Des Crises en Thèmes + poèmes ‘guest’ de Sandrine Turquier (666 Nuances de Braises)
20 oct 2019 par vincent
Pour Lyse…
L’ecclésiaste accuse & diabolise cet « ange hérétique ». L’Éden offre louange à l’offenseur diabolique. Les prêtres diabolisent la ‘Bête’, le Sheitan anobli l’ecclésiaste diabolique.
Braver les Diables et les flammes, tutoyer les excès et compter les chrysanthèmes par milliers de reflets. Braver l’enfer et défier l’Éden, respirer le souffre et cracher sur le miroir. Braver les Diables et les Enfers, soudoyer le Styx et valser à travers les éternels transferts de cercles dantesques en cercles dantesques. Braver l’enfer et défier l’Éden, la fierté est l’emblème des trépassés. Tant de cimetières sont marqués par l’excès de zèle au parfum d’arrogance. Braver les Diables et les flammes pour toucher la virtualité d’un paradis falsifié, dénaturé par une meute de cabochards dépravés, d’un infantilisme à souhait. Braver l’enfer et défier l’Éden, savoir accepter ou pardonner, Dieu seul le sait mais c’est à l’Horloger de lancer les dés sur notre propre Destinée. Nombre de chandeliers s’embrasent dans la cacophonie des excès, et malgré que l’enfer embrasse les vestiges de l’agonie, et bien que l’amertume aguiche l’immortalité, quand bien même la douleur souderait les brûlures du passé, je ne peux pas résister à épouser la caresse indolente de sa peau contre mon cœur. Ici-bas, il n’y a que des crises en thèmes. Avec elle et en (H)elles…
Ici-bas, L’argent est la vertu du pasteur perverti. L’enfer est un festival convivial pour marchander son alphabétique de la traîtrise, chaque cercueil y comptabilise les profits rentables des statistiques « commerciales » de la Chute pernicieuse du monde. Un monde qui est en deuil, un deuil perpétuel, cycliquement et cyniquement. Le Chaos se démocratise dans les mentalités trop bien lissées. L’anarchisme séduit l’aseptisé. Le désordre régimente le méthodique. Dieu est devenu l’obligé de l’humain, la créature veut dompter, à force d’insistance machiavélique, la Voix de l’incontestable Créateur. Avec elle et en (H)elles…
Le ‘Diable’ se cache dans les détails, les pasteurs ont la rhétorique ‘pornographique’ de l’hérétique, là où il ne fleurit que des ‘crises en thèmes’…
Ici-bas nombre de terreurs dansent autour de moi. Je n’ai pas peur du Feu immortel mais plutôt des brasiers ostentatoires qui embrassent la mort dévastatrice. La souffrance se conjugue à la folie schizophrénique, les sentiments s’obscurcissent. La vie est corrompue par l’ambition perdicieuse, les Pêcheurs achètent les Sanctuaires. Les Péchés attisent la beauté et le charisme séduit l’offensive occulte. La vantardise a tué la pureté, l’enfance ne sera plus jamais à l’innocence. Les Dieux et les Diables porteront leurs condoléances à la Genèse déchue. Chaque ange pourra pleurer sur le linceul satiné de l’amour, là où le cœur a décliné la passion pour épouser le baiser diabolique des cauchemars de l’âme humaine. Oui ici-bas j’ai peur, mais je n’ai pas peur que les flammes caressent mes ailes, ça non. Je suis terrorisé, pétrifié même, à la paranoïa vicieuse d’être emmuré dans le labyrinthe mensonger du prédicateur fou qui empoisonne la messe. J’ai beau avoir traversé les âges, observé les millénaires et contemplé la décadence de chacun des siècles fanés par l’envie et l’excès. Les tentateurs n’ont jamais été autant prospères et les églises n’ont jamais autant pasteurisé de pactes faustiens. La fin des temps est au seuil de l’horizon, les mortels sont friands de signer avec leur propre sang des actions virtuelles. Moi j’aimerais ne voir que celle qui hante mes désirs et mon cœur. L’enfer est peut-être le nouvel entrepreneur de la terre, l’humanité est probablement l’architecte du brasier satanique geôlier d’un salut oublié. Et même si l’angoissante question tourmente ma prière érotisée. Même alors que St Jean est en train d’appeler les âmes au Repentir, à l’Aube des Révélations, du haut de la cathédrale sacerdotale du Ciel. Je n’ai peur que d’être abandonné par Yeshoua & cette femme aux milliers de désirs passionnels que j’éprouve pour elle. Ici-bas, perdu dans un chaos enflammé qui danse avec l’agonie, il n’y a que des crises en thèmes, ici-bas. Avec elle & en (H)elles…
