BITTER SWEET (666 Nuances de Braises)
27 août 2019 par vincent
« L’enfer est vide, tous les démons sont ici. »
William Shakespeare
Fleur de Lys, je suis la fragile proie du parfum des lys. Envoûtant érotisme, je suis enivré par l’obsession où s’effleurent en symbiose harmonieuse avec onirisme langoureux mes ailes enflammées & la délicieuse bouche veloutée de cette jolie mortelle. À défaut d’être rassasié par l’indolence délicate, j’ai entendu l’insolence des excès charmer mes cantiques. Dès que certaines âmes damnées ont la fâcheuse habitude de pleurer leur sang, irritées par la colère récurrente humaine, sur nos brasiers enjoués que sont leurs bûchers d’Inquisition. Je ressens irrésistiblement l’attraction terrifiante de « l’appel du sang ». Et lorsqu’on est confronté à cela, notre faiblesse additive, ce poison qui nous électrise furieusement, voire férocement. Dieu seul est en mesure d’être notre avocat, notre juge, notre plaidoyer ou notre accusateur. Avec elle & en (H) elles…
L’éternité à tout jamais seul, l’éternité cloîtré dans ce cercueil. L’éternité traqué par mes angoissants deuils, l’éternité traqué par cet envoûtant & parfumé linceul. L’éternité cloîtré dans d’acides crachats du trèfle à quatre feuilles. Avec elle & en (H) elles…
Faute d’entendre nos prières, La fin justifie les moyens… L’habit ferait-il le moine ?…
Ici-bas, nous avons faim. Faim de vie, faim de joies, faim de sensations. Nous sommes asséchés par cette faim de vie, perdus et oubliés dans les méandres purgatoires des flammes hérétiques, là où la punition châtie davantage le tourmenteur que le tourmenté. Lorsque nous respirons l’odeur du souffre constamment et qu’un léger parfum de sang frôle nos âmes, nous ne parvenons pas à retenir le dragon qui rugit en nos entrailles ‘spirituelles’. Comme si nous étions possédés par ‘l’appel du sang’. La vengeance envers l’expulsion d’Éden, l’envie d’infliger aux ‘élitistes sauvés’ toute l’accumulation de douleurs, de brûlures et de frayeurs terrorisantes qu’ils n’ont de cesse de nous retourner avec pavoisement narquois. Ici-bas, on les regarde dans le chaos du Feu inquisiteur, eux qui, cachés derrières le nacré des nuages du Ciel, nous envoient leurs crachats réformistes avec arrogante désinvolture. Des crachats expiatoires et révulsifs, pendant que nous trimons inlassablement, à bout de souffle, dans la négation et le désespoir absolu, sans ressentir un quelconque sourire que nous ‘offrirait’ l’immortalité. Bien plus que des orfèvres, nous sommes le produit fructifié et fructifiant de notre Royaume déchu. Nous avons la damnation dans le sang, périr éternellement est le venin qui ruisselle dans nos veines. Depuis des millénaires nous sommes maintenus en asphyxie constante face à toute forme d’émotion et d’expression positive. Ils ont altéré nos consciences, il est trop tard pour guérir toute sorte de séquelle. Habitués à respirer le mal, nous infligeons le mal. Damnés, déchus, abandonnés ou perdus, peu importe car le mal est déjà fait. Avec elle & en (H) elles…
Ici-bas, la souffrance fleurit en abondance. Le fumet des tourments infernaux se télécharge en illimité facilement. La négation & la haine se multiplient plus aisément que la contrition. Cueillir la vengeance et la démence, aux cœurs des brasiers enragés de rouge sang, c’est coutumier des éclipses régulières. La saison des récoltes foisonne d’idées pour appliquer les châtiments damnatoires ici-bas. Chaque cercle hérétique des Enfers s’embrase d’émerveillement car il n’y a pas de chômage, la viande fraîche s’importe et nos babines tressaillent de régalement. Avec elle & en (H) elles…
L’éternité à tout jamais seul, l’éternité cloîtré dans ce cercueil. L’éternité traqué par mes angoissants deuils, l’éternité traqué par cet envoûtant & parfumé linceul. L’éternité cloîtré dans d’acides crachats du trèfle à quatre feuilles. Avec elle & en (H) elles…
Faute d’entendre nos prières, La fin justifie les moyens… L’habit ferait-il le moine ?…
