l’Enfer-Me-Ment
31 mai 2021 par vincent
« Nous étions jadis dans un royaume baptisé « le pays des droits de l’homme », là où sur sa bannière il fût inscrit : « liberté, égalité, fraternité »… Décadence d’une gérance, absurdité d’un état d’urgence qui se définit dans une psychiatrique démence. À présent liberticide se rime avec suicide, fratricide se rime avec génocide. Civisme se rime avec fanatisme et s’accorde avec despotisme. Nous finissons par prier grâce à des architectes de la disgrâce. »
« La nuit est clarté pour les ombres, le soleil n’est qu’une confusion. Les ombres s’égarent sur les brasiers de la journée mais elles savent où ruisseler entre les couloirs obscurs de la nuit. La pénombre est l’abécédaire enfantin pour nombre d’âmes scarifiées par l’éclaircie. Chaque ange perdu tutoient aisément le chaos et l’enfer, abdiquant ce jadis fantasme rêvé d’y caresser une douce immortalité jonchée de jasmins parfumés, contre la douloureuse patience de pouvoir contempler l’éclosion aboutie d’une ravissante orchidée. La vie est comme une orchidée, elle prend le temps pour s’ouvrir et se révéler avec grâce. L’orchidée est comme un chemin de vie, longue, poussant la patience à l’incertitude, guidant cette incertitude à l’impatience impulsive. Croix de bois et croix de fer, il n’y a pas d’enfer puisque l’enfer est déjà sur terre. »
« Il y a tant de fleurs qui illustrent le jardin privatisé, je vagabonde avec discrète « nonchalance », je traverse avec dépressive « résilience » les nombreux nectars qui illuminent ce paradis de l’artifice. Dieu que de saveurs ensorcelées et ensorcelantes. Il y a trafic de la tentation, entre les fleurs de lys, les roses envoûtantes et les jonquilles au parfum voluptueux de l’Éden, mes narines sont en effervescence affolées. Mon désir absolu se porte en faveur, voire même en quête d’un Graal de sensations sensorielles et de sensations sensuelles à l’outrance ; Mon désir réclame ces somptueuses roses tellement envoûtantes. Certes la rose est dotée d’une robe d’épines, elle est friand des pines agressives et leurs venins sont épingles carnassiers. Cependant comment ne pas conserver « raison gardée » lorsque mes ailes frôlent avec une timidité « invisible » le captivant parfum de l’Éden, parfum floral voluptueux des délices, odeur des plaisirs et de la rédemption loin du Styx, loin des enfers ? Près d’elles mon cœur s’enflamme et mon âme s’enlace dans un baiser de brasiers. »
« Derrière la douleur il y a la menace indécise, l’angoisse de la chute, l’horreur d’un saut de l’ange dans le vide. L’effroyable cauchemar traumatique d’un déséquilibre vertigineux sans filet, un sombre et terrible vertige plongeant vers un néant aux tréfonds frôlant l’indécence d’un insoutenable vide insolent. Derrière la nonchalance dépressive il y a cette existence fanée, fanée par l’usure abusive d’une horloge carnassière où la faiblesse est accusée d’être là. Derrière la violence impulsive et impudique il y a le reflet éloigné de chaque seconde perdue, des instants endeuillés et tourmentés par le déclin de toute espérance. Derrière le vent il y a les cendres qui dansent. Ces poussières qui valsent avec lassitude et sans répit. Il y a aussi des braises qui fustigent à tout va, elles cisaillent nos visages telle une froide caresse pornographique, sadique, une caresse qui lacère l’innocence de nos péchés. Chaque visage est un miroir, un miroir bipolaire qui s’achemine en funambule, au fur et à mesure dans la décadence de la « raison-gardée » du protagoniste. Chaque facette est un enfer, une prison interminable dont l’âme hurle à l’infini sa quête d’amours au paradis avec elles. »
« Le sablier se ralenti, l’attente est d’une froideur interminable. Je tourne en rond, funambule au-dessus d’un vide sidéral, la folie me dévissage, elle essaie de murmurer son missel de séduction avec ma raison. L’attente est longue, au fur et à mesure que l’angoisse danse avec l’insomnie, au fur et à mesure que l’enclos enflamme la claustrophobie, j’écris à l’encrier de sang les heures comptées dans la séquestration obligée. L’encre de mon propre sang me conforte dans l’hypocrisie insolente que je m’autodétruis pour mon bien-être, pour le bien de la société et pour le bien de tous. »
