LUX FERRE (l’enfer et le sexe) !
16 sept 2017 par vincent
Lorsque l’Aube éveille le Royaume, et que Mes Frères Messagers cadencent une Valse Ordonnée des Célestes Tâches, je songe à la Pureté de son Délicat Visage. Elle, dont le Sourire terrasserait chaque parcelle de mes Légions Démonologiques de Fantassins du Royaume des Ombres. Il est véridique qu’à travers mes colères enragées, mes excès Malicieux, ainsi que mes duperies sarcastiques… J’aime provoquer, voire jouer de mes Tourmentes personnelles, jouer avec mes frayeurs terrifiantes, mais également, jouer à déstabiliser l’immaculé, détériorer le proclamé Sanctifié. Lorsque j’use de mes Ruses afin de manipuler les troupeaux de Bipèdes à l’Arrogance insolente, je délecte savoureusement ce léger Nectar de Vendetta Libératrice. Pourtant cela Attriste et effraie les Larmes de la Sainte Mère, Elle dont le Cœur n’est Jamais assez étroit pour Accueillir et Consoler Toutes Âmes qui anime les Traits de ses Sourires, ces Âmes qui conjuguent la Vie dans l’Orchestre Symphonique de Ses Soupirs. Je suis partagé entre la Culpabilité d’élimer l’Image qu’Elle porte sur mes Ailes de Feu, mais je suis partagé aussi entre l’Aphrodisiaque nécessité d’Embraser mes Ailes et mes Yeux afin de Châtier mes Tourmenteurs, ceux qui bénéficient du Regard Bienveillant du Père, alors qu’ils ne sont que Pures Bassesses Ingrates envers le Don de l’existence Offerte par le Marionnettiste. J’essaie de Foudroyer toutes formes de Beauté dans le cœur des Mortels, par le Reflet du Chaos Négationniste où il n’y a aucune issue, afin de Venger les Deuils forcés et contraints qu’IL m’infligea pour sauver la Putréfaction Nauséabonde qu’est Sa Genèse de Bipèdes Insolents, insignifiants et Ingrats. Etre la Peur du Néant, le Revolver Fataliste sur la Tempe Humaine misérable, compense et détruit à la fois, toute une éternité de Chute Vertigineuse dans les Flammes de l’Agonie et du Désespoir. Et pourtant, Dieu n’a pas laissé le Sablier de Chronos masquer le Souvenir Fragile où j’Aperçus le Visage de cette Fille.
Lors des Assauts face aux Portes des Cieux, mes Fantassins donnent et reçoivent les coups de Glaive aux Soldats de Saint Michel, mon Bien-aimé Frère de Sang, mais également, mon Redoutable Adversaire du Front Céleste. J’ai beau dévisager Saint Pierre avec mon Regard de Braise, mon Frère de l’éternité, Michel, déploie ses Ailes, son Glaive brandi vers mes Lieutenants de la Perdition. Michel exhorte furieusement les Démons Hors du Divin Royaume, et Récite les Psaumes de l’Absolution avec un ton Quasi Poétique, alors que Nous sommes entourés d’un Opéra Machiavélique de Chaos Absolu. A cet instant, je ferme les yeux et canalise mon Mantra émotionnel et psychique sur le Visage éclairé de cette Fille qui occupe mon Cœur. C’est alors qu’en ouvrant les yeux sur le Théâtre Sanglant des Frontières Célestes, Elle apaisa mes Angoisses. Son Sourire et ses yeux posés sur mon être, sensibilise les flammes de mes Ailes Archaïques. Au beau milieu de l’Horizon Chaotique, Peint de Feux et de Sangs Immortels. Elle, fille de Jézabel, fille de l’innocence, fille à l’Indolence Révélatrice… Elle Panse mes Tourmentes Séculaires où les Millénaires enflamment les Regrets, les Attentes infinies sur des Questions inlassables Face à un Père qui Aime rester Sourd et Muet envers l’Enfant qu’il Souhaite Délaisser à l’Agonie, plutôt que de Rassurer les Craintes.