Brûler et mourir à l’infini, périr et dormir à l’infini. Brûlure du repentir inlassablement, souffrir et mourir dans le silence. Privation et frustration dans un absolu mutisme de rigueur. Obédience à la souffrance, courber l’échine devant l’éternelle sentence, dite ‘purificatrice’, là où les flammes dansent en symbiose avec l’excès et les brasiers attisent la saveur de nos cicatrices. Périr et mourir à l’infini des neuf royaumes de l’enfer, à travers l’oubli cyclique du sadique ballet neurasthénique de ces milliers de cercles sataniques qui embrasent la folie des passionnés, lesquels nourrissent tant de charognards inquisiteurs férus d’appétit pour la chair fraîche. Les proies faciles pour nous sont les âmes soumises à l’ambition de la domination des faibles. Si vous êtes une victime vous aurez moins de saveur culinaire pour nos babines. Par contre si vous êtes un bourreau, si vous portez aisément le Bescherelle du vice, que vous conjuguez facilement les maux alphabétiques de Machiavel, que vous pratiquez aisément la prose infernale de Faust. Alors votre sang est alléchant pour nos narines, affreusement désespéré de sensations vitales. Cela renforce furieusement nos désirs cannibales de viande fraîche pour survivre à l’éternité, cloîtrés dans le cercueil des Enfers. Les pêcheurs sont les actionnaires des cantiques du Diable. Le Ciel est à l’agonie face à l’ascension du Mal, l’humanité se soumet à la damnation hérétique pour flirter avec les profits et autres bénéfices égoïstes. Le Diable ne peut pas mourir tant que l’humain sera à la fête. Le Diable existe pour divertir les humains, le diable est le meilleur Ami de l’homme. C’est le Diable qui aura le dernier mot sur les humains, échec et math. Avec elle et en (H) elles…
Ici-bas, l’habitude de la brûlure assèche nos âmes tourmentées. La démesure vertigineuse à l’absence d’espérance règne en maîtresse conquise. La douleur est souveraine et les cicatrices sont en effervescence harmonieuse. Les émotions ont choisi de se taire et d’aller s’allonger près des croix oubliées du cimetière où repose nos lointaines prières, jadis espérées mais si vite martyrisées par la fatalité de notre sinistre immortalité, amère, fade et bien longue à endurer. Nous traversons les siècles par le sceau du Mal glacial qui empoisonne nos soupirs et emmure nos désirs dans le cynisme et l’oubli. Être ou ne pas Être ? On n’est même pas autorisé à réfléchir à toute forme expressive pour y répondre. Nous sommes juste les esclaves de l’agonie dantesque, les exécuteurs du jugement omniscient, les manutentionnaires de la sentence arbitrale du céleste châtiment envers « la Faute ». Avec elle et en (H) elles…
L’éternité à tout jamais seul, l’éternité cloîtré dans ce cercueil. L’éternité traqué par mes angoissants deuils, l’éternité traqué par cet envoûtant & parfumé linceul. L’éternité cloîtré dans d’acides crachats du trèfle à quatre feuilles. Avec elle & en (H) elles…
Faute d’entendre nos prières, La fin justifie les moyens… L’habit ferait-il le moine ?…
Ici-bas, l’appel des excès est surpuissant, il dépasse l’instinct de survie, voire la raison des immortels. La nature humaine est épouse du blasphème, l’argent possède l’homme, il en manipule tout son être tel une marionnette. L’humanité est & restera à jamais la proie parfaite de ses propres bassesses. Victime idéale de ses propres vices, louanges éternelles à sa perdition dictée par son ambition. Le cancer de la race humaine est son désir de victoire, sa conscience en est davantage séduite par une alléchante boulimie d’avarice royaliste. L’homme a toujours succombé à imposer la féodalité face à ses congénères car l’humain aime soumettre autrui à ses propres fantasmes idéalistes. La dictature, d’ailleurs toutes celles qui ont été la colonne vertébrale de l’histoire humaine, elles ne sont que le reflet dérisoire de la philosophie des mortels, à savoir « je veux acquérir ce que mon prochain possède et je souhaite l’assouvir à ma volonté. Ainsi je peux le manipuler à ma guise & le tuer lorsqu’il ne m’amusera plus ». Le temps est un joueur d’échec, un tricheur