« Pas d’espace autre que l’apocalypse en perspective. Pas d’espérance mais un chaos pour seule promesse. Pas d’égo mais uniquement la saveur de nos péchés. Pas d’excuse sauf la folie qui nous compresse, pas d’abstinence autre que la démence dépressive qui me confesse. Pas une prière mais la vengeance qui enlace diablement mon ivresse. Pas d’égo mais j’ai le péché qui s’allonge dans mes versets. »
« Survivre au baiser passionnel de l’enfer éternel. Ressurgir des entrailles d’un néant carcéral. S’éveiller depuis le sommeil abyssal et délaisser nos cercueils de glace. Le sablier est déloyal, la sentence radicale. La vie ne brillera qu’une fois, alors vivons la. Vivons l’existence hors du tombeau et loin des ténèbres sanitaires. Les couleurs sont truffées d’odeurs, bonnes ou mauvaises, les odeurs sont composées de vies, elles sont teintées d’une envie de vivre, elles sont la vie. »
« La pudeur est un leurre. La dignité du prince est la faille efficace pour déchoir sa monarchie. L’orgueil est un bluff qui mène à la perdition éternelle. La beauté s’est forgée dans la laideur. La douleur se pratique à travers les délices. »
« J’ai essayé de nager vers la surface, je voulais respirer le même air qu’elles. Brûlé par leur soleil, j’ai tutoyé les dagues et les bassesses de leur surface. Sans elles je m’y suis cramé les ailes. Avec ailes et sans elles, ici-bas, tout se passe et s’y trépasse. »
« Le puritanisme n’a de noblesse que pour celui qui le transgresse. Souvenons-nous que celle qui fût jugée de pécheresse, appelée la prêtresse de mille charmes aux mille flammes. C’est pourtant cette « diablesse » qui nous apprendra l’immense sagesse en lavant de ses larmes les pieds du Fils. »
« L’écrivain est un observateur de nos époques. Fougueux, pudique, scandaleux schizophrénique, scabreux, l’écrivain a du mal à danser dans la farandole mais il retranscrit la folie de la vie afin que le reste du monde puisse mieux entrapercevoir la fine entaille de ce que la société moderne nomme « la différence ». Contestataire de l’obsolescence ainsi que de la dégénérescence à l’insolente décadence, déchéance des Temps. L’écrivain est un être, parfois même, une âme en souffrance au cœur cabossé par l’existence, mais l’écrivain est un témoin dans le temps, un œil discret sur l’Histoire de l’humanité. C’est après la disgrâce des empires, la chute vertigineuse des siècles, bien après avoir balayé les cendres que les retranscrits de l’écrivain vont avoir un sens et même un écho qui pourrait percuter, basculer nos idées et nos préjugés. Qui sait, peut-être que nos péchés, nos orgueilleux clichés seront effacés pour mieux comprendre et accepter les personnes « refusées », tous les « oubliés ». Qui sait ?… »
« Survivre à la douleur et traverser la souffrance si je ne veux pas m’allonger et m’abandonner dans le chant des voix occultes. Saisir ses émotions et les affronter, attraper ses sentiments et les ressentir à l’extrême jusqu’à laisser la tristesse mélancolique submerger son âme. Laisser les remords, les regrets et l’absence envahir son propre chagrin si l’on ne souhaite pas devenir un prêtre de la magie noire. Les sentiments sont redoutables, ils font mal, trop mal, ils nous heurtent de plein fouet mais c’est grâce à la culpabilité que nous sommes éloignés de cette tentation à un pouvoir maléfique. Éloignés par la signature du pacte de sang, celui qui offre un rêve virtuel et vend nombreuses promesses illusoires contre la damnation éternelle, damnation de votre âme immortelle dans un ballet symphonique de souffrances atroces pour l’éternité toute entière. Dans le fond nos émotions sont bien un mal, mais un mal bien nécessaire. »
