shakespeare. Petit flocon de neige si fragile, ta peau féminine si belle et si lisse fait retentir le désir érotique de Vivre dans l’éternité. Petit flocon de neige, quintessence des armées de Mont Blanc & Nâga Parbat, tu illumine les Cieux et apprend la modestie à toute les Déesses de l’Amour. Petit flocon de neige, Aphrodite & Vénus sont tes élèves en cours de rattrapage. Petit flocon de neige si délicate, ce soir tu m’as ranimé des entrailles carcérales des Enfers. Petit flocon de neige, je n’ai pas assez de Stradivarius céleste pour te remercier avec les honneurs que tu mérites. Mais Petit flocon de neige, tu restes celle qui a sauvé ma raison dans ce Bal des FOUS. Ô petit flocon de neige si magnifique, ton sourire est si dense que les océans écarlate résonne fade. Petit flocon de neige, tu es un Magnificat, ma plus jolie prière. Dans tes bras j’existe et j’aime Ça. Avec elle & en (H)elles…
Le Sablier de Chronos est un échiquier, à la fois machiavélique et rusé. L’Horloger est un joueur avisé, il n’a jamais parié. Cependant il est amusé par l’affolement des marchés, il jongle avec la paranoïa des financiers et apprivoise l’ambition nécrophile des boursiers. L’Horloger est un stratagème affûté, il adore aiguiser la fatalité pour mieux faisandé l’âme damnée. Chronos n’est jamais distrait, ni même paniqué devant son échiquier. Pas la peine d’avoir à prier, nous serons inlassablement dévoré et c’est la culpabilité qui sera notre épitaphe de finalité. Oubliés, égarés et consumés par l’immortalité du Sablier, le Ciel & l’enfer reste l’énigmatique dualité de l’Horloger. Isolé dans les abysses de l’éternité, l’échiquier sera à jamais sans pitié. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises #Gazhell
#Hell36 : Brûlés en Enfer, nous ne sommes que des apeurés, des oubliés, des stigmates d’une errance égarée. Perdus dans les abysses, nous rêvons du Styx. Là où respirer à la surface est un Paradis. Nous fanons progressivement, devant la révérence des nouveaux Siècles, les cierges s’inclinent envers les FOUS. Les Jonquilles d’Éden valsent avec la Décadence, les assassins courbent l’échine devant la dogmatique bassesse de leur enclave commerciale. Le poison monétaire et lucratif attise les victimes par milliers. L’Or est un nouvel Évangile, dont les louanges attire le goût du Sang. #CanalChattes #Swastikadachattes
@ANGELAWHITE : Nous ne parviendrons jamais à entendre les clochers enjoués du Paradis, cependant nous avons toujours su faire fructifier les verbes irréguliers Blasphématoires de l’enfer, nous sommes enclavé dans l’attrait opportuniste du marché Dantesque éternel. Oublions de respirer les parfums délicats des fleurs d’Éden, l’onctuosité nacrée des nuages d’un Ciel immortel n’a plus qu’à s’embrasser de rouge sang incendiaire et colérique. Car nous avons toujours été attiré et bien plus proche de l’avare gourmandise du profit. Le péché circule en insolence dans nos veines. Les délices de la dérive, la saveur de l’interdiction, l’appétit de la défiance provocatrice, le désir pornographique de brûler les règles afin de les réécrire à sa propre guise. Traverser les âges et illustrer les siècles par le tableau chaotique de nôtre nature humaine, misérables créatures boulimiques de conquérantes, de domination, Assoiffés de règne. Ce n’est pas l’enfer qui est notre perdition, c’est nous-mêmes qui sommes les architectes de l’enfer. Les millénaires prouvent que nous sommes les produits lucratifs de l’éternel Enfer. Dante ou Milton n’ont été que des éclaircissements sur la « Chute ». Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
#Gazhell : Brûlures du passé, offensive tourmentés. Révélations hallucinées de grenouilles de bénitier. Prédicateurs patentés d’un idéal oublié. Cimetières truffé d’âmes assoiffées du « Graal de la Fierté ». Stigmates de l’Ego envenimé, opium du divin Jardin asphyxié par l’excessive modernité. Virtualité chorégraphiée d’une lucrative « Sainteté ». Sombres projets dont les dessins illustrés sont Twittés par ces contemporains Thénardier, si diablement rusés. Oxygène calciné, dans un Bal de FOUS orchestré entre démences et animosités. Désirs confessés face à d’irrésistibles courtisanes d’Éden aux cantiques de la vénalité. Damnation non avouée dans l’Oratoire des écervelés, là où la politique est dans l’artifice assumé. Frivolité sulfureuse des sens, gourmandises du Péché. Parfums endiablé, pensées enflammés d’une flamboyante caresse sur des Michetonnes inanimées. Brûlures du passé, mais froideur de l’avenir. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