La Souffrance orchestre le Ballet Conflictuel des Royaumes, alors que les Tranchées Saignent de chaque Côté et que la Guerre Gronde l’Alphabétique des Stratégies. Le Visage de cette Fille m’est nécessité psychique, voire Salvatrice, je me laisse m’abandonner dans le Doux Songe d’effleurer ses courbes si Pures, caresser son Visage avec la Délicatesse d’un Pianiste Minutieux. Ressentir Ses Soupirs de Plaisirs, pendant que mes Ailes cajolent son Corps avec Pudeur Exquise, J’en Respire les Merveilleux Parfums des Lys Sacrés du Jardin d’Éden.
Je suis évasif en la regardant danser sous le tempo jovial des sons électroniques. J’aime tellement poser mes yeux enflammés sur son joli petit corps fragile et délicat. Elle ondule telle une prose charnelle qui se serait évadé des Manuscrits du Cantique des Cantiques. Sa Douceur Attrayante, Aguicheuse, incendie mes Songes de l’éternité. Je Capitulerai instantanément chaque Cierge de Révolution Inquisitrice à la Verve du Marionnettiste Immortel. Le Temps s’arrête lorsqu’elle Vit la Musique dans sa Danse érotique, si Pure de Sensation, si Divine qu’elle est en mesure de Défier la Fatalité qui est Mienne. Elle est la Clé Salvatrice du Royaume, une Clé capable d’ouvrir mon coeur. Un Coeur écorché, un coeur qui se destinait à un mutisme glacial. Et pourtant, cette jeune femme est Apte à Réunir tous les Mondes au Banquet de Cana. Cette Fille est Apte à Éteindre toutes les Guerres et Chaos Ésotérique de toutes les Genèses du Créateur Intemporel. J’entoure mes Ailes de Feu autour de sa Quintessence charnelle au parfum de Chrysanthèmes Sacrés, et le Goût de l’existence submerge mes Sens. Oh Dieu, l’éternel Patriarche, je mourrais pour entendre les pulsations de son fragile rythme cardiaque, contre mon Etre. Juste entendre les Chants Oniriques du Plaisir à travers Ses Lèvres. Caresser sa Peau Cristaline à la Soie des Cieux. Vivre, juste Vivre et que Vivre, pour l’éternité toute entière, avec Elle…
Les vautours qui traquent chacun de ses mouvements, dans un plan machiavélique de souillures sexuelles dominatrices, me rappellent douloureusement la Prison invisible, mais néanmoins pesante par sa palpabilité de distance hiérarchique, dans un Cadastre Mystique et Évangélique. Je souffre de ne point faire Obstacle à ces Prédateurs de l’arrogance, quasi infantiles, pour conserver la Fraîcheur de Ses ébats mélodiques, dans l’Intime Pudeur des Verbes enjoués du Plaisir de la Chair. Prise de Frénésie au sein des tourbillons des jeux de séduction, alors que la foule se met à masquer le Visage de Celle qui est l’élue de mon coeur. Elle quitta la Cour expiatoire des stress de la Routine aliénée du temps Organique. Les Larmes de mon Âme, Ô combien anéantie avec plus d’efficacité chirurgicale que le Solide Glaive Fraternel de Michel. Elle s’évanouit peu à peu de mes espérances Astrales. Mes Prières pour être près d’elle, à nouveau, devinrent plus incessantes, lancinantes, voire omniprésentes, et cela, dans un schéma Obsessionnel. Elle Occupa chaque parcelle de mon Esprit aux Ruses Millénaires. Même lorsque le Prêtre de l’enfer Contre Évangélisa les hordes de Fantassins Démoniaques, avant de mourir sur le Front au Seuil du Royaume d’Éden, j’esquivais le Sermon des Déchus, et je focalisais mes pensées sur le Doux et Délicat Visage de ma Bien Aimée, dont les Attraits Charnels mettraient à Genoux toutes les Armées des Royaumes Ésotériques. Tout en songeant à Elle, je chantais son Éloge, sous la cadence mélomane des Clochers du Ciel. Instinctivement, j’essayais d’accorder le Glas de chacune des Cloches, entre Enfer et Paradis, histoire de conjuguer les Résonances de cloches enflammées, avec les cloches de Dieu. Les Crucifix brûlent dans le Royaume des Ombres, certes, mais aucun ne pourra autant Illuminer ce Sentiment Puissant qu’il y a en moi pour elle. Elle est capable d’assoupir les Forces Occultes qui Assouvissent mon Mantra Séculaire.