de poker, il bluffe les mortels par son étendue en longueur mais également par la contraction une fois le chemin parcouru. Amusés par les paradoxes de l’Éternel, nous tournoyons, agités par notre joyeuse démence à travers les brasiers colériques de l’enfer. Nous embrassons les flammes comme nos passionnelles amantes de fortune. Les érotiques ébats entre elles & nous font effroi à travers les Royaumes éternels. Notre misère et notre folie terrifient le Ciel. Les Saints en tremblent à l’idée que les humains ne franchiront pas la douane de St Pierre à leur décès, mais qu’ils seront entre nos ailes expertes et qu’ils finiront dans l’assiette de votre serviteur ici-bas. Avec elle & en (H) elles…
Ici-bas, il n’y a pas de place pour les pleurnicheurs. Ici-bas, seul les vainqueurs sont sacrés ‘Empereurs’. Ici-bas, Le confesseur n’a que faire de tes pleurs. Ici-bas, les oubliettes regorgent des poussières de prières. Ici-bas, les Prieurs calcinent la sève et assassinent votre ‘Sauveur’. Ici-bas, point d’affolement car les malheurs sont toujours à l’heure… Mais alors, est-ce que les flammes auraient-elles sanctifiées nos désirs par de l’hérésie ici-bas ?… Avec elle & en (H) elles…
Faute d’entendre nos prières, La fin justifie les moyens… L’habit ferait-il le moine ?…
L’éternité à tout jamais seul, l’éternité cloîtré dans ce cercueil. L’éternité traqué par mes angoissants deuils, l’éternité traqué par cet envoûtant & parfumé linceul. L’éternité cloîtrés dans d’acides crachats du trèfle à quatre feuilles. Avec elle & en (H) elles…
« Ne prends pas pour vérité la prophétie, ce n’est qu’un mensonge couché par écrit. »
William Shakespeare
Dante Ki$$ LIFE. Baudelaire Ki$$ FAITH.
Milton Ki$$ KNIFE. Nietzsche Ki$$ BREATH.
#Hell36 : Je suis inhumain pour être apaisé. Pour avoir la possibilité de toucher une belle fille & être effleurer par la main délicate d’une fille attrayantes. Inhumain pour être aimé. Inhumain pour ressentir du plaisir, du Sexe féminin passionnellement, de l’orgasme en regardant les yeux de celles qui m’attire. Inhumain pour être considéré. Inhumain pour être accepté. Inhumain pour être heureux. Inhumain pour Vivre sans tourments. Mais par contre, je suis un être humain pour souffrir. Humain pour saigner, pleurer, quoique mes larmes ne coulent plus car j’ai TROP souvent souffert. Je suis un être humain pour me droguer de camisoles chimique psychiatrique, pour chier, transpirer, essoufflement. Humain pour être toujours le sale schizophrène Satanique, le gros lard blanc qui est celui-là même qui rebute vos idéaux aryens. Humain pour respirer la douleur et le chaos permanent d’une vie sans espoir ni humanité ici-même. Humain pour être trahi. Humain pour être parfumé de vos menaces & divers mensonges. Humain pour avaler la HAINE & la MORT. Humain pour savourer la destruction, la dépression et la peur omniprésente de tout. Humain pour être habitué à exprimer sa colère ou fureur pathologique. Humain pour être traumatisé par la perspective d’être condamné à être brûlé en Enfer. Humain pour être toujours en angoisses chroniques. Humain pour n’avoir jamais pu sentir un amour de Dieu. Humain pour être snobé de mes prières. Humain pour traverser la nuit sulfureuse et toucher les flammes de l’excès, parfois enivrant. Humain pour être paumé et pauvre, alors que ce monde n’est qu’une question de paiement lucratif. Humain pour être craché à la face par les médias mainstream qui vous affublent de médiocrité car vous n’avez pas léché les balloches marketing de France TV ou NRJ12. Humain pour être condamné au silence accusateur. Humain pour être jugé de Blasphématoires, et de n’avoir pas la possibilité de se défendre contre l’inquisiteur, parce les frais d’avocats sont exorbitants. Humain pour être relayé aux classes inférieures. Humain pour ressentir les deuils et la folie. Humain pour appréhender l’avenir. Humain pour connaître le rejet et multiples déceptions. Humain pour être misogyne radicalisé, faute d’extrêmes scarifications ensanglantés qu’elles ont exercées sur mon âme à l’émotionnel fragilisé. Humain pour regretter presque tout. Humain pour marcher dans le brasier Dantesque de l’existence encore et encore. Mais heureusement, Humain pour Écrire et rendre fière ma maman. #Fionomiste #CanalChattes #Swastikadachattes #laChatte@150e #HELLBRAZZERS