Est-ce que je suis encore conscient, ou est-ce que ma raison à cédé à l’aliénation ?… Je m’égare dans ces mélis-mélos infernaux, épris de confusion dans la souffrance de l’esprit. Alors que le monde succombe, alors que l’humain s’allonge dans la tombe, l’étincelle de mes yeux éclaire la peinture écarlate de cette vaste & agonisante catacombe. En cette fin des temps l’ange dissimule le diable, l’innocence révèle une perverse insolence. La beauté est laideur & la laideur est beauté. L’offenseur est l’offensé, la victime est prédatrice. La vertueuse crache son venin d’incestueuse. La religieuse anoblit son récital de tueuse, quand au goujat ce n’est juste qu’un écorché terriblement abîmé. Le diablotin travesti en angelot, caché par son étincelant sourire, se préoccupe promptement à conclure des milliers de pactes de sang où l’offrande est une satisfaction des Péchés ou divers vices originels. La prêtrise enseigne l’infinie hantise de rôtir à jamais dans le donjon satanique, pourtant les prédicateurs sont dans l’expertise de mentir pour assouvir leurs capitalistes intérêts. Oui je crois que ces « hommes de Dieu » ont pactisé avec l’occultisme pour engloutir leurs vicieux profits. Le Mal appelle le Mal, et il est tellement plus audible que la plupart du temps où l’âme doit se battre avec elle-même, telle une improbable, mais implacable réalité. Avec elle & en (H)elles…
L’ecclésiaste accuse & diabolise cet « ange hérétique ». L’Éden offre louange à l’offenseur diabolique. Les prêtres diabolisent la ‘Bête’, le Sheitan anobli l’ecclésiaste diabolique.
Ici-bas, tout se retrouve à l’envers, les perversions sont désormais des prières. Le Styx est submergé par nos larmes amères. Le soleil ne dissimule plus les noctambules prédateurs, l’espérance est devenue un fade cimetière. Punir les fraudeurs anobli la vantardise du « fortuné » tricheur, Les assassins ont rebaptisé les empires. L’ombre terrorise les vampires, le parfum de la tombe asservit nos angoissantes frayeurs. L’amour s’est conjugué aux enfers, elle n’aimera que celui-là qui règne sur un éternel Enfer. Avec elle & en (H)elles…
Le ‘Diable’ se cache dans les détails, les pasteurs ont la rhétorique ‘pornographique’ de l’hérétique, là où il ne fleurit que des ‘crises en thèmes’…
Les époques changent et se pervertissent au fil du temps. Chaque siècle devient poussière mais elle, elle-même, est immortelle dans mes pensées. Combien de ‘Phénix’ prophétiques ont déjà essayé de séduire l’éternité, mais hélas ils ont brûlé dans l’oubli sempiternel, chacun brisé cyniquement à la chaîne, perdu dans l’affolement des chaises musicales. La désobéissance moderniste chante désormais la décadence désordonnée du récital des âges. Malgré une émergence sournoise de la bassesse, elle qui sommeillait depuis d’abyssales profondeurs occultes. J’ai entendu sonner le carillon sacré annonçant l’arrivée vertigineuse des Révélations de St Jean et pourtant j’ai envie d’aller embrasser la fin des temps pour enlacer cette fille si fragile & si attrayante. Peu importe si mes ailes dansent à travers les flammes ou que j’aille défier les brasiers de l’Apocalypse, pour moi l’Horlogerie s’arrête lorsqu’elle dépose ses tendres mains sur mes épaules et que nos lèvres se caressent langoureusement. Elle a le parfum savoureux de la Vie et l’étreinte érotique avec cette délicieuse mortelle redonne ‘Foi’ à mes cantiques. Quelque part au milieu des cendres d’une génération dévastée, être avec elle et faire l’amour avec elle, il n’y a pas plus douce prière ici-bas. Avec elle et en (H)elles…
