« L’égalité ou légalité »
29 août 2025 par vincent
« Apocalypse 66,6° » :
« L’Orchidée, ma somptueuse, ma belle calomnieuse à tout va, combien d’anges se sont immolés les ailes pour te plaire ? ». « Combien ont laissé leur auréole se dépérir, la putréfaction ? ». « Combien de factions as-tu forgé dans l’insolence, dans la virulence ? ».
« Douce Orchidée, combien de nuits me suis-je saccagé l’entre-jambes dans le fantasme de ton entrecuisse. J’ai tant désiré, j’ai tant rêvé, oh chère Orchidée… De l’amour mis en jachère, nos muselières surenchères, et l’enfer y trouve son affaire… J’ai tellement aimé ton être, ton corps, ton regard. Prier pour te sentir et te ressentir, ô Orchidée… En vain hélas ».
« La fidélité de l’infidélité, mis en quarantaine parce que j’incarne un spectre de la « quarant’haine »… L’ego se vocifère en milliers d’échos. L’auréole ? Partir en quête de gloriole ? Ou respirer de la cabriole d’elles, dans ses draps et ses bras à elle ? ».
« Prière ou misère ? »… « Qui suis-je ? Certains nous appelle : « Inc-HELL » ».
« Pray-Per-View 99,9° » :
« Les voies de Satan sont pénétrables à tous, êtres déçus autrefois anges déchus… Quant aux voix du Ciel, elles n’appellent que l’acheteur mais aucun prieur ». « L’obscurité est l’élève disciplinée d’une journée ». « Mon dieu, j’en ‘désesperme’… Être avec elle, près d’elle »…
« Chère vampirette, j’ai tellement oxydé ma verge en rêvant de tes canines caressant ma gorge. J’ai tellement espéré me damner un peu plus par l’extase de tes bras dans tes draps ».
« Le mal est diction, la malédiction se veut ‘bénédiction’… Les fleurs fanent avec grâce. Les jardins se fument avec nonchalance. Les Jonquilles se détériorent avec fulgurance ».
« Qui suis-je ? Certains m’assimilent aux malfrats… On nous appelle ‘Inc-HELL’ ».
« Les pantins et les putains ne sont jamais dissociatifs ».
– « Est-ce qu’être amoureux c’est m’allonger plus près du brasier, plus proche de la punition. »
– « Être plus proche de la faute, est ce que le péché originel c’est d’être amoureux de cette douce, ma jolie orchidée ? »
– « J’aimerais la consoler dans mes ailes d’ange damné, j’aimerais la sentir s’étourdir de plaisir, qu’elle se ressente heureuse de jouir en me regardant par-delà les chandelles blasphématoires de mon regard. »
– « Le prêtre voit dans mon âme le visage et le charisme divin que je voue à l’Orchidée… dont les canines enflamment l’érotisme de mes ailes ».