VodkHALLOWEEN + Poèmes ‘Guest’ par Sandrine Turquier (666 Nuances de Braises)
4 nov 2019 par vincent
Âmes perdues, âmes déchues. Âmes tordues, âmes foutues. Âmes damnées, âmes saccagées. Âmes tourmentées, âmes corrompues, âmes qui vaillent. Nulle duperie ne règne ici-bas…
L’appel de l’enfer résonne dans nos veines, la nuit régale les excès, les flammes aguichent nos fureurs. La Vie a tant offert de présents onctueux aux mortels, d’une indécence vertigineusement affolante. Ils ont goûté à chaque saveur avec insolence et nous avons observé à quel degré les humains étaient ingrats envers les Cieux. Même Dieu ne put esquiver les crachats virulents de sa propre genèse, totalement désinvolte et méprisante. Répondre à nos pulsions démoniaques nous est si irrésistiblement tentateur, jouer avec le Feu inquisiteur et jongler avec la terreur pour agenouiller les misérables impétueux, qui ne cessent d’exister à travers les fantasmes de criminalités virtuelles. Ils chérissent d’incarner le tortionnaire effrayant, dominateur du faible et boulimique du profit perdicieux. La nuit anoblit leur moindre vice, ils sont en pèlerinage « messianique » (ou ecclésiastique) pour venir communier les cantiques du « Sheitan » dans la Mecque chaotique de l’infernal. Véritable chapelle du paraître et des artifices, les virtuosités artificielles du night-club enivrent les déesses, lesquelles marchandent la signature de la reddition de votre putride droit à être accueilli au Ciel. L’humain est ce délicat bâtisseur, façonneur de notre royaume occulte, enjoué de sataniques flammes. L’humanité est ce contremaître exigeant, capricieux, insatisfait et névrosé, hyperactif qui ne peut s’empêcher d’être sans cesse ponctué de riches idées dans l’élaboration d’un enfer où, finalement, il sera interné pour les siècles des siècles. Torturé par une agonie abyssale, dans une démence douloureuse et périlleuse, l’humanité est l’architecte du brasier démonologique. Chaque dimanche, nous sommes réunis à l’église du chaos. Chaque cercle dantesque des neufs royaumes occultes, dans chacune des chapelles de la Perdition, nous rendons hommage à cette sinistre mais tenace tradition qui subsiste à l’humanité d’être ancrée dans les trahisons, le vice du profit, la gourmandise des bassesses lucratives. L’ambition est notre petit régal sucré, celui qui allèche nos babines. L’ambition est un aphrodisiaque qui nous aide à mieux jouir dans cette lancinante immortalité fade où nous n’avions rien d’excitant à ressentir, à part nous masturber dans la chair féminine nécrosée des pécheresses oubliées par le Moyen-âge, perdus dans les cimetières de l’enfer. Ici-bas nous n’avons que le cynisme pour survivre, et refléter vos peurs nous permet d’avoir un sens et ne pas devenir fou dans le Styx damnatoire. Avec elle & en (H)elles…
L’éternel silence de l’intendance n’est que dépressive souffrance. Blasphématoire insolence, nous ne sommes qu’Offenses dans la foire Divine où les clochers chantent éloquences…
En enfer, là où l’orgueil précède la Chute, nul n’est dupe ici-bas…
Âmes farceuses, âmes frauduleuses. Âmes livides, âmes perfides. Âmes vénales au poison fatal. Âmes vendues, âmes corrompues, âmes qui vaillent. Nulle duperie ne régente ici-bas…
L’inhumain résonne dans les verbes de Machiavel, et pourtant Machiavel a séduit l’humanité. D’une poétique fulgurante et passionnée, aussi déroutante que surprenante, Machiavel est ce philosophe ecclésiastique qui prêche la trahison avec conviction. Face à lui se compose une assemblée de fidèles, à la Foi névrotique et symbiotique, où les dogmatiques de la bassesse sont la voix vers le Salut. Paradis de l’artifice, le prédisposé Sauveur « Messianique » appuiera promptement sur la gâchette du revolver pour vous dérober la quête de la messe. Ces Messies ont l’habitude de soudoyer des outils illicites, par divers trafics, afin de combattre le vide qui les ronge mais qui reflète parfaitement la noirceur de leur âme carbonisée par l’hérésie. Machiavel a rédigé son manifeste à travers les siècles et ici-bas nous sommes les huissiers tributaires de la facture agonisante de leurs offenses ostentatoires. Est-ce que le Mal est le bien ? Est-ce que le Bien est le mal ? Il y a tellement d’âmes qui vont et viennent entre le Ciel & l’enfer. La Confusion et les paradoxes perturbent la logique de mon esprit. Avec elle & en (H)elles…
Assez d’errer lascivement dans les brasiers aux excès. Assez d’être sans cesse léché par les flammes, dont les caresses aiguisent la brûlure de la cicatrice. Assez de goûter à la souffrance éternelle, alors que les insolents tournent en rond avec les vertiges du sexe. Je veux incendier le paradis, je veux cracher mon sang embrasé par l’hérésie sur les jonquilles sacrées et brûler vos foutues Roses