fiction avec les acteurs Léonardo Dicaprio et Julianne Moore
31 juil 2011 par vincent
FOI INNOVATRICE
Je reçois un appel des studios Warner Bros. Ils m’expliquent qu’ils sont intéressés par mon ouvrage et me proposent un rendez vous pour adapter mes écrits au cinéma. Le producteur lance le nom de Léonardo Dicaprio pour incarner l’archange Gabriel gothique et suicidaire « il coûte extrêmement cher, de plus je crois qu’il va refuser étant donné qu’il n’a pas voulu accepter mon précédent livre publié en anglais » dis je amèrement. « Tout sera réglé, votre texte sera respecté scrupuleusement, quant à Dicaprio je m’en charge » me réplique le responsable et il ajoute que j’effectuerai la promo du film avec Dicaprio et qu’il va m’accompagner dans mes errances pour capter le personnage de l’archange Gabriel ainsi que mon univers. Le nom de Julianne Moore est mentionné, puis incluse dans ce projet.
Le lendemain je retrouve Dicaprio chez lui, présentations et félicitations réciproques. Nous bavardons et il essaie de comprendre l’esprit de mon personnage et l’univers contradictoire que j’ai marié. Nous discutons longuement, je lui montre ma vidéo sur internet. Dicaprio est fixe et réceptif. Il m’accompagne durant mes errances nocturnes dans les ténèbres afin de se fondre dans la peau de l’archange observateur, romantique et désabusé par l’anarchie sociale, où celle qu’il aime lui est refusée par les lois célestes. Il découvre avec étonnement la vie dans les ténèbres et me demande comment je gère ? Je lui réponds que l’existence, la romance destructrice ainsi que les gens ont trop joué avec ma vulnérabilité. Choqué il me demande « est il vrai que par la négligence d’un de mes agents, et j’ai ma part de responsabilité c’est un fait, tu as cherché la mort en te sentant infériorisé ? ». Je lui dis qu’à l’exception de l’amitié de Marilyn Manson, Dita Von Teese, et le succès inespéré de chroniques des ténèbres, le suicide me hante depuis mes huit ans. Il me fixe et comprend le côté sombre de ma nature, il se demande comment j’ai pu traverser une vie chaotique et m’être soumis sans cesse aux douleurs imposées. Pendant notre marche, il me regarde déconcerté. Nous faisons quelques balades dans les cimetières, je lui relate ma passion pour ces lieux emplis de mysticisme et de calme salvateur. Je lui explique qu’à l’intérieur de ces endroits je me sens protégé et accepté, l’archaïsme Christique des cimetières est une grande part d’évasion. Dicaprio regarde les crucifix, caveaux et statues religieuses méditatif, avec un nouveau regard. Il aperçoit ensuite la statue d’un ange dans sa splendeur et la fixe. Dicaprio réfléchit à sa performance et à l’impact du film sur les mentalités conservatrices. Le lendemain nous nous rendons dans une grande librairie où j’ai une séance de dédicaces. Dicaprio m’observe signer mes livres avec respect. Des journalistes présent nous filment et nous interrogent ensemble. Dicaprio répond lucidement qu’avec moi il apprend l’histoire d’un monde caché de sa réalité. « J’essaie de le sortir du star system, bientôt vous le verrez chanter 1996 et irresponsible hate anthem au Vatican durant la messe de minuit, en duo avec Benoît XVI ! » dis je pour plaisanter. Il éclate de rire et réplique aussitôt « d’ailleurs mon prochain film après celui de Vincent s’intitulera Fuck the fundamentalist. J’y incarnerai Jésus qui fracasse la gueule des évangélistes qui protestent devant les concerts de Marilyn Manson, avec sa croix. Il y aura même des séquences où on kidnappe des intégristes, on est cagoulés et nous braquerons des AK47 sur eux pendant qu’on les filmera avec un caméscope Toshiba où ils devront chanter Antichrist superstar et the fight song. On est brieffés par des talibans de Kaboul afin que ce soit réaliste à l’écran, et toutes les recettes de ce prochain chef d’œuvre iront à l’association de mère Térésa ! ». Dicaprio tente de maîtriser un excès de rire. médias qui filment mes dédicaces sous l’œil attentif de Dicaprio. Puis les lecteurs lui demandent une dédicace sur mon ouvrage à côté de la mienne. Il sourit et s’exécute. Dans cet enthousiasme je demande à un photographe de presse indépendant, sur place, de me prendre en photo avec Dicaprio pour la postérité. Le mec consent et note mon adresse e-mail afin de me les envoyer chez moi. Dicaprio prend une pose en se rapprochant de moi, nous regardons le photographe qui nous mitraille et le remercions.