#DeFeuxetdEncres : Glaciale sanguine qui ruisselle dans mes veines. Enflammés versets qui noircissent mes poésies, conjugués de strophes aux mysticismes sulfureux. Froideur de ce cœur brisé, aux battements éteints. Narcissisme de ma douleur et provocantes blessures qui anime mes pulsions. Isolé d’un enfer glacé, captivé par un paradis incendié. Prisonnier d’une fatalité imaginée. Asphyxié par la sentence désignée où Enfers & Ciel me semblait prohibées. Perdu dans l’énigmatiques des sentiments & des désirs, noyé avec ces attrayantes femmes aux jolies formes. Courtisanes aux sourires tarifés, courtisanes d’Éden aux idées submergés par les virtualités. Mon âme embrasée et mon cœur frigorifié se combattent dans une dualité. Là où folies riment avec raisons disciplinées. Tel un quatre feuilles Damné, je me décompose dans un ballet, entre érotisme et espérances fanées. Illusions rêvées, dont l’obédience est d’oublier. Mon désert incendiaire est réalité, mon néant glacé est une désinvolte grimace d’un éventuel Destin déjà tracé, voire d’avance désigné. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
La Beauté de la Nuit fascine, elle séduit, elle invite, elle fait des promesses. Infidèle de Dame Lune, la Nuit génère le Bal et enchante le chaos. Mais la Nuit est un océan de larmes. Elle est maîtresse de l’illusion & du désespoir. La Nuit pleure le sang et l’excès. La Nuit attise les convoitises. Elle enflamme les enchères et trahie les passions. La Nuit déchire la raison et orchestre la Décadence. Elle déchante la saveur des jonquilles d’Éden. La Nuit embrasse le Désir et embrase les prières. La Nuit épouse la débauche démocratique. Anges Désenchanté, voire égarés, nous nous allongeons dans le silence et la souffrance. Oublié des festivités du Royaume des Cieux, nous rêvons du Styx et nous-mêmes pleurons reclus à l’intérieur du Brasier Dantesque. La Nuit pleure également son absence à elle, légère jeune demoiselle perdue à travers mes songes. Avec elle & en (H)elles…
Ô Déesse, Ô Rose de l’éternité. Ô sublime courtisane de l’enfer. Tu as mis à sang les verbes sulfureux des immenses Poètes. Ô sublime tentatrice des Abysses, par delà les frontières entre le Styx & le Jourdain. Baudelaire, Poe, Shakespeare ou Dante. Elles sont les inquisiteurs qui ont mis à bas nos cœurs sur le Bûcher de l’hérésie. Et quand bien même, elles ont la fragilité, la douceur ou l’innocence des Roses flamboyantes, lorsqu’elles sont à notre surface. Enfouis dans le sceau de leurs âmes mercantiles, animant leurs êtres perfides. Intérieurement Elles sont qu’odeurs fétides, génocides, profanations de sépultures et déchéances illusoires. Les fleurs sont en bas des cimetières, là où les flammes dansent avec les Anges Déchus. Enfer de la Vie, ou bien, Amoureux de l’enfer ? Avec elle & en (H)elles…
L’enfer est le parfum des faibles. Recroqueviller mes ailes incendiées dans l’asphyxie des Solstices. Je goûte à mon sang, délice des Damnés, saveur du châtiment inquisiteur. J’entends la folie m’aguicher langoureusement. L’envie de me détruire résonne dans mon subconscient comme une douce morphine salvatrice. Plongé dans le Néant, je survie mélancolique avec elle, prisonnière de mon cœur défait et nécrosé. Les flammes de l’excès sont enivrantes. Je lèche la fraîche plaie de scarifications, saveur du sang impur. Elle était capable de refroidir les brasiers de mes verbes irréguliers Blasphématoires. Accusé par le sceau de l’émotionnel, elle a fuie et depuis je pleure en silence. Brûlé en Enfer, je m’allonge dans la souffrance. Je tutoie la douleur et elle, elle est la prisonnière de mes songes. L’enfer est le parfum des faibles. Condamnés par Machiavel, nous rêvons du Styx, emmurés par l’absente. Le Sablier la fait danser à travers mes larmes. Avec elle & en (H)elles…