Laisser à la Merci de Chronos, la décision de la Revoir… Dieu, que cela m’est Tortures…
Les Nuages Nacrés s’embrasent dans les Chandelles de Mon Regard, un Regard qui Pleure Celle Dont les Cieux m’interdisent d’écouter les Rêves, les Espoirs, les Prières… Dieu, l’éternel Patriarche, POURQUOI ??? Je l’Aime de Tout mon Être, mon Esprit. Elle Saurait Panser les Nombreuses Cicatrices qui Ornent les Plaines de mon Coeur, ce Coeur Immortel si Sensible et Fragile. Les Sonnets Guerriers Résonnent à travers les Royaumes, l’Armée Céleste fait face à mes Fantassins de l’Occulte. Les Prédicateurs des Fronts Respectifs enchaînent les Sacrements d’Absolutions sur les Auréoles de Chaque Soldat de Dieu, et le Prêtre de l’enfer Contre Évangélise chaque Démon Prêt à Trépasser pour Souiller le Seuil Innocent d’Éden. En Observant Saint Michel Chanter la Victoire de la Résurrection des Hommes, je me souviens de nos longues Allégeances inlassables envers Ces Pantins Pathétiques, les Humains, Création Stupide d’un Marionnettiste Agacé Précocement par Sa Propre Fourmilière Infantile, Inconséquente, Dérisoire et Si Facile à Soudoyer dans la Traîtrise de l’éternité. Les Hommes sont Muets à leurs Coeurs. Ils se Prélassent dans l’objectif de Conquêtes et de Dominations de leurs Semblables. Combien de Siècles ai je Versé de Larmes, depuis mes Yeux de Feu Séculaires, en Compagnie de Tous Mes Frères Messagers, pour Sauver leurs Destinés. Combien de fois ai je levé le Glaive enflammé du Paradis, pour Défendre la Sainte Parole du Père. Nous étions en Symbiose Chorégraphique avec l’ensemble des Archanges et des « Ailes du Vent » – la Garde Rapprochée de Dieu – sous la Litanie de Psaumes, chantés par les Séraphins. Je me Souviens des Assauts Ennemis entre les Renégats Contestataires du Créateur Intemporel, et de Nos Mantras exhortant la Fatalité à ne Point Embrasser Notre Sort. Les Concertos Cadencés des Clochers du Royaume de Dieu, résonnaient en nos Soupirs Apeurés de Mourir Pour de Stupide Embryons Instables de la Genèse. Ce n’est qu’à Présent, à Travers Elle, qu’il m’est Possible De Comprendre Pourquoi l’Équilibre Ésotérique Doit Survivre à Nos Complaisances d’immortalités.