Sur le chemin du retour Dicaprio m’invite dans un snack italien de Los Angeles et me questionne sur ma vie privée. Je lui relate les traumas de mon enfermement à 16 ans en psychiatrie, des absences sentimentales douloureuses qui me hantent, de mon inadaptation dans la société actuelle qui s’est révélée cruelle face à mes écritures et rêves d’échappatoire. Dicaprio me fixe et semble touché « Seigneur Christ ! Et tu t’es acharné à écrire ta rage pour exister et sortir de tes blessures, alors qu’ils t’ont entravé à l’âge de 16 ans pour un rêve ! » Me dit il en me fixant. Je lui raconte qu’ironiquement, lorsque j’étais dans ma cellule, parmi les quelques magazines qui me servaient d’évasion illusoire, il y avait un article et une photo de lui et Guillaume Canet sur le tournage de la plage et que malgré les effets dévastateurs des camisoles chimiques sur mon cerveau, je rêvais quand même. Alors que les psys me damnaient d’y croire. Dicaprio sourit et me lance « et aujourd’hui on déguste une part de pizza dans un snack de Los Angeles, ensemble. Ton livre est un triomphe et ce rêve que tu as eu à 16 ans va se réaliser avec l’adaptation de tes nouvelles innovatrices ». Il m’agrippe amicalement et me demande de lui parler de mes amis et ma famille. Je lui dis que mon ami prêtre Jean Marie m’a aidé à convertir son couvent Dominicain à la musique de Marilyn Manson. Dicaprio éclate de rire « les évangélistes n’ont qu’à bien se tenir ! » dit il. Je raconte les hordes d’appels téléphoniques de sondages que je reçois à mon domicile et comment je sais les savater. « Ton numéro est surement sur leur liste noire. Quand un journaliste me posera des questions sur toi et ton mariage religieux innovateur lors d’une conférence de presse, je dirai : je joue l’archange Gabriel gothique inventé par le Ben Laden des sondages téléphoniques. Je te garanti qu’on entendra une mouche voler en direct sur les télés de toute la planète pendant 30 secondes au moins ! » Plaisante Dicaprio. Puis il me questionne sur mon approche de la foi Christique, comment ais je songé à mélanger le contraste entre le Christ et les ténèbres avec un archange suicidaire, vu que dans la croyance cela est contradictoire. J’explique que j’ai eu un contact houleux avec les chrétiens. Ma foi fut contrastée entre l’extrémisme et le nihilisme, puis j’ai trouvé un équilibre à la Constantine. Il enregistre avec intérêt ce que je lui réponds.