Nul, nous ne sommes rien d’autre que quelques matricules. Misérables particules non désirées et chimiquement enclavé par de funestes molécules. Nul, inutile Animal, oublié & funambule des excès, habituellement plongé dans une virtuelle lucidité, bien qu’assez provisoire. Nous croyons à l’illusion, captés dans un viscéral mensonge, fatale. Foutaise hallucinogène d’une clairvoyance de fadaises. Nous devons apprendre à embrasser la PEUR. Galocher langoureusement le pire de nous-mêmes, et ouvrir grand les yeux face à face avec nos terreurs. Apprendre à accepter que par delà la monstruosité qui sommeille en nos pulsions, ou diverses névroses. Même si nous avançons sur le fil du rasoir, vertigineusement et progressivement. Il nous faut accepter que rien ne soit immuable & figé dans le temps. L’évolution et les changements sont de la partition, au sein de cette symphonie du hasard. Apprendre à vivre avec la PEUR, apprendre à s’accepter avec sa propre fureur pathologique. Mais apprendre à décliner de leurs répondre et ignorer les ruses malicieuses de la folie. Pour apprendre, petit à petit, d’essayer de vivre parmi eux, et valser avec le tout à chacun sans ramasser les camouflé de la cour des monarques. Faire de ses faiblesses, une force. Avec elle & en (H)elle…
Cela fait 20 ans que je suis mort, dans les entrailles de la psychiatrie, noyé de camisoles chimiques où la neurasthénie rythme la mécanique de ma tombe. Je n’ai jamais ressenti une quelque sensation de vivre. Elles n’ont jamais cherché à découvrir, derrière mon regard écorché, il y’a de la tendresse en moi Et que je souhaite toucher la Vie à travers Elles. J’ai essayé par bien des tentatives d’avoir une humanisation, sans succès. Enfermé dans un cercueil institutionnel, je rode au milieu des FOUS. Confiné dans ce cadavre neuroleptiques, mon second cercueil. Là où aucune émotion, ni Désirs érotiques n’y sont possibles. Je vis sans vivre. Je respire en étant asphyxié. Tourmenté dans la PEUR, les deuils et la sensualité que l’existence m’a dérobée froidement. Heureusement, il y’a l’écriture !!! C’est elle qui me permet de révéler l’innocence de mes larmes silencieuses. Là où mon âme, consumée par diverses brûlures d’un enfer énigmatique, s’agenouille avec paradoxes. Avec elle & en (H)elle…
#666NuancesDeBraises : Lorsque vous êtes témoins de mes crises excessives, lorsque j’ai franchi la ligne de l’outrance et du scandale. Lorsqu’il est impossible de comprendre ce qui me tue de l’intérieur… Sachez qu’en fait, je suis prisonnier de moi-même, mais surtout je suis enclavé entre fatalité et désespérance à l’infini. Piégé par le mutisme, mon destin « handicapant », je suis la proie de mes propres flammes. Qu’elles soient expiatoires ou hérétiques, Blasphématoires ou vengeresses. Je suis persuadé d’être l’erreur, persuadé que je l’ai mérité tout en étant asphyxié par la confusion paradoxale de ne pas comprendre pourquoi cela m’est arrivé. Parfois c’est la dépression mélangé avec la colérique douleur qui submerge mes phrases et boum, boum, boum j’ai encore tranché très, voire TROP loin dans le vif du schmilblick. Alors quoi de plus normal que se raccrocher à faire subir l’enfer chaotique & abyssal procès Dantesque envers ceux dont je pense qu’ils ont été gâté par la vie. Ceux dont j’ai toujours pensé que Dieu les a bien davantage AIMÉ que ma triste âme. Ceux qui ont été autorisé à Vivre avec quelques bonheurs. Si vous n’avez grandit qu’avec la symphonique fureur des flammes d’un enfer éternel, goûté à la carcérale pathologique de l’esprit d’un écorché vif. Si chacun de vos gestes vous terrifie et vous culpabilise d’avancer dans le sentier de l’existence encore et encore. Si vous vous croyez égarés dans un labyrinthe énigmatique au brouillard épais. Si vous êtes noyé dans vos propres pensés, alors qu’en est-il des victimes ?! Avec elle & en (H)elle… #ARMAGGEDON #Hell36