Lorsque le Soleil se lève et éclaire les Plaines d’Éden, Malgré les Flammes de l’agonie Satanique qui Emprisonne mes Songes loin de Mes Frères Messagers, Loin d’Elle, j’Aperçois les Cierges de la Vie, Pour être en mesure d’approcher cette Fille et d’entourer son Délicat et Joli petit Corps fragile entre mes Ailes. Je Contemple la Candeur de Ses Seins Voluptueux, j’observe le va et vient de Son Décolleté Attractif. Je Ressens Ses Soupirs, j’écoute les Battements de Soie de Son Coeur, dont je ne cesse de Fredonner la Douce Mélodie. Là où les pulsations sanguines entraînent les Mortels à Défier le Sablier du Passeur Éternel, la Musique érotique de Son Coeur conjuguée avec Ses Soupirs de l’extase, Elle Soigne les Blessures Infectées du Temps qui passe inlassablement, dans un Silence Glacé et Abyssal de l’éternité Si Cruelle. Les Crucifix brûlent en Enfer, les Ames Damnées Nourrissent les Déchus, mais Cette Tendre et Charismatique Mortelle Apaise les Tumultes Tourmentés et Capricieux de Chronos. Elle est la Vie, Elle est Ma Vie. Ma Raison d’être au Sein de l’immortalité du Cadastre Mystique et Évangélique, voire Dogmatique. Je suis Prêt à Vivre Pour Elle, je suis Prêt à Accepter les Futilités Intransigeantes du Marionnettiste Immortel.
Ma Seule et Unique Messe de la Résurrection, l’église Sainte en laquelle j’aime et je Dévoue Toutes mes Prières, est dans la Sexualité Poétique de Celle que j’Aime à en Brûler pour l’éternité. Partager Sa Couche de Sensualités Charnelles m’est Plus Précieux que le Récital des Refusés, Plus Doux et Fragile que les Fleurs Sacrées d’Éden. Lorsque je m’Imagine Parcourir avec Indolence Ses Courbes de Soie Pure, Caresser Ses Pudeurs Innocentes de l’extase, Alors je me laisse Abandonner dans les Charmes de l’existence. Grâce à Cette Fille, je Parviens à Enfin Toucher la Vie à l’état Brut, Sans Mascarade, Sans Tricherie, Sans Roublardise, Rien que le Bonheur d’être et de Vivre. Vivre l’Instant Sans Sentiment de Peur, de Folie, de Condoléances Funèbres. Juste Ressentir la Vie qui Coule dans mes Veines, à Travers le Goût Exquis des Lèvres Savoureuses de Cette Mortelle, Fille de Jérusalem. Fille Dont le Coeur et le Charisme Constituent l’édifice Sanctifié de ma Foi Discrète. Elle est la Quintessence des Cierges Intemporels de l’espérance Divine en Laquelle je Souhaite encore Croire, bien que Dieu resta Exigeant envers les Multiples Désobéissances Révoltées qui Affublent Ma Sentence Expiatoire, Loin de Mes Frères Messagers, Loin des Parfums Onctueux du Jardin, mais Surtout Loin d’Elle. J’ai beau Etre le Symbole d’une Genèse enflammée, l’Inspirateur Des Révélations de Saint Jean. Ou bien, le Préfacier Cataclysmique de la Résurrection des Péchés. Néanmoins, Je Conserve Secrètement, les Battements de mon Coeur Pour Cette Mortelle. Certes Ma Réputation Précède Les Orgueilleux Despotes, mais aucun ne pourrait un instant douter que le Roi des Ombres, l’Ange de la Rébellion Déchu du Paradis, Possède un Coeur très Fragile. Mes Sentiments n’en sont que Vulnérabilité. Aussi, Personne n’est Conscient que l’exagération, les Défiances, au sein des excès de l’Hérésie Ostentatoire, Voire Provocatrice, n’est autre qu’une accumulation de Blessures Existentielles où le Coeur Pleure des Larmes de Sang. Elle est la Seule Capable de Stopper l’Hémorragie Séculaire. Mon Coeur ne Bat Que Pour Elle, Rien Que Pour Elle. Bien que Saint Pierre Toise les Fantassins de la Perdition, épris d’une Frénésie démoniaque, le Baptiste est essoufflé. Il Ne Peut Rivaliser avec l’Alphabet Enjoué du Ballet Ecclésiastique Fascinant Lorsque je Contemple Amoureusement Ses Fesses, qui Dansent lorsqu’elle marche d’un Pas Assuré, Assumant Sa Démarche Érotique où nombreux sont les Mâles qui en acquièrent un Sacré torticolis coquin. Malgré Mes Yeux de Feu Séculaire, Je Suis Celui qui Sera Le Plus Délicat, de Tous les Partenaires de Couche, mes Ailes de Feu Sauront Cajoler de Sainteté chacun des Plaisirs Sensuels qui émanent de Ses Orgasmes Oniriques. Ainsi Doit-Il en Être.