Quelques jours après, je rencontre Julianne, nous discutons longuement. Elle souhaite se mettre dans l’ambiance du film en faisant un plan touristique religieux dans la ville. Nous allons voir plusieurs cathédrales. Julianne observe chaque recoin archaïque et les peintures christiques. Elle me pose des questions sur le monde derrière le monde et la barrière destructrice mais invisible qui lie cet ange à la mortelle qu’elle incarne, mais aussi la raison suicidaire de cet être mystique et millénaire au point de provoquer Dieu avec insouciance alors qu’il sait qu’il est un immortel à son service. Julianne m’écoute attentivement et me questionne sur ma vision de la croyance chrétienne et des règles célestes auxquelles Dicaprio est confronté. « As-tu fais des recherches particulières pour raconter tout cela dans ton livre, comment as-tu fais ? » Me demande t elle. Je lui dis que non, je me suis basé sur mes émotions, mon passé, mon interprétation de certains mythes. J’ai improvisé avec le contexte actuel et mes douleurs. « Mon personnage est inspiré d’une personne existante ? » Me demande Julianne. J’acquiesce et lui dit que j’ai combiné le désir suicidaire de Gabriel avec la douleur de mes absences sentimentales. Julianne est impressionnée « tu parles au nom des anges, ce n’est pas commun de nos jours où la culture se dégrade » dit elle en souriant. Le lendemain, Julianne m’invite à l’accompagner à l’association qu’elle parraine, où elle est face à de jeunes enfants à qui elle fait la lecture. Nous arrivons et prenons place, elle me regarde en souriant et lance aux enfants « vous voyez, ce grand gaillard à côté de moi ? Il a un don particulier, il écrit des livres et communique avec les anges ! Et c’est vrai ! » Les enfants rigolent pendant que Julianne m’agrippe amicalement elle aussi.
Le tournage achevé, Julianne, Dicaprio et moi arrivons à Montpellier. Je leur présente avec délectation ma grand-mère, qu’ils sont ravis de connaître. Nous allons aussi à Aigues Mortes voir mon père chez lui. Dicaprio a un DVD avec quelques séquences du film et tous les quatre nous les regardons dans son salon. Je n’arrive pas à y croire, je vois des images de mes écrits avec mon père assis entre Dicaprio et Julianne qui servent d’interprètes. Il s’en suit un débat constructif entre papa et eux. Le soir, nous allons tous les 3, sans mon père, chez maman, qui m’annonce que je vais pouvoir vendre mon dernier livre au château de Cassan dont elle est membre du conseil, avec mes nouveaux amis, dans deux jours. Tous les deux sont ravis de m’y accompagner, car ce château est un monument historique chargé de mille ans d’histoire, moi encore plus car cela va me permettre de les présenter à Nathalie et Jean Pierre qui travaillent au château et sont des amis très chers. J’appelle d’abord un autre de mes amis, Quentin, un réalisateur. Je lui raconte mon aventure extraordinaire et lui parle de ma prochaine séance de dédicace. A ma demande, il accepte de venir nous filmer et d’enregistrer les réactions de Dicaprio et de Julianne. Naturellement, ils demandent à avoir une copie de tout cela, ce qui est bien normal. Nous prenons donc rendez vous, et il viendra bien sûr avec tout son matériel avant de nous accompagner à Cassan. Maman prévient Nathalie qui lui lance « ça va nous changer de nos traditionnelles expos, il va y avoir de l’ambiance ! »
Le lendemain, je fais visiter mon cimetière Saint Lazare à mes amis. Ils regardent tous les deux, fascinés, l’architecture et l’histoire qui émanent des lieux. « Voilà ton refuge, c’est là que tu te sens protégé ? C’est vrai qu’au moins, ici, on est à l’abri des paparazzis qui alimentent les torchons. De toutes façons, si on se fait flasher, il ne s’agit que d’une visite et il n’y a donc rien à redouter ». Julianne me demande « C’est ce cimetière auquel tu fais référence dans tes textes ? C’est vrai qu’il est magnifique ». Nous sommes chez Quentin, échange convivial, il leur montre ses réalisations puis ils débattent de ce que nous avons planifié. Quentin décide de nous filmer un peu chez lui et leur demande ce qu’ils pensent de mon travail. Ils expriment donc leur ressenti par rapport à mes écritures et ne tarissent pas d’éloges sur moi. Il leur pose alors un tas de questions sur le cinéma américain, leurs rêves de gosses, des anecdotes de tournages…un tas de choses en fait. Ils répondent avec beaucoup de gentillesse et de patience. Dicaprio lui parle avec passion de ses tournages avec Martin Scorsese, des préparations aussi avant chaque tournage,. Julianne évoque ses débuts. Ils disent tous les deux être poursuivis par la presse à chacun de leurs déplacements, tout le temps en fait. Mais ils savent que c’est la rançon de la gloire, le prix à payer. Dicaprio raconte en riant « sur un tournage très attendu, on a toujours une pression terrible. Si entre deux séquences, j’ai la dalle et que je sors du plateau pour aller manger un kebab, non seulement les vautours me mitraillent pendant que je mange, le public faisant la même chose avec leurs téléphones portables, mais en plus le gérant du kebab me prend en photo dans son restaurant pendant que je mange et me fait écrire le mérite de sa cuisine parce que j’ai mangé chez lui et qu’il veut torpiller sa concurrence. Mais bon, la plupart sont sympas et m’offrent parfois le repas…C’est après, pendant le reste du tournage où je dois être concentré au maximum, que je vois des techniciens lire des torchons avec des photos de moi mangeant le kebab, avec comme titres Dicaprio devient turc, ou encore miam miam le kebab et je prends quelques kilos pour les goldens globes…. » « Putain c’est chaud mec, c’est de véritable charognards ! » Rétorque Quentin.
