J’AI ENCORE RÊVE D’AILES (mort sûre d’amours)
28 oct 2020 par vincent
Réécrire l’éclipse & récrire l’apocalypse à travers les charmes et les flammes de cette si belle déesse. Mes ailes vacillent, elles frémissent de désirs, jusqu’à en perdre la raison. Mes ailes restent troublées d’envies sulfureuses où se conjuguent jouissance et souffrance. Je m’échappe, je pars un court instant apaiser mon âme qui brûle déjà parmi les anges d’en bas, juste quelques secondes d’hérésie, juste une fraction d’éternité, juste imaginer faire l’amour avec ces somptueuses & attirantes déesses. Là où la punition ne pourra m’atteindre, là où mes caresses seront des louanges exaucées sur la délicate peau des déesses dont je rêve la nuit.
Le paradis n’est pas qu’au Ciel. Le paradis se lit aussi à travers elles. Même en Enfer le paradis est ici avec elles. Même en Enfer les ténèbres deviennent lumières en elles Même en Enfer le paradis se trouve en elles.
J’ai rêvé d’elles, j’ai rêvé d’ailes. J’ai rêvé de la vie…
Traverser l’enfer aux mille charmes. Parcourant ce Ciel aux mille femmes.
Parcourir les brasiers de l’enfer éternel sans ressentir la brûlure et le chaos. Peu m’importe la douleur et la blessure, moi je ne rêve que de faire l’amour avec ma chère et tendre déesse, ma jolie princesse d’Éden qui danse avec effervescence là-haut dans ce jardin parfumé. Je me moque éperdument du nombre croissant de cicatrices qui s’ajoutent à ma chair. Je déploierai mes ailes plus fortes et je traverserai l’enfer éternel avec courage et ténacité, ainsi en est-il. Peu m’importe que la folie caresse mes pensées, moi je ne rêve que d’enlacer avec la grâce charnelle ma chère et tendre déesse, ma si belle princesse qui danse avec onirisme là-haut dans ce jardin parfumé. La souffrance est peut-être inévitable mais le délicieux rêve érotique où je me conjugue avec elle et que je puisse jouir profondément en elle et avec elle. Oh mon Dieu qu’elle ne pourrait être que plus onctueuse, plus savoureuse et salvatrice prière menant au paradis. Le sexe avec elle est ma plus belle et ma plus grande confession, ma plus belle et heureuse absolution, ma plus belle et merveilleuse bénédiction.
Paradis sensuel avec elle… Délivrance éternelle…
Traverser l’enfer, se moquer du titre royal du moment que celle qui traque l’éclipse de mes désirs n’est pas la reine mais cette magnifique courtisane qui étanche les névrosés petits-bourgeois joueurs/tricheurs de la cour. Traverser l’enfer éternel et déployer mes ailes encore plus fort sans me turlupiner l’esprit avec le matérialisme narcissique de l’exclusivité de sa virginité déclinante. Toute la cour des Cieux a dévergondé ma chère et tendre déesse, ma jolie princesse dansant dans ce jardin parfumé, et alors ?!
Grand bien leur fasse.
Moi je ne rêve que de poser doucement mes lèvres sur les siennes, que nos langues dansent avec onirisme sensuel et que ma langue caresse le palais buccal et savoure les lèvres de ma délicieuse déesse. Je ne rêve que de dessiner son corps parfumé de fantasmes avec mes caresses passionnées. Je ne rêve que de pénétrer en elle et de la regarder dans les yeux avec amour, souffler un humble soupir de jouissance romantique sur sa nuque caché par ses longs cheveux soyeux et de la prendre dans mes bras avec passion et vertueuse délivrance. Alors je poursuis mon chemin en traversant l’enfer éternel, je déploie mes ailes et j’essaie d’apprendre à comprendre pourquoi les cicatrices s’accumulent sur ma chair. Je marche sur les brasiers infernaux, je respire le souffres et je pense aux cendres poussiéreuses. Je déploierai mes ailes assez fort pour parvenir à rêver à deux, en chair et en os, pour que le songe sexuel avec elle, ma jolie, ma tendre déesse, ma sensuelle princesse se concrétise réellement avec une jolie et vraie jouvencelle qui me regardera dans les yeux avec envies et désirs.
Paradis sensuel avec elle… Délivrance éternelle…
Traverser l’enfer aux mille charmes. Parcourant ce Ciel aux mille femmes.
Fraîcheur de l’innocence, fraîcheur d’insouciance. De vous regarder je rêve à la magnificence dans une nuit, enlacés par un silence, là où les caresses sont mon absolue révérence. Je vous désire avec tant d’éloquence, j’espère ne pas être l’oiseau de vos offenses. J’espère être une promesse d’indolence, l’effervescence d’une poésie charnelle, la quintessence d’un timide mais fougueux verset sensuel. Par-delà mon physique de la « disgrâce » et par-delà mes carences en expériences. Par-delà les distances entre les royaumes, au-delà des exigences là-haut/ici-bas, il n’y a pas de plaisir sans confidences ni d’orgasme sans faiblesse. Même cloîtré en enfer, même si je danse avec les flammes en fureurs, par-delà mes souffrances. Le sexe, tendrement, passionnellement, sensuellement, farouchement avec ma chère et tendre déesse me prodigue un avant-goût de pur paradis, incontestablement. Le sexe avec elle me donne l’envie de vivre.
J’ai rêvé d’elles, j’ai rêvé d’ailes. J’ai rêvé de la vie…