Laisser à la Merci de Chronos, la décision de la Revoir… Dieu, que cela m’est Tortures…
Le Monde est jonché de Vestiges Brisés. Nombre d’églises, de Cathédrales, Reflètent la Mémoire de Mes Frères Archanges, Tombés Pour l’héritage Des Saintes Écritures. Il y a Un Enfer bien Plus éprouvant que Celui qui Incarcère mon Etre Loin d’Elle, Loin de Mes Frères, Loin de la Délivrance du Dogme Ecclésiastique. Les centres commerciaux sont devenus les Nouvelles Églises pour les Mortels. Les Louanges Infinies du Marché de la Consommation, Ont Surpassé Le Sacrifice Immortel du Fils Rédempteur. Souvent j’ai baladé mon Regard, Tourmenté par les Braises Expiatoires à Mes Invectives Rebelles, Une Révolte qui m’emprisonne à Présent au Sein des Flammes de l’Agonie Satanique Éternelle, là où les Croix et les Clochers s’habillent par le Feu des Châtiments Sacralisés. J’erre au milieu des Jolies Filles, Fidèles Adeptes du Pouvoir d’achat Dogmatique, là où l’Absolution consiste à Payer pour Exister. La Monarchie Rigoureuse de la Consommation invite les Gens à Penser qu’il suffit de jongler avec les comptes bancaires pour se définir comme appartenance socioculturelle. Malheureusement, à mon Humble et Triste Regret, Plongé dans l’océan de l’Amertume, les Filles Obéissent Sans Faille à une Vénalité arrogante, Quasi Prédatrice où Sourire, Aimer, Voire Offrir un Égarement de Tendres Sensualités, est un Service Prestataire Facturé au Prix Fort. Elles ont Perdu les Verbes Alphabétiques des Psaumes de Cana. Le Tourbillon Féroce de Toute Cette Beauté Sexuelle, ce Charisme Attrayant des Ballets de la Chair. Les Mouvements Symphoniques des Décolletés et des Fesses qui Dansent en Chorégraphiques Symbioses de l’Excellence, j’en ai l’Esprit proche du Vertige des Limbes Abyssales du Néant Purgatoire. Lilith, Elle Même, ne peut rivaliser avec la Valse des Plaisirs Sensuels, que Ces Filles Offrent à Mon Regard de Feu Séculaire. Le Désir m’étouffe progressivement, j’ai beau déployer mes Ailes de Feu et Illuminer les Flammes Immunitaires Sataniques, Aucune d’Elles ne pourra Entendre ma Souffrance. Traverser les Temples de la Consommation, là où la Sexualité Poétique est Symbole de Lames Glacées, cela m’est davantage Douloureux que Braver avec Effronterie Ostentatoire le Marionnettiste et d’affronter Sa Précieuse Garde Rapprochée « Les Ailes du Vent ». Le Plaisir Suggestif de l’érotisme Sulfureux et Passionné, plonge Mon Ame dans un Opéra de Feux Immortels. J’ai beau Prier une Forme de Pardon, mon Coeur Suffoque face à Tant d’attractions Sexuelles.