Derrière la fumée nacrée de sa cigarette, j’aperçois la délicatesse de son visage. La finesse de ses longs cheveux s’allonge avec indolence sur ses épaules, ils dissimulent avec pudeur les courbes attrayantes de cette somptueuse jeune femme, bien qu’il y ait concurrence entre les « reines du bal » dans ce donjon endiablé où se perdent tant d’âmes dans les excès et les paillettes. Je regarde cette fille avec émoi, sa magnificence ce soir trouble mes prières et me met en confusion. J’en ai mon latin renversé ! Elle éclaire mon immortalité et elle évoque le souvenir lointain de ce joli parfum de lys qui faisait la fierté du Jardin d’Éden. Oh Dieu, si seulement l’éternité m’autorisait à enlacer avec innocence cette femme entre mes ailes. Des ailes habituellement vacillantes dans l’opéra du brasier chaotique et des cris tourmentés. Avec elle, je parviens à trouver un moyen de respirer dans ce méandre cacophonique, là où même les pasteurs dantesques y ont perdu la raison machiavélique de la punition, au point de s’être mélangés aux châtiments. Dieu cher Paternel, oui, il y a bel et bien concurrence au paradis des artifices. Cependant, lorsque j’observe sa fragilité, ainsi que sa sulfureuse candeur, je m’incline devant cette jeune mortelle. J’aimerais avoir la possibilité de m’enliser avec elle & déposer un baiser passionnel sur son âme, avec tendresse et sans méprise. Juste elle & moi, un fragment d’instant pour respirer le vertueux parfum des fleurs de lys d’Éden, le temps d’oublier que j’erre avec nonchalance dans les flammes de l’enfer sans avoir l’autorisation de compter les grains du Sablier de l’Horlogerie éternelle. Avec elle & en (H)elles…
L’ecclésiaste accuse & diabolise cet « ange hérétique ». L’Éden offre louange à l’offenseur diabolique. Les prêtres diabolisent la ‘Bête’, le Sheitan anobli l’ecclésiaste diabolique.
Ici-bas aux portes des Enfers, la peur y est maîtresse. Langoureuse et aguicheuse, la peur est une dominatrice imparable. Insatisfaite et impardonnable, la peur pétrifie la pulsation dans nos veines. La peur refroidit la vivacité de l’espérance ici-bas. Elle enlace avec indolence les flammes chorégraphiques et embrasse d’un timide « French Ki$$ » glacial la raison du cantique. Perdre la boule dans les Enfers est d’une fréquence régulière, la messe y enseigne l’obéissance soumise à nos plus intimes frayeurs. Le ballet des brasiers danse en cadence avec innocence, pourtant tous les convives sont en panique paranoïaque et la démence s’est invitée pudiquement au bal des fous. Prier ne sert plus à rien, d’ailleurs sans la douceur salvatrice de cette jeune mortelle entre mes ailes, je n’ai pas le courage de réciter la moindre parcelle de prière, sans elle. Ici-bas, là où je ne vois que des crises en thèmes. Avec elle & en (H)elles…
Le ‘Diable’ se cache dans les détails, les pasteurs ont la rhétorique ‘pornographique’ de l’hérétique, là où il ne fleurit que des ‘crises en thèmes’…
Le Ciel & l’enfer sont en pleurs, le Ciel & l’enfer prennent peur. Ici-bas le Styx a perdu de sa noirceur car les damnés ont inversé la voie vers la lueur. Tous les êtres célestes ou autres anges des ténèbres n’ont qu’une seule frayeur, celle qui va permettre à l’humain d’imposer sa terreur. Les flammes ne seraient plus que douceur. Si les mortels sont assis sur le rang des « accusateurs », alors l’éternelle Chute n’est plus à confirmer comme une douleur. Parfois trop d’obédience envers les règlements d’intérêts ‘conventionnels’, énoncés par l’hémicycle factice, assassinent la sagesse des parallèles salutaires. L’incontesté Voix de l’Éternel est emmurée par de sournois malandrins aux dents longues, Dieu est bâillonné dans la confusion des paradoxes, la légère virgule pudique à déstructuré l’équilibre rationnel entre le Bien et le Mal. Les condamnés ont pris d’assaut la « Bastille », les hérétiques ont été sacralisés à l’église. Désormais tout est sans dessus dessous Ici-bas, là où ne peut fleurir que des crises en thèmes, ici-bas. Avec elle & en (H)elles…
Alors qu’elle ondule farouchement ses courbes attrayantes sur la cadence de la symphonique décadence. Alors que les chiens sont trop préoccupés à jouer au duel de celui qui aboiera le plus fort. Alors qu’elle danse avec sensualité névrotique dans un rêve qui ne me semblera plus jamais érotique. Je n’ai qu’une interrogative frayeur, une petite peur qui glace la fureur de mon angoisse libérale. Est-ce qu’il est encore possible d’accéder à de tendres plaisirs libertins avec elle, et de jouir en elle ?… Ici-bas je me perds, là où il n’a jamais fleuri que des crises en thèmes. Avec elle & en (H)elles…
L’ecclésiaste accuse & diabolise cet « ange hérétique ». L’Éden offre louange à l’offenseur diabolique. Les prêtres diabolisent la ‘Bête’, le Sheitan anobli l’ecclésiaste diabolique.