#666NuancesDeBraises : La plupart des gens évitent d’affronter la responsabilité de leurs travers. Ils ont sans cesse à propager des « solutions miracles » mais sont incapables d’assumer quoique ce soit. La vérité c’est ce que EUX ont décidé d’admettre. Pour éclipser les traumatismes de ceux qui sont dans la torture, ce n’est pas dans de la psychiatrie analytique, ni d’overdoses de camisoles chimiques destructeurs, ni dans la quête excessive du sport et encore moins dans les prêchis prêchas politiquement correct des bambins lycéens vêtu d’une casquette à l’envers ou d’un polo Lacoste avec un bandana, genre Ko Lanta. L’arrogance de la jeunesse tente à soudoyer l’expérience de la souffrance. On ne peut pas effacer d’un coup marketing ou bien par un « remède magique » certaines cicatrices et certaines blessures, lesquelles ont été infligées par la fatalité, et nous ont marqués à l’usure du temps. Par contre, essayer de comprendre celui qui souffre, comprendre pourquoi il s’y est emmuré comme ça et ce qui l’a poussé à embrasser la destruction ainsi que son propre chaos. Cela n’enlève rien à la douleur émotionnelle, mais dans sa fragilité, l’âme en peine se ressent moins incompris dans la vie autour de lui. Même si on ne peut pas revenir en arrière et qu’il faut avancer droit devant, prendre un peu d’air nous aide à sourire à la Vie. Avec elle & en (H)elle… #Hell36
#PayetonHumanité : « Dieu que de fastes et merveilles éclaire mon regard devant elle. Son visage est un miroir des privilèges de la quintessence. Elle est le parfum de la noblesse, la sensation de jasmin d’Éden et l’odeur du Ciel. Qui suis-je vraiment pour oser la contempler, alors que j’ai échappé aux Enfers pour me faufiler entre les conviés du Bal de l’excellence. Qui suis-je pour prier la clémence du Père éternel, envers les tourments des Désirs immortels. Oh mon Dieu que je suis en souffrances face à elle… » « Hein quoi, frère, il a dit quoi le gros, wesh ? » « Euh, meuf, il a dit que t’es BONNE et qu’il voudrait te Ken, frère ». « Dieu, qu’il serait sublime douceur de pénétrer en son sanctuaire privé, lui enseigner le dévergondage et quelques plaisirs charnels. Caresser le jardin intime de cette délicieuse innocence & l’initier à des frissons interdits. Frôler d’un revers de lèvres les sens fragiles de cette apprentie si jolie. Réchauffer la pudeur de cette jeune ingénue » « wesh gros, t’inquiète y’a tout le quartier qui lui a déglinguée le cul, même les fratés lui ont bombardée la chatte toutes les semaines » « Roya la vie de ma mère, le cachalot y’a pas moyen c’est MORT, nique sa mère à lui. Si je nique un Bounty, y’a que Kévin qui a le droit de me KEN ». #laChatte@150e #balancelamichto #sacafoutrematerialiste
#Fionomiste : Phénomène alcoolisé, dans une vicieuse féminité, la jeune écervelée très agitée a démontré qu’elle n’est pas assez développée en affichant avec frivolité sa négationniste stupidité. Elle aura beau manifester la jouissance de me tabasser. Je suis déjà condamné par la Main de la fatalité. Tu pourras me fracasser, je serais encore là où dansent les exhumés. Car l’enfer Dantesque a jonchée ma sombre éternité. Et Oui petite dévergondée, même si tu as soudoyée les templiers pour une invitation VIP à monnayer ta silhouette facturée contre des turluttes tarifées. Après le solstice d’été, tu ne resteras pas moins que vulgarité et un pur produit godée pour Débauchés. L’avarice Est ta destiné, dans les oubliettes de l’histoire cabossée. Même méprisé, je poursuivrai d’une plume érotisé la sulfureuse hécatombe de vos pamphlets. #laChatte@150e #balancelabesogneuse #fionfiondeTPElaCB #balancelamichto #HolocausteWiskaSS #Swastikadachattes #sacafoutrematerialiste #CBinthevulvesdachattes #CanalChattes
« Qu’en est-il des prières, si le Ciel n’écoute que les menteurs ?!… »
L’Archimandrite Ténébreux : Vincent Blénet !
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