Égaré dans les labyrinthes énigmatiques du temps, perdu à travers les scarifications de nombreux sacrifices. Je m’oublie langoureusement. Mais il est clair que c’est dans les trahisons que je reconnais vos visages. Ensanglantés, les prédateurs festoient avec Grâce sulfureuse & désinvolture pornographique. L’Horloger tourne encore et encore. La nuit est aux assassins, la lune brille par l’excès. L’obscurité s’allonge devant la bassesse des lumières factices, celles qui enchantent les FOUS. Le jour est corruption, la dictature est foisonnante. La Vie appartient désormais aux meurtriers. Et l’Horloger tourne les aiguilles encore et encore, inlassablement. Mon Ciel est enfers & l’enfer est à vendre. Avec elle & en (H)elles…
Égaré dans les plaines aux brasiers rouges sangs. Observer à l’infini la délicatesse de ses seins. Parcourir langoureusement la pureté de sa peau féminine, silhouette dessinée par les orfèvreries des Cieux. Se raviser contre la tentation sulfureuse de lui poster ma requête aux bouillants désirs, que j’éprouve envers cette délicieuse demoiselle. Affronter la dualité des sentiments et de la raison à l’égard de celle qui m’attire, afin de ne point sur peupler les geôles du pénitencier estival. Mais alimenter la veuve poignets de ce doux songe d’avec elle, au prix de ma ténébreuse torture. Refuser à Faust le droit de vivre et cracher sur l’invitation forfaitaire de son satané pacte. Au Diable l’existence, l’enfer s’écoule déjà en pénitence dans nos veines. Elle m’aguiche à signer le contrat de mon sang. Mais je réserve ma sanguine dans ma prose littéraire enjouée de spiritualité gothique, là où quelques anges valsent dans les enfers dantesques. Cependant il n’est pas une aube « dorée » et un crépusculaire « fané » sans que je porte le deuil amer d’embrasser les savoureuses lèvres de cette délicieuse inconnue, si furtive. Ici-bas, dans les méandres mélancoliques aux allures de cartes postales ensoleillées, les cierges se consument régulièrement de prières où ma langue danse sensuellement avec la sienne et où nos lèvres se caressent passionnément. Dans l’attente d’un Ciel, jadis oublié. Sous la volonté d’un œil patriarche omniprésent à travers les éternités. Avec elle & en (H)elles…
@ANGELAWHITE : Être en Enfer, c’est vivre avec la PEUR. L’enfer est dans la souffrance. Il est à travers la solitude. Il se respire dans le reflet abyssal d’une déshumanisation charnelle punitive. L’enfer est dans les miroirs oubliés de la folie où la vie n’est qu’intendance. L’enfer se lis dans les pages neurasthéniques. Il se faufile partout en zigzag au sein de l’espace temps, perdu à travers les scarifications énigmatiques du labyrinthe. Bien des chandeliers éclairent le Ciel où s’amassent d’innombrables prières en attente. Même le Passeur d’âmes est intéressé pour y commercialiser un petit trafic hérétique, le soudoyer en sera la Blasphématoire louange. Car parvenir à toucher le Paradis n’est pas d’effleurer Éden. Le Paradis se cache dans la douceur d’une fille attrayante. Il se faufile dans l’insolence d’un « French Ki$$ » langoureux & passionnel. Le Paradis se lis dans les verbes sulfureux d’étreintes sensuelles avec elle. Le Paradis se définit par le désir d’être en VIE. Il est à travers la joie de vivre parmi ceux qu’on aime si fort. Alors quoi qu’il s’écrit dans la prose littéraire de John Milton, celui-là même qui « Régnera en Enfer plutôt que de servir au Paradis ». Savoir contempler la beauté de l’éternité, ceci est la clé de l’énigme spirituelle. Avec elle & en (H)elles… #AnaisNin
Malgré le Pardon, le Sacrifice, la Résurrection, ou bien l’Amour de Dieu. Malgré nos émotions, nos sourires, nos tendresses trop timides. Le tracé de l’être Humain à travers l’Histoire, les siècles écoulés, les peurs & les pleurs. Tout n’est que poussière, car ce que Dieu et autres témoins célestes de l’éternité retiendra des Humains, c’est la cupidité, l’avarice, la haine, la destruction et le désir de domination à l’idéalisme du cabochard perché du haut de sa tour d’Ivoire constitutionnelle. L’humanité a décliné l’amour contre la haine, bien plus lucrative. Nous avons prouvés mainte et maintes fois que nous sommes bien plus aptes à faire des Guerres de cent années, afin d’assouvir notre soif de Puissance. Il n’y a que l’enfer éternel qui pourra rendre louanges à nos actes, le Paradis a été corrompu, voire calciné.