Ici-bas Les pasteurs habillés de blancheur n’ont pas l’âme si purifiée, ils essaient juste de préserver l’innocente lactescence sur le costume ecclésiastique. Ce n’est qu’après un exode hérétique dans les ténèbres qu’il est possible d’entendre la sagesse d’un prophète. L’accusé se définit comme immaculé, cependant le baptême est un emblème de flammes. L’apeuré est désormais jugé sans motif pour être brûlé sur un bûcher. Tragédies en trame, c’est avec des larmes que l’horreur a gravé, d’une fine & aiguisée lame, le sceau des blasphèmes sur les verbes de mon âme. Avec elle & en (H)elles…
Le ‘Diable’ se cache dans les détails, les pasteurs ont la rhétorique ‘pornographique’ de l’hérétique, là où il ne fleurit que des ‘crises en thèmes’…
#DesCrisesEnThèmes #666NuancesDeBraises
« Dans la citadelle de mon existence » par Sandrine Turquier – Poétesse
Dans la citadelle de mon existence, je vois ce que nul œil n’atteint. Je suis l’ange et le diable, ma vie est une palpitation. Comme un oiseau de proie, la maladie de l’âme m’étreint de ses ailes vers des mondes de braises où tout meurt et m’étrique.
Dans la citadelle de mon existence j’ai tant de choses à te dire ne t’enfuis pas je t’en prie! Je hais les secrets des vices imbéciles, les plaisirs malsains, l’argent facile, les visages menteurs, les femmes impures, la violence des enfers, le sourire du diable penché sur mon épaule avec qui je combats dans la poussière et les décombres de mon âme douloureuse. J’ai tant de choses à te dire, ne t’enfuis pas je t’en prie!
Dans la citadelle de mon existence, je fais le compte de mes victoires, mes désirs, mes attentes, mes espoirs. J’ai tant de choses à te dire, ne t’enfuis pas je t’en prie! Je suis un alchimiste, un écrivain docte qui fait jaillir de sa plume d’or des récits étranges à la beauté violente et sensuelle où les femmes ont le charme du diable et l’esprit savant. J’ai tant de choses à te dire, ne t’enfuis pas je t’en prie! Quelque chose en moi m’étouffe comme un sanglot, je suis un ange, un doux garçon au cœur d’émeraude et de tendresse.
Dans la citadelle de mon existence, il faut que tu saches que nuit et jour j’attends celle qui viendra remplir ma vie d’amour et de douceur par la fraîcheur de sa peau et la volupté de son âme.
Ne t’enfuis pas, je t’en prie! Je veux me nourrir de toi, habiter ton corps et ta mémoire!
Je veux aimer et être aimer à en faire peur à l’Éternel!
Sandrine Turquier – Poétesse pour le texte « Quand Vincent prie le Ciel » de Régine Fournon-Gohier (666 Nuances de Braises)
« Liberate me ex inferis » par Sandrine Turquier – Poétesse
Ce qu’elle en bave l’âme de débauche et d’orgies au royaume de l’enfer!