« Vraisemblance et faux-semblants enjolivent la danse par-delà diverses variances. La symphonique apostrophe est cadencée sous l’œil omniprésent, omniscient. Celui-là même qui aiguise sa lame de barbier dans l’objectif d’y extraire un infime noyau d’authenticité et ensuite en marchander l’initiative d’humanité dans une course folle à l’exclusivité, à l’effervescence d’un buzz terrifiant. Catalogué, commercialisé, exploité, politisé. L’initiative du partage n’est plus qu’un produit industrialisé dont L’œil omniprésent, hypnotiseur du mensonge, l’œil omniscient, l’œil conditionneur des esprits, l’œil broyeur d’individualité et nécroseur d’originalité singulière. L’œil omniprésent et omniscient va démanteler l’apostrophe ainsi que l’initiative. L’œil hypnotiseur ira jusqu’à vampiriser l’innocence de l’apostrophe, la rebooter en sujet de société moderne. La classant et la cataloguant dans une case exploitable, histoire d’endormir la méfiance des penseurs avisés dont la prudence dérange, lorsqu’il y a carabistouilles dans la tribune dite « officielle ». Désormais rien n’arrêtera l’œil omniprésent, omniscient et marchand. Il transformera l’initiative humaine, l’apostrophe, en business plan marketing. Condensé, le synopsis d’humanité est devenu un outil de communication, un outil de matraquage politisé, un conditionnement propagandiste, aseptisant les troupeaux de panure tous bien formatés. »
« Traverser la mort glacée et survivre dans l’esclavage de l’enfer. Écrire et retranscrire les derniers mots des êtres chers. Écrire les quelques maux de mon existence, éclairer le désarroi des émotions. Retranscrire les offenses du minime « lectorat » et se perdre dans la confusion des styles. Je ne suis rien, je ne suis personne. Ils essaient de travestir la nature de ma plume, celle-ci semble coupable d’être elle-même. Parce qu’elle est incomprise, elle est jugée et condamnée par avance sans procès. Qui serai-je si l’écrivain n’a pas d’identité autre que l’énième emballage marketing de la grande industrie à moutons ? Qui serai-je si l’écrivain n’est plus qu’un produit perméable à date de péremption pour un carnaval grotesque d’une bande de fous guignolesques ? Jadis l’écrivain était la mémoire des siècles d’histoire. Aujourd’hui l’écrivain est juste la catin du buzzomètre, la tapineuse du PAF télévisé, la bonne gagneuse du marché lucratif à CONS(ommateurs). »
« Horrifiant qu’est ce système de bourgeois élus qui bousillent l’humain sans vergogne. Tous ces politicards assistés, trop payés à rien branler autre que leurs queues ramollies. Tous ces gavés de tunes qui ne comprennent rien aux gens et qui nous martyrisent, ils nous séquestrent dans la démence suicidaire, comme si nous revivions le temps des stalags et des goulags. Toutes ces années d’observations auprès d’amis sans-abris où les moutons bcbg trop scotchés à consommer des merdes matérialistes inutiles dans le but de croire qu’ils existent parce qu’ils payent des produits ainsi que de la bouffe surtaxée dans des commerces. J’ai vu de mes yeux les passants snober les personnes, des êtres humains, endeuillées par l’exigence froide de la rue, rongé par la misère et la précarité. J’ai vu ces connards de moutons lambda toiser méprisants les personnes à terre leurs dire « bonjour » puis « est-ce que par hasard vous auriez un peu de monnaie pour aider s’il vous plaît ». J’ai vu ces p’tits bourgeois infantiles considérer ces personnes à terre comme des encombrants dont la société moderne doit dégager, tout ça parce qu’ils ne sont pas dans la ritournelle du pouvoir d’achat. J’ai vu ces trimards de consommateurs déshumaniser les sans-abris parce qu’ils ne possèdent pas des zéros illimités dans un compte en banque. J’ai vu des sans-abris recroquevillés entre deux magasins, endormis dans la pisse et le yaourt éclaté sous une couverture crasseuse en pleine après-midi et j’ai vu ces petits consommateurs les contourner, voire les enjamber avec quelques éclats de rires narcissiques tout en relatant leurs besoins capricieux et obsessionnels d’acheter encore plus de babioles inutiles munis de leurs IPhone dernier cri. Dans une ville qui prône le mensonge, l’ambition, la cupidité, le paraître, la stupidité commerciale en applaudissant des nazes analphabètes trop diffusés sur les télés. Dans une ville qui prône la sensualité tarifée, l’humanité contre une CB florissante. Là où des enflures capitalistes, vendraient pères et mères pour un vote, un luxe, un contrat juteux et un règne de tyrannie gavé de privilèges, asservissant les gens et les dominant par la trouille !!!! »