Les Filles Sont Identiques aux Roses de l’Excellence, qui Ornent le Jardin Sacré du Patriarche Éternel. Elles Sont si Belles, Elles Resplendissent la Magnificence de la Création Des Temps, où les Siècles n’ont Guère d’emprise. Pourtant Si vous essayez de les Cueillir, Ces Roses Possèdent des Épines au Poison Viscéral. Un Venin Agressif et Lent, Il Ronge Votre Ame et Aseptise Froidement votre Coeur. A la fin, Vous êtes Noyé entre l’Amertume Mélancolique et la Fureur Négationniste des Cercles de l’Enfer. Même mes Soldats de la Perdition sont Fascinés par le Mantra Destructeur qui Émane du Coeur Corrompu des Filles de la Nouvelle Jérusalem. Les Démons en Exultent lorsqu’ils Rêvent de Prendre d’Assaut le Royaume Céleste des Cieux. Parfois il m’arrive d’entendre le Baptiste à Bout de nerfs, lorsqu’il Scande les Révélations de Saint Jean à Travers le Paradis. Ses Tentatives Exorcistes afin de Museler les Voix de l’Enfer, n’altèrent aucunement Mes Songes de l’éternité envers la Fille qui Occupe mon Coeur, Malgré la Culpabilité qui est au dessus de mon Auréole Damnée – telle un Glaive enflammé de Damoclès – Prêt à Juger et Châtier ma Verve Singulière et Révoltée. Bien que Je sois Conscient de la Vanité à l’égoïsme Vénal de Ma Chère, Tendre et Précieuse Mortelle de Jézabel, j’aime Observer avec Délicate Dévotion Passionnée, Son Visage Fragile ainsi que Ses Attraits Charnels. Je reste inlassablement épris par l’Indolence Sulfureuse que Cette Fille Offre à mon Regard de Feu Séculaire.
Le Désir Nourrit et Tue mon Ame. La Dualité Paradoxale rend mes Questions Existentielles Perplexes, il m’arrive d’être Hagard et Confus lorsque les Lieutenants Démoniaques m’affublent de Stratégies Interminables, au Nom de la Révolution Satanique Éternelle. Seul Caresser la Joue de la Fille avec Douceur, m’importe plus que tout. Lilith n’en Devient que trop Jalouse, même les Hordes Charismatiques de Jolies Filles Attrayantes, Valsant au sein des centres commerciaux, Agace Furieusement les Verbes Tentateurs de Lilith. Elle se sent partir dans l’oubli, et l’obsolète. Le Mythe des Succubes est une Épitaphe de la Prose Engagée des Talents Créatifs de Lilith. Il y a bel et bien Un Enfer plus Féroce que Ma Prison de Flammes Immortelles, il est composé de Nymphes Humaines aux Charmes Aguicheurs. Et cet Enfer Attaque ses Victimes par Subtilité, dans les Sentiments et la Démence Abyssale du Désir. Dieu, Toi qui Juges Tes Messagers dans l’Omniprésence des Ages, POURQUOI n’as tu de Grâce à m’accorder ces Modestes, mais Si Précieux, Instants de Plaisirs de la Chair en Symbiose Érotique Avec Celle que mon Coeur a Choisi ?!
Laisser à la Merci de Chronos, la décision de la Revoir… Dieu, que cela m’est Tortures…
J’aime Tellement l’Indolente Cadence Suggestive Chaloupée de Leurs Attraits Si Charismatiques. Ces Jolies Fesses qui Dansent à travers des robes aux textiles légers. Glisser Tendrement mes doigts le long de Ses Lisses Cuisses à la Pureté Absolue, laisser mes Ailes Caresser Délicatement Ses Fesses en remontant jusqu’à Sa Nuque Fragile et faire Danser Ses Cheveux Flamboyants, à l’Iconographie des Levés de Soleil sur Tout le Royaume du Père Immortel. Le Ballet Orgasmique de Son Décolleté Attractif est un Don Précieux de la Magnificence de l’Existence. Nul ne Rivaliserait Face à Cette Fille, Mon Désir Émotionnel de Plaisirs Charnels, conjugue parfaitement la Volonté Indéfectible de Survivre, Malgré mes Sentences Ésotériques Dictées par le Marionnettiste. J’en Finis par Accepter Cette Fatalité. Qui sait, peut être se Veut elle Éducative…