La mélodie est sublime courtisane. Tentatrice des rêves ou aguicheuse d’un enfer inanimé. Elle cadence nos existences. La mélodie soupire les désirs, elle murmure à l’inconscience l’envie de fuir la souffrance et les intransigeances du temps. Duel schizophrénique de l’esprit. Cloîtré dans l’organique espace du Manichéisme, cloisonné par la conjugaison habile des frayeurs psychiques, la mélodie jongle entre les ruses malicieuses de la folie. Elle nous guide & nous distraient. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
Prison de la Chaire, prison des sens. Prison des rêves, prison des sentiments. Prison de larmes asséchées par le temps qui coule comme la Vie. Prison de souffrances, prison de ma sexualité volée. Prison de plaisirs charnels, prison du sablier abyssal journaliers. Prison de substances chimiques, prison des dépendances. Prison de la sueur, prison du souffle. Prison de la Vie, prison des morts. Prison de la reconnaissance, prison du silence. Prison des excès, prison de l’échec. Prison des peurs, prison des pleurs. Prison d’avancer, prison de la Fatalité. Prison de mes Désirs, prison de mes fureurs. Prison de ma violence, prison de l’espérance. Prison des espaces, prison des codes. Est-ce que la Vie permet de VIVRE ?! Avec elle & en (H)elles…
Brutalité aguicheuse, les frivolités attisent les excès du brutalisé. L’apeuré est attiré par les brasiers des excès. Le Prêtre a prêché la dernière sentence à expier. Asphyxié de la fatalité, je me noie dévoré de prières non exaucées à jamais. L’enfer est bien une réalité, il s’est logé dans la verveine neurasthénique de ce fichu passé non avoué. Privé d’air, mon exil est exhumé dans les méandres du Styx où les damnés sont dans la farandole des châtiés & des égarés. Ici-bas, là où le Mal est ‘Bonté’, perdu à jamais dans le sablier schizophrénique de l’éternité, l’horloger y a déjà facturé ses regrets. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
#Gazhell : Caprice des Calices ou Calice des caprices. Le calice daigne ennoblir leurs caprices. Le calice daigne assouvir leurs caprices. Le calice daigne être complice de leurs vices. Le calice daigne irriter nos cicatrices. Le Ciel crachera sur leurs calices, jusqu’à brûler ces fleurs de lys. Le calice daigne aliéner la viscérale populace en liesse. Le calice daigne enchérir la souffrance pour que les bénéfices fleurissent. Le calice daigne appauvrir l’espérance. Le Ciel porte le deuil amère des brasiers rouges sangs qui nous salissent. Calice des caprices ou caprice des Calices. Avec elle et en (H)elles… #666NuancesDeBraises
@ANGELAWHITE : Parfois c’est parce qu’elle ne s’offre qu’à ceux, dont l’argent ruisselle dans les veines et enivre la médisance arrogante désinvolture sadique de leurs alphabets, ceux dont elles prient l’Occulte afin d’étancher leur soif d’un machiavélique paradis corrompus. Les « Jeux » du paraître sont les digestifs favoris de la cour des monarques du miroir illusoire. S’apercevoir et observer inlassablement la danse endiablée des sournois & des courtisanes à la verve assassine. Lorsque mes yeux de flammes pleurent sur les chandelles d’une espérance oublié, et que le modeste bénitier de l’église, où quelques Saintes émanent de belles prières en ma faveur. Que ce pur bénitier s’embrase d’Hérésies et laisse entrouvert la colère des enfers. Lorsque mes larmes silencieuses épousent le seuil des Portes de l’enfer éternel, c’est parce qu’à travers le refus érotique de ces si douces & irrésistibles attrayantes courtisanes d’Éden, je meurs férocement dans un océan chorégraphié de braises incendiaires Damnatoire. L’absence de sensuel tactile avec, sur & en elles. L’absence d’un