« Le système politique ainsi que la stratégie sociale et financière va broyer la réflexion de l’humain (le consommateur, produit d’utilité d’achat et d’obéissance). L’objectif du système est non seulement d’exploiter vos finances, mais de limiter votre cerveau en l’abrutissant de publicités, de matérialisme superficiel, de promesses virtuelles où le consommateur croit qu’il est une star, un être qui décide et qui domine… En fait NON. L’humain est conditionné, formaté, son cerveau lavé et aseptisé, l’humain, enfin le consommateur devenu stupide est juste bon & prêt à faire des achats compulsifs devant sa télévision comme une marionnette disciplinée. Une fois que la dépression, que la fatalité cynique aura bouffé les pâles espérances, toutes déchue par la réalité des classes hiérarchiques et des privilèges aux truands (énarques, PDG, Peoples etc.etc.etc). Une fois que l’humain est désenchanté, désespéré, isolé de tous repères. Il sera une proie facile et alléchante pour des stratagèmes de partis politiques des extrêmes. En fait, les institutions classiques de l’état Républicain & les médias mainstream (maître renard) vous infuse un doux poison, électoraux et commerciaux, afin d’endormir et d’alourdir vos cervelles puis ils vampirisent nos vies pour se l’accaparer, la consommer puis la jeter dans la poubelle sociale. Alors l’humain, ce consommateur mouton lambda (maître corbeau), perdra son unique bien à savoir le camembert (le cerveau et/ou l’âme). »
« Les victimes deviennent des bourreaux, Les bourreaux sont devenus des victimes. Ce sont vos exemples qui ont fabriqués vos contre-exemples, s’inspirants de votre culture pour façonner une contre-culture, dans l’establishment d’un « Gouverne-Ment ». Le paradis n’est plus qu’un vaste Enfer totalitaire où nos prières sont un tombeau ouvert. Vivre n’est plus que survivre. Survivre se résume à l’étincelle d’une allumette suicidaire. Le Ciel n’est plus qu’un vaste cimetière totalitaire où le violoncelle s’y joue à l’envers au cœur d’un Enfer sombre à Ciel ouvert. »
« Et ça consomme et ça consomme comme des glands aseptisés, tous prêts à suivre le fanatique illuminé qui est perché « chat-bite » au sommet de l’Élysée. Les trimards pensent que tout va bien dans un monde progressiste et sécurisé parce que les fous de l’assemblée nationale leurs ont bien lavé la cervelle à coup de conditionnements hypnotiques via France Télévisions et les 2 lèches boules MacroNIQUE : Anne Sophie Lapipe & Damien Mazret. Et ça consomme et ça consomme comme des mongols tous abrutis par leurs publicités idéalistes de slogans totalitaires et communautaristes sur l’Éden superficiel d’un paraître ainsi que d’une mentalité étriquée qui s’allonge sans sourciller devant le godemiché que tient le sociopathe robocop « chat-bite » perché au sommet de l’Élysée. Et ça consomme et ça consomme comme des pommes plastiques trafiquées en laboratoire Sanofi en croyant que parce qu’ils achètent des merdes inutiles et qu’ils dépensent tous leurs p’tits sous dans la société de consommation comme des épaves soumises et tous esclaves de leurs achats compulsifs, ils sont rassurés et oublient que les fanatiques de la république « En Marche » les sodomise comme Dutroux dans l’anus des pucelles séquestrées dans sa cave. Ça consomme tellement qu’ils ont plus besoin de niquer les belles founes, ils ont juste besoin d’insérer la CB dans le TPE (nouveau porno 2021, où le zboob est une CB, la foune c’est un TPE. D’ailleurs ça fait une société transgenre puisque « la CB » nom féminin est le remplaçant du zgueg, nom masculin). Ça consomme si bien que les garçons sont forcés d’avoir à se toucher via un écran virtuel où la fille simule une tendresse sensuelle hypocrite et monnayable… Mais déjà ça consomme. Et ça consomme tellement bien qu’ils sont persuadés que l’oxygène (vital et nécessaire à la vie humaine depuis la nuit des temps) est un corona virus et que le masque de papier lamentable est une combinaison spatiale, mais du moment que ça consomme. Et puis ce soir on verra encore le sociopathe de l’Élysée nous balancer de la peur à volonté « happy hour » pour nous manipuler l’esprit afin qu’il soit réélu et qu’on zappe les casseroles à son fion déjà abusé par la vioque de Brigitte. Mais du moment que ça consomme comme des pommes poires. Et puis on verra les deux Gollum (Anne Sophie Lapipe et Damien Mazret) se masturber Karcher en nous annonçant qu’on est tous foutus et que le messie Macronesque est notre lumière divine. Mais ça doit bien consommer. Et ça consomme et ça consomme comme des brebis abrutis qui suivent le mouvement en silence vers l’orgie sadomasochiste du gouvernement. Tel un fou sectaire, le petit puceau qui est perché « chat-bite » au sommet de l’Élysée, va nous égorger violemment pour festoyer son « Aïd » personnalisé avec ses convives et la folle dingue de Shiappute. Du moment que ça consomme comme des glands, Macron peut nous trancher sadiquement la jugulaire et nous saigner à blanc, ça doit consommer et consommer encore et encore. »