Oh père! Nuit et jour je visite ma propre apocalypse, Maelstrom de sang, de larmes, de violence et de cris! Rituel satanique, désir impérieux de maudire en cadence mon corps et mon âme dans les ténèbres lucifériennes!
Cher père! Mes plaies sont plus profondes que le gouffre et chacune d’elle suinte la douleur de mon existence et le sceau pourpre du Créateur. Je suis vivant et mort! Je suis l’ange et le diable! La victime et le bourreau! Le prince et l’esclave! Père, dans les cryptes de ma mémoire incendiaire rien ne peut abolir l’errance de mes désirs et de mes pensées entre paradis et enfer, mon âme jouit du miel et du fiel avec indécence et délectation. Pénitence imposée d’une folie dont je suis le forçat!
Père, très cher père! J’implore ta clémence et réclame ton amour! Moi, le fils morcelé, l’entre deux mondes. Je connais chaque recoin de mes supplices, foule pleurnicheuse et putride, fille de désespoir et sœur de solitude que chaque soir j’enveloppe dans les voiles funestes de mes insomnies! Père! Des flammes à l’orientale ondulent autour de moi et je cherche derrière leurs ardentes courbes, ma Vénus, ma douce au corps d’amour et d’ivresse…
Père, Sauvez-moi de l’enfer!
Et si votre regard se détourne de moi, je trouverai le chemin qui mène à la fontaine de pluies d’or et de résurrection!
Sandrine Turquier – Poétesse pour le texte « Infernal Carrousel » (666 Nuances de Braises)
https://www.compagnie-litteraire.com/notre-nouvelle-poetesse-sandrine-turquier/
(notes et ressenti)
Décadence perpétuellement, il y a trop d’exigences dans les codes et les mœurs contemporaines. Limite fasciste dans la considération de l’humain. Et de nos jours, surtout moi qui observe énormément autour de moi comment les gens se comportent entre eux et aussi envers les autres qui ne sont pas dans leur délire. Qu’être un beau garçon pour elles, ce n’est plus une question de charme ou de charisme mais davantage une rhétorique de faux-semblants, d’hypocrisie, de paraître, de mensonges, de sournoiserie, de bassesse lamentable, de pognon, de domination sur les faibles où on vante les louanges de celui-là qui va écraser ceux qu’ils ont déjà jugés à cause de la différence d’approche dans l’existence. Aujourd’hui plaire à celles qui vont chavirer nos cœurs et nos sensations érotiques, elles-mêmes aiment détruire celui qui n’aura pas l’appoint financier extravagant qu’elles ont exigé d’avance. Elles-mêmes apprécient lorsqu’elles contemplent le garçon fragile et gentil qui devient poussière et elles elles-mêmes sont en extases lorsqu’elles écoutent le cœur meurtri de leurs victimes qu’elles ont découpée sauvagement parce qu’il n’était pas assez « Swaggy » à leur appétit snobinard. Ressembler à une caricature stéréotypée et être un « homme » Brutus de pacotille (un minable que la société va promouvoir et revendre à gogo en boucle, sans oublier le conditionnement médiatique de masse afin que les infantiles irresponsables soient persuadés d’être dans la réalité du vrai). Ça c’est être un « Bogo$$ » stylé de ouf… Je préfère adresser mes condoléances à ce monde, si tristement devenu totalitaire & dictatorial…
Parmi toutes les étoiles qui étincellent les mirettes des terriens, là où se reflète l’infini des soleils dans la galaxie toute entière. Il n’y a pas plus précieux Astre que ma maman. Et même si l’univers tout entier regorge de constellations brillantes, aucune étoile ni Astre ne peut égaler la bienveillance vertueuse que ma mère représente dans ma vie. Je t’aime Maman…
l’Archimandrite Ténébreux : Vincent Blénet !
#DesCrisesEnThèmes #Gazhell
C’est un bonheur en tant que poétesse de joindre ma plume à celle de Vincent Blénet dont la beauté de l’écriture se grave dans l’âme et le coeur. Nous sommes frère et sœur d’écriture et notre rencontre est une alchimie , un cadeau.
Une belle aventure pour nos deux âmes et cœurs de poètes – écrivains qui ne fait que commencer.
Sandrine Turquier – Poétesse