sourire remplacé par une désinvolte grimace. L’absence d’un divin & profond langoureux « French Ki$$ ». L’absence d’une légère caresse sur mon visage, ma main, mon dos. OH MON DIEU OUI j’en meurs !!! Progressivement, littéralement, lentement mais sûrement je me meurs. Je me consume atrocement car ma louange et mes prières sont retranscrites dans la symbiose onirique et harmonieuse d’un ballet d’érotismes charnels avec elle et en (H)elles. Là où sensualité est exaucé pour certains, discrètement le poète des Ténèbres se fane dans un cercueil émotionnel. L’écriture est mon SANG, mon OXYGÈNE oui je le hurlerais infiniment. Pourtant le déclin de sexualité poétique avec et en elles, cela suffit à ce que mes pulsions me pousse à brûler les champs abondants de Roses flamboyantes & immortelles du céleste Jardin des Cieux. Là où Éden est mon enfer, là où mon âme s’enflamme passionnément pour ces maudites courtisanes irrésistibles. Là où embrasser la chute est aguicheur, quelque part entre enfer et paradis, il se dissimule une leçon de vie. La leçon d’un immortel Paternel qui aimerait vraiment qu’on puisse avancer par ces propres choix et progresser dans la bienveillance tendre d’un immortel Papa. Avec elle & en (H)elles… #AnaisNin #666NuancesDeBraises
Éveil des sens, Ode à l’invitée. Plaisirs de la chaire, Ode à l’excès. Excitation sulfureuse, Ode à mes Désirs. Sourire à l’inconnue, parfums enivrants. Marchés des rumeurs ou Bazars des apparences. Brutalité inoffensive ou circonstance de la violence. Âmes dérobées par les télés-réalités, ou vampirisation de l’incontournable orgueil de comptoir. Raison ou pulsions irréfléchies. Illusions ou lucidités. Substance chimique ou ‘placebo’ à 90 degrés. Décliner l’offre ou fructifier la demande. Frivolités foisonnantes, danses des dagues traîtresses & des Roses empoisonnées. Opulence des assassins, parade des mensonges & des trafics d’influences virtuelles. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
Jeux de mains, jeux de vilains. Jeux de lèvres, jeux de langues. Jeux de dupes, jeux des interdits. Irrémédiablement dans le sulfureux jeu de la séduire, elle, délicieuse courtisane qui affole nos sens et nos émois amoureux. Fascinant mystère, foisonnante lumière virtuelle. Lumière de paille sur l’énigmatique compositeur du tempo si endiablé. Le mystère attise & attire les lumières sur ses ailes cadencées. Et nous rêvons de pouvoir enfin nous conjuguer torridement, passionnément, langoureusement & sensuellement avec Elles. Symphonies des sens, symphonies charnelles, symphonies des ébats, symphonies des Désirs & danses du Plaisir. Là où tout serait ‘calme, luxe et voluptés’. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
Vestige des vertiges, assez troublé je l’admet, j’ai eu la grâce de t’embrasser par un langoureux baiser. Je parcourais ta délicate peau de soie satinée, avec mes caresses empreintes de légèretés. Avec toi j’ai traversé des éternités et j’ai osé toiser l’Horloger, et figer l’immortalité à travers tes lèvres veloutées. Je t’ai révélé ma ténébreuse identité. Je t’ai avoué avoir pratiqué dans certains péchés. Je t’ai confessé avoir fauté. Désormais j’ai la crainte que tu puisses me dévisager avec cruauté. À cause de mon passé que je n’ai pas assez délié, mes ailes recroquevillées, funambule autiste des excès. Je suis effrayé que tu ailles danser à côté, dans les plaines éloignées aux brasiers enjoués de sanguine décomplexée. Vertige des Vestiges… Avec elle et en (H)elles… #Hell36 #HELLBRAZZERS