« Le système politique ainsi que la stratégie sociale et financière va broyer la réflexion de l’humain (le consommateur, produit d’utilité d’achat et d’obéissance). L’objectif du système est non seulement d’exploiter vos finances, mais de limiter votre cerveau en l’abrutissant de publicités, de matérialisme superficiel, de promesses virtuelles où le consommateur croit qu’il est une star, un être qui décide et qui domine… en fait NON. L’humain est conditionné, formaté, son cerveau lavé et aseptisé, l’humain, enfin le consommateur devenu stupide est juste bon & prêt à faire des achats compulsifs devant sa télévision comme une marionnette disciplinée. Une fois que la dépression, que la fatalité cynique aura bouffé les pâles espérances, toutes déchue par la réalité des classes hiérarchiques et des privilèges aux truands (énarques, PDG, Peoples etc.etc.etc). Une fois que l’humain est désenchanté, désespéré, isolé de tous repères. Il sera une proie facile et alléchante pour des stratagèmes de partis politiques des extrêmes. En fait, les institutions classiques de l’état Républicain & les médias mainstream (maître renard) vous infuse un doux poison, électoraux et commerciaux, afin d’endormir et d’alourdir vos cervelles puis ils vampirisent nos vies pour se l’accaparer, la consommer puis la jeter dans la poubelle sociale. Alors l’humain, ce consommateur mouton lambda (maître corbeau), perdra son unique bien à savoir le camembert (le cerveau et/ou l’âme). »
« Comme il est saisissant de s’apercevoir que l’argent a travestie et corrompu la nature humaine. Regardez comment une feuille de papier dessinée de motifs financiers est en mesure de fructifier la haine, la séparation des gens à cause du nombre de zéros sur le compte bancaire de l’adversaire. Regardez combien un bout de papier matérialiste dessiné de motifs financiers a possédé l’âme humaine. Combien cette possession de l’argent a rendu fou les gens, combien d’humains se haïssent et se divisent pour cause d’élitisme de lutte des classes sociales. L’ambition, la perdition éternelle, le péché criminel, la trahison et j’en passe. Combien ces blasphèmes, combien ces hérésies sataniques ont séduit l’humanité pour posséder encore plus de papiers matérialistes dessinés de motifs financiers ? Combien se sont entre-déchirés pour posséder la fortune d’autrui et asservir les faibles dans la vanité égoïste de divertir les lumières artificielles, virtuelles ? Combien de tombeaux vont encore s’écrire dans les allées ténébreuses des cimetières d’un soleil marchandé par l’avarice ? Combien d’âmes scarifiées, sacrifiées ? Combien d’âmes vont tomber dans le néant ? Combien ?… Le temps est assassin, l’enfer s’invite dans nos chandelles… Ici-bas… Ici-bas… »
« Je suis inhumain pour avoir la possibilité de toucher une belle fille & être effleurer par la main délicate d’une fille attrayante. Inhumain pour être aimé. Inhumain pour ressentir du plaisir, du Sexe féminin passionnellement, de l’orgasme en regardant les yeux de celles qui m’attire. Inhumain pour être considéré. Inhumain pour Vivre sans tourments. Mais par contre, je suis un être humain pour souffrir. Humain pour saigner, pleurer. Je suis humain pour me droguer de camisoles chimique psychiatrique, pour chier, transpirer, essoufflement. Humain pour être toujours le sale schizo, le gros lard blanc. Humain pour respirer la douleur et le chaos permanent. Humain pour être trahi. Humain pour être parfumé de vos menaces & divers mensonges. Humain pour avaler la HAINE & la MORT. Humain pour savourer la dépression et la peur omniprésente de tout. Humain pour être habitué à