Deux jours plus tard, après avoir récupéré Quentin, nous arrivons à Cassan, il filme et interroge Dicaprio et Julianne. Nous sommes accueillis par Nathalie et Jean Pierre, ravis tous les deux de notre présence à tous, « c’est à noter sur une pierre blanche une journée pareille » lance Jean Pierre. Quentin passera le reste de la journée derrière son objectif afin de filmer toute la journée et prendre les réactions de nos 2 invités célèbres, de mes amis et des visiteurs qui passent. Nathalie nous conduit à notre emplacement pendant que Jean Pierre, exaspéré, va régler un problème technique « putain toujours à nous casser les pieds avec leurs installations à la con, ils font chier ! » Dit-il en râlant. Nous sommes installés, Nathalie se montre très attentionnée avec nous et discute avec Dicaprio et Julianne pendant que maman et moi mettons les livres en présentation. Quentin, toujours derrière sa caméra, demande à Nathalie ce qu’elle pense de mon livre « il écrit très bien et a un réel talent pour les mots, mais aussi pour ses sujets, que je ne trouvent pas trop noirs. Je le soutiens dans ses activités artistiques, sa sensibilité et son regard sur ses expériences sont précieux à mon sens. Je souhaite qu’il continue et avec la présence de monsieur Dicaprio ainsi que madame Moore à ses côtés, je suis ravie pour lui car il a travaillé très dur pour arriver à ce rêve qu’il a convoité toute sa vie » dit elle en me souriant. Quentin demande la même chose à Jean Pierre qui nous a rejoint « grâce à son livre j’ai pu m’évader entre les engueulades de certains casse couilles, donc c’est un bon écrivain, même ma femme m’a piqué le livre le mois dernier avant de me le rendre. Si ce n’est pas explicite comment dois-je le dire ? !!! » Dit il en riant. Quentin nous filme pendant que nous attendons les lecteurs potentiels et lors de mes conversations avec Dicaprio et Julianne.
Puis le ballet commence, nous signons tous les trois mes livres, mes deux invités font la promo du livre face à mon émerveillement et l’objectif de Quentin. Les signatures s’enchaînent, Dicaprio plaisante avec les gens pendant que d’autres se font photographier avec Julianne. Quentin vient vers moi « bordel ça me change des regards hostiles et des vieilles dames qui m’assurent d’acheter mon premier livre après avoir fait un tour d’horizon et qui ne sont jamais revenues me l’acheter lorsque je l’exposais à la comédie du livre en centre ville sous la canicule. Avant les lecteurs me fuyaient, aujourd’hui ils affluent comme le Tsunami. Marilyn devrait chanter ces mots dans son prochain disque, en refrain : I died inside your sunrise, now I’m resurrected inside your eyes ! » Lui dis je. Dicaprio et Julianne m’aident à faire le compte de ce que j’ai vendu et remettre en état le présentoir. Le défilé continue et mes nouveaux amis sont tout sourire. Puis maman nous présente un des membres du conseil du château de Cassan qui a cette élégance de la maturité, monsieur Brun. Il a adoré mon livre et surtout les textes sur les anges. Dicaprio et Julianne lui disent qu’il en est de même pour eux avec une légère ironie « alors vous nous l’amenez quand Marilyn ? Parce que toutes ces soirées violons nous barbent sérieusement, donc mettez nous un peu d’ambiance frénétique dans nos prochaines réunions ! » Plaisante monsieur Brun. Dicaprio et Julianne éclatent de rire. Avant de partir nous remercions Nathalie et Jean Pierre, maman nous prend tous ensemble en photo. Quentin nous explique qu’il va s’atteler toute la nuit au montage complet de ce documentaire avec moi et mes deux acteurs, avant de le diffuser sur youtube et de nous faire des copies en DVD.