Mentir pour devenir, mentir pour grandir. Les Dieux & Déesses s’essoufflent dans un ‘jeux des chaises musicales’ où la candeur des siècles se carbonise progressivement par dame bêtise. Mentir & grandir. Les héros finissent par mourir et s’évanouirent lentement vers les Enfers. Les héros sont chassés puis brûlés de l’enfance. Grandir & mentir. Les héros sont le vestige d’un miroir obscurci par la honte d’une enfance qui terrorise l’âge adulte et fait obstacle à la maturité. Devenir pour mieux guérir et grandir pour mieux mentir. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
#Frankenstein37 : Conjuguez les flammes de l’enfer & la froideur glacée du paradis, il en résulte une source d’eau. Donc mélangez le bien & le mal, il en découle de la vie. Bonne initiative ou mauvais choix, peu importe la réponse. L’apprentissage et l’évolution, la maturité et l’erreur, si la musique est d’un calcul glacé il n’y a pas de leçon de vie. Anges ou Démons, Saints ou Damnés, vertueux ou vicieux. La Vie est nuances de pourpre et de gris. Dieu n’est pas l’accusation, il a proposé un chemin et nous a offert le don de vivre. Il nous appartient, à nous seuls, d’avoir écrits nôtre Histoire qu’à travers des pages faites de noir & de blanc, comme si la conscience et la raison ne se révèlent que entre la droite ou la gauche. Dieu a indiqué qu’il y a le Nord & le Sud, mais la boussole indique également l’Est & l’Ouest. Un ange peut bien apprendre le pardon à travers des yeux plongés dans l’enfer éternel. La Vie c’est des rencontres enrichissantes et des épreuves, mais la différence est une vertueuse force. Elle nous permet d’en apprendre plus sur nous-mêmes. Peut-être aurais je dû être assez moins absorbé par mes tourments de schizophrénie endiablée, pour être apte d’écouter mieux les leçons d’apprentissage du Papa Dieu. Mais sans avoir chuté, jamais je n’aurais pu écrire et jamais je n’aurais appris de la vie. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
Désinvolture de l’abîme, autrefois le shopping était un loisir. Désormais dépenser est une nécessité et acheter devient une priorité, si vous n’avez pas consommé alors vous n’avez jamais existé. Désinvolture de l’excès, autrefois les Enfers chantaient louanges à la sobriété et les Diables soudoyaient par les frivolités. Désormais si vous n’êtes pas encore dépravé alors vous n’avez jamais existé. Désinvolture de la décadence, autrefois les prêtres trafiquaient la confession des égarés et ils engloutissaient la contrition du décédé. Désormais c’est le Styx qui est saturé d’âmes tourmentées. Désinvolture de l’ironique, autrefois les Portes de d’Éden s’ouvraient à ceux qui le désiraient. Désormais ils ont tous priés pour briller dans la criminalité. Autrefois l’enfer vous effrayait, il vous terrorisait, désormais c’est le Paradis qui est bel et bien du Passé. Avec elle et en (H)elles… #666NuancesDeBraises #Gazhell
L’humain est un stupide refrain. L’humain est un fade quatrain. L’humain est un véritable venin. L’humain a bousillé le chemin. L’humain a pissé sur les Saints. L’humain restera toujours un Pharisien. Les Diables en sont les pharmaciens. L’humain n’est que la verveine malsaine, il a choisi son Destin et il n’a pas choisi en vain. Avec elle & en (H)elles…
Sermons de l’hypocrisie ecclésiastique, bénitiers mercantiles pour des prières falsifiées. L’assassin embrassera l’étreinte de Dieu, le tourmenté galochera le baiser de l’enfer. Les traumatismes sont-ils une institution en développement durable ici-bas ? Alors qu’elle s’offusque de l’innocence timide par cette âme ténébreuse, bien plus apeurée par la propagande des Soleils. Les serpents s’en iront dormir dans les voix apaisantes du Ciel, pendant que les colombes seront noircies par l’oxydation furieuse des caresses enflammées du royaume des ombres. Et Dieu chérira ses tueurs & ses traîtres sous l’éloge du clocher paroissial. Est-ce que l’ange de Feu est-il honnêtement l’ennemi absolu ou est-ce l’humain déguisé en prêtre qui a menti par omission pour servir les mensonges des églises ? Qu’est-ce que la vérité ici-bas ? Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises #DeFeuxetdEncres