exprimer sa colère ou fureur pathologique. Humain pour être traumatisé par la perspective d’être condamné à brûler en Enfer. Humain pour être toujours en angoisses chroniques. Humain pour n’avoir jamais pu sentir un amour de Dieu. Humain pour traverser la nuit sulfureuse et toucher les flammes de l’excès, parfois enivrant. Humain pour être paumé et pauvre. Humain pour être craché à la face par les médias mainstream qui vous affublent de médiocrité car vous n’avez pas léché les balloches marketing de France TV ou NRJ12. Humain pour être condamné au silence accusateur. Humain pour être jugé de Blasphématoires, et de n’avoir pas la possibilité de se défendre contre l’inquisiteur, parce les frais d’avocats sont exorbitants. Humain pour être relayé aux classes inférieures. Humain pour ressentir les deuils et la folie. Humain pour appréhender l’avenir. Humain pour connaître le rejet et multiples déceptions. »
Skyrock et Fun Radio présentent les nouvelles daubes de l’industrie musicale mainstream actuelle : « je moove dans ta vulve swaggie », « je gicle du VIH dans ton sexe », « my sperme is slave Inside Durex », « your face is a bénitier à foutres », « ta bouche est un parking indécent à MST », « your fion is teknival de Kassos », « Playstation cunnilingus la Bitche », « ta bouche is a hangar à teubs », « your utérus is a Boat People », « your fion is a charter à spermes », « ta cramouille is a TPE banquable, CB in the foune », « your fion is an Aéroport transatlantique vénal », « my zboob est un Joystick dans ta moule ». Bientôt disponible dans une compile aliénante pour vos marmots, histoire de vous endettez d’avantage pendant les fêtes de fins d’années. Ventes assurées et le pire c’est que ça risque de devenir un phénomène de mode sociale !
« L’industrie sociétale infecte toute humanité, les vendeuses sublimes, attrayantes, voire très sexy sont les objets marketing des PDG avides de fructifier le bénéfice du chiffre pour que le nantis suivra sans réfléchir son chibre en érection massive, plein d’orgueil et de testostérones arrogantes, mais tellement naïf et dupé par le système capitaliste de consommation. Direction la facture, envoûté dans sa virtuelle « conquête Tinder » afin de casquer un produit sans intérêt et surtout inutile pour sa vie fade, lissée de mouton de Panurge lambda. Comme la vendeuse était si canon et comme elle lui a si bien sourit, il en a dégommé sa descendance dans son slibard Calvin Klein, donc il ne va pas vouloir faire de la peine à la jolie jeune femme qui fait son travail. Il ne lui reste qu’à banquer la CB avec ce joli et envoûtant fantasme de se la faire dans son salon designer, prison matérialiste et attrape couillons publicitaire. Quant à la jolie vendeuse, elle participe inconsciemment à ce rouage déshumanisant dans lequel les machos friqués revendent la poésie, la fragilité charnelle et l’âme humaine des femmes, jeunes femmes, dans un système d’argent, de pouvoir, de consommation et de corruption. La vendeuse est un soldat du commerce, elle se prostitue elle-même avec jovialité pour le pouvoir d’achat. Elle vante l’argumentation qu’elle est un objet à vendre et à consommer, à posséder si toutefois le client y mettra le prix. »
« Coucou les enfants, c’est moi MacroNIQUE le clown rigolo. J’ai bousillé les français et je les séquestre à volonté « happy-hour » comme dans le bar dégueulasse de vos papas tous foirés et alcoolos… C’est moi MacroNIQUE le clown sympathique qui a tabassé les clodos, le gentil clown qui a fait « suicidé » les gens handicapés psychologiquement trop fragiles et feignasses pour encaisser la sodomie de MacroNIQUE le clown sympathique… Je suis le clown rigolo totalement psycho qui a flingué la vie de mon pays… C’est moi MacroNIQUE le clown sympathique qui niqué la cervelle des français. J’ai gazé tous les petits écrivains, les vrais artistes parce qu’ils n’ont pas de pognon à raquer pour assurer la vie luxueuse de Brigitte la vioque qui m’a enculé pendant la récré… Je suis MacroNIQUE le clown rigolo qui a tué la culture de mon pays… mais pas les branleurs merdiques qui sont en boucle dans toutes les télés, eux ils vont finir de lobotomiser la cervelle disponible de vos parents ratés pour qu’ils ne se préoccupent que d’aller acheter des merdes inutiles et sans intérêt… Alors les enfants ça vous dit de faire comme Brigitte et Marlène Schiappa quand elles m’ont violée avec un gode-ceinture taille Rocco Siffredi ? Ça vous plairait d’avoir vos anus augmenter du diamètre les enfants ? On va bien s’amuser avec MacroNIQUE le clown sympathique. J’ai été élu par la démocratie pour faire de mon pays un état fasciste, totalitaire, arbitraire et une lessiveuse de cervelles disponible pour la publicité !!! »