Nous arrivons à Nice dans le couvent de Jean Marie qui regarde le DVD du film avec nous et le DVD réalisé par Quentin. Jean Marie est bluffé, puis nous déjeunons tous les quatre, il bavarde aimablement avec nos prestigieux invités. Soudain un frère passe et me reconnait « bonjour ça va ? Content d’être de retour je présume ! Bon à tout à l’heure à la messe et vive Marilyn » me dit-il en souriant avant de traverser la pièce. Dicaprio et Julianne rient avec étonnement. « Et oui, j’ai converti mes frères à la musique de Marilyn Manson et maintenant c’est devenu une drogue incurable ! Seigneur Jésus, je confesse… » plaisante Jean Marie avant d’annoncer à nos invités qu’il a prévu de leur faire chanter avec les voix des frères Personal Jesus face à une foule de fidèles dans l’église durant l’office. Pendant la messe, ils fixent Jean Marie orchestrer tout, fascinés. Les fidèles chantent et prient. Jean Marie fait un prêche avant d’annoncer à toute l’assistance notre présence. Dicaprio et Julianne sont conviés à rejoindre Jean Marie pour chanter Personal Jesus, ils s’installent et sourient étonnés du contexte. Ils chantent accompagnés des frères sous les regards attentifs des fidèles, Jean Marie fait de même. A la fin de leur performance improvisée Dicaprio et Julianne sont ovationnés, ils en profitent pour évoquer notre film la désolation de l’éternité, les fidèles écoutent avec attention puis Jean Marie reprend le micro et lance à tout le monde avec ses frères « VIVE MARILYN ». « Amen » répliquent les fidèles, ce qui fait rire Dicaprio et Julianne.
Le film est sorti en salle, je retrouve Dicaprio et Julianne pour entamer la promotion dans une émission de télévision, nous nous installons et répondons du mieux possible à des questions infantiles et inutiles. Je fais figure et essaie de ne pas être trop intimidé afin de rester focalisé sur l’impact de mes réponses, Dicaprio et Julianne eux sont rodés. Le présentateur essaie d’en savoir plus sur l’univers mystique ainsi que sur la foi où j’ai marié les ténèbres avec le Christianisme. J’évoque mon parcours, puis il nous demande comment nous allons gérer les confusions conservatrices, « avec Scorsese je dois tourner un film où durant les retransmissions de la messe dominicale, je dois me lever et brandir un écriteau assez visible sur lequel les intégristes pourront lire : Marilyn Manson est un fils de Dieu, torchez vos chiards avec vos menaces de mort apocalyptiques et Repentez vous tas d’enfoirés ! Marty va appeler ce film Alléluia motherfuckers » lance Dicaprio en souriant, je réplique en me signant « in nomine patris et fili et spirictus sancti. Amen ! » Dis je en fixant la caméra avec un regard effrayant. Malaise en direct. Nous enchaînons les junkets à travers les Etats-Unis. Lorsqu’un journaliste doit valser avec un autre, je hurle vivement « où il est le suivant, on crève la dalle bordel, il nous reste du chianti en rab » Dicaprio et Julianne rient. Je suis devenu le révélateur d’un univers étrange et le fondateur d’une foi innovatrice.
Vincent Blénet
Une lecture très divertissante entremêlant fiction et réalité…Merci.
L’existence que les autres vous accordent n’a importance que si l’on accorde assez d’importance à sa propre existence. A méditer
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