Ici-bas l’institution cadence la prison, le poison est dans le venin de l’institution. L’institution rythme la transition & les assassins absolvent la religion. L’agneau rend grâce à l’opinion du prédateur, il dévoue ses prières dans les paraboles du Loup, St Jean n’écrivait pas vraiment une fiction. La victime facture pour aimer sa soumission. L’enfer est l’addition, l’existence n’est qu’une légère diction à la journalière destruction. L’apocalypse n’est plus une illusion, elle est au seuil des Ambitions. La tragique leçon est que l’inspiration de « Brutus » a généré une religion, celle de la perdition et cette dévotion abyssale à l’éternelle chute est nôtre institution. Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
#666NuancesDeBraises : Condamné à l’immortalité. Enclavé dans cette société, où s’agite avec férocité quelques cabochards détraqués. Isolé dans un brasier inanimé où les promesses sont falsifiées. Égayer les hallucinés d’un marketing dévergondé. Zapper sans arrêt le programme télévisé pour rêver de l’embrasser & effleurer les douces lèvres de cette fille adulée. Prier figé dans la pénombre de catacombes abandonnées. Cloîtré dans la paroisse aux mensonges éhontés. Là où les cimetières sont truffés d’âmes enneigées par la Fierté. Là où le Paradis est infesté de pamphlets ensanglantés. Là où les croix sont brûlées par des Thénardier aux vertus souillées. Là où Éden est un carnavalesque carrousel d’âmes souillées. Tranché à vif par leurs « Vérité ». Éternités aux reflets désabusés. Les dés, semble-t-il, sont déjà jetés. Il n’y a d’issue ici-bas pour être jugé sur le « Bûcher ». Effrayé par l’effroyable réalité, demain je ferai mieux d’aller me tuer. Disparaître à tout JAMAIS. Anoblir la mendicité de ces Jézabel effarouchées, elles si préoccupées à étreindre l’infernal ballet. De toute façon puisque le Ciel ne m’a jamais écouté, lorsque mains jointes je priais. Alors que diable, « Aléa Jacta Est », mon sort a bien l’air d’être scellé… Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises
#666NuancesDeBraises : La Folie des Hommes & la Sagesse de Dieu, ou est-ce la Folie de Dieu & la Sagesse des Hommes ? La religion de la Science ou la Sagesse de la Doctrine religieuse ? La démence des Prophètes ou la prophétie des illuminés ? La Politique des fous ou la Folie des Passions ? #Hell36 #HELLBRAZZERS
« Le Ciel n’entend pas de prières, mais il écoute les mensonges… »
L’Archimandrite Ténébreux : Vincent Blénet !
« Vincent est un auteur et ami exceptionnel que j admire beaucoup, de par sa force et son mental, sa plume est douce malgré ce côté obscur qui fais de lui un être unique. Découvrait le… vous ne le regretterai pas… » Eulalie Bué (Auteur et Poétesse)
Pour : « Des Crises en thèmes » Texte de Vincent Blénet (666, Nuances de braises)
« Abyssus abyssum invocat »© par Sandrine Turquier – Poétesse
La désespérance est le lot commun sur la Terre où l’homme est un loup pour l’homme.
L’obscurantisme se rue sur moi comme le froid glace le sang !
Enfant dévasté, le noir est ma nudité et j’avance mortifié par trop de désillusions dans les ténèbres de l’enfer sous le regard amusé de l’ange déchu. Je voudrais d’autres ciels, d’autres vies pour bannir ma douleur qui arrache mes cris ! Ici bas, des crises en thèmes affligent les âmes affamées d’amour de pacotille et de rêves mutilés.