« C’est vraiment du branlage de cerveau. La crise est un outil politique, un justificatif aphrodisiaque pour dictatures et liberticides. Les décideurs font mumuse avec la santé mentale des gens et une fois qu’on se sera bien tués pour l’absurdité pathologique d’un groupe de « niqués de la tête » gouvernementaux. Là ils vont pavoiser sous les applaudissements de la masse de CONS(ommateurs), lesquels plieront genoux à la servitude esclavagiste d’un troupeau « bébête » aseptisé du cerveau. »
« Je suis laid et hideux, j’ai la tronche d’un sac poubelle crasseux et rempli de toute la merde des humains. Je ne suis rien, juste le récipient de vos crachats sataniques, tous bénis par les dieux du paradis. Si je n’ai pas le droit d’avoir une jolie relation sexuelle avec une jolie femme c’est parce que ma place est au milieu des déchets. J’ai grandi avec votre haine et je suis le produit de votre chaos. Je ne suis pas un être humain mais je suis un déchet périmé et mal-formé. Je suis le torchon, la bonne serpillière pour absorber la merde psychotique et névrotique des normaux. Le confinement prouve que vous avez la possibilité de faire l’amour avec elles mais moi je suis une énorme erreur blasphématoire et hérétique qui est condamné à souffrir et avaler inlassablement vos crachats infâmes parce que je ne suis qu’une chose immonde et difforme qui est la honte de dieu. Mon père m’a toujours dit qu’il avait honte d’être mon père et qu’il était horrifié que je sois sorti de sa bite. Je me séquestre et je tourne en rond neurasthénique avec obéissance afin de mieux devenir cinglé comme le demande le gouvernement. Et comme ils disent ici à Montpellier : « les gros ça ne baise pas !!! »… »
« La souffrance ne ment pas. Elle ne triche pas, elle exprime son verbe. Que l’on soit plus ou moins réceptif, la souffrance explose au visage. La publicité promeut un monde progressiste pourtant la nature humaine stagne encore dans l’intransigeance totalitaire, signée d’une allégeance aux codes sociaux étriqués voire dictatoriaux à suivre à la lettre sous peine d’être cramé sur le bûcher inquisiteur. Marketing de l’exclusion communautaire. La souffrance est incomprise parce qu’elle est relative à celui qui la traverse. La souffrance embrasse la fragilité émotionnelle de sa proie. Elle dictera la violence passionnelle et impulsive de sa victime. La souffrance est une alliance entre elle et celui qui la porte, c’est une relation conjugale qui s’avère impossible à délaisser parce qu’elle appelle nos peurs profondes à s’appuyer sur la névrose qui sommeille dans nos veines. »
« Tu étais la reine de mon cœur, la divinité du bal, mais j’ai déchiffré ce qui se masque derrière la blancheur écarlate de ton sourire. Tu es un cadavre sans âme, ton cœur est un iceberg glacial. Tu es somptueuse et si attrayante déesse, tu enflamme mes désirs les plus brûlants. Mais tu n’as aucune humanité dans ta gestuelle, seuls les petits fours gratuits et les festivités décadentes sont tes jouets. Tu n’éprouves de l’amitié que pour les mensonges. Alors oui tu es ravissante, oui je jouis encore sur ton physique sublime et dans la mélancolie de n’avoir jamais pu t’émouvoir ni même jamais pu caresser la délicatesse de ta main froide. Tu es une reine, tu as un trône où sont légion ceux qui seront à tes pieds. Mais avec la cruauté qui habite ton âme, ta jeunesse ne sera pas immortelle, un jour tu vieilliras dans la solitude et l’oubli. Un jour tu supplieras les « gueux » qui te faisaient horreur de les convaincre qu’ils forniquent ta chatte en décrépitude. Ce jour-là, alors que je danserai avec furieuse démence dans les flammes de l’enfer, rongé par la souffrance, je sourirai parce que la roue a tourné pour toi aussi. »