Abyssus abyssum invocat !
Le dénialisme des brebis égarées profite au diable et la faiblesse, l’envie, la honte et la lâcheté courtisent les despotiques refoulés ! Le sybaritisme fait recette et les marchands de sommeil égrènent les chapelets de l’imposture sous les visages goguenards des pasteurs, compagnons d’ivresse de fidèles primitifs et infertiles !
Ici-bas, je tremble et crache des perles de soufre sur les scélérats !vous qui m’avez piétiné, humilié ! Chaque regard croisé à sa propre charogne, visages burinés, corps cabossés par les coups bas de l’existence !
Abyssus abyssum invocat!
Ici-bas Le diable se cache dans l’aspérité de l’âme. A grandes rafales, mes délires schizophréniques m’enlisent dans les strates marécageuses des bacchanales où des beautés perfides caressent mes tentations !
Rien ne vaut la consolation de la peau… Entre moi et moi jamais assez d’elles !
La dernière rose s’incline comme pour une dernière révérence, ma vie vaut t’elle la peine que j’y croie ? Ici-bas, les crises en thèmes attise le diable et moi, MOI je cherche une thébaïde…©
Sandrine Turquier©
Pour : « VodkHALLOWEEN » Texte de Vincent Blénet (666 Nuances de braises)
« Ne plus avoir de cœur et vivre sans âme »© par Sandrine Turquier – Poétesse
La tempête fait rage dans les esprits nécrosés des âmes impures, toutes étonnées de la fureur de Dieu qu’elles ont maudit dans leurs tourments narcotiques ! Sur les pentes graveleuses des rochers de l’enfer vous agrippez vos doigts crochus sur les oripeaux de votre déliquescence !
Ne plus avoir de cœur et vivre sans âme…
La vie est éphémère et la puanteur de vos êtres ne fait qu’abréger ce voyage ! Narquoises et insipides vos âmes mangent du curé pour mieux servir Satan ! Le monde superficiel est votre royaume et les sept péchés capitaux sont votre décalogue!
Ne plus avoir de cœur et vivre sans âme…
Un cœur pour haïr, un corps pour jouir, une âme pour détruire ! Pour répondre à vos angoisses de polichinelle et à vos larmes de carnaval, vous plongez tête première dans le fleuve de la cupidité ! Seuls et mourants dans vos lits syphilitiques, vos joues creuses et grises appellent la compassion du pauvre chaland pour répandre dans leur cœur vos propos sataniques !
Ne plus avoir de cœur et vivre sans âme…
Qu’est-ce que la vérité ici-bas? C’est le costume trois pièces de la mort déguisé en jeune mariée.
Ne plus avoir de cœur et vivre sans âme. ©
Sandrine Turquier©
Poème d’amitiés pour Sandine Turquier
Poétique est ma plus belle et majeure existence. Alors que la Nuit accélère les sentences et approfondie les blessures de l’insolence, alors que les querelleurs s’inclinent devant les bassesses. Pendant que les Saints jettent l’éponge face aux vacarmes de l’obsolescence, genoux pliés par les excès de l’ignorance. Courber l’échine face à l’obédience, tête baissée dans l’obéissance, et les soleils qui dansent avec effervescence. Ma prière & mon pain de Poétesse est ma plus magnifique reconnaissance. Dans la Poésie j’y retrouve les sourires de l’enfance. De l’excitation et l’impatience. Derrière ma plume, j’ai une profonde renaissance. L’écriture me procure la force de briser les silences. Inspirée par ces auteurs de la Quintessence. Poétesse d’existence, intraitable sur l’excellence des versets contre l’offense. Peu m’importe qu’il y ait un Enfer ou un Paradis, la Littérature est mon Ciel, l’église de Sagesse. Peu m’importe que les cercles dantesques soient cacophoniques divagations, la Poésie est ma chanson douce. Poétesse je suis & éternellement je serais Poétesse. Bien au-delà des songes de l’innocence, la Poésie inscrira ma joie de l’enfance.
l’Archimandrite Ténébreux : Vincent Blénet !
Photo Credit : Océane F. Photography (compte Instagram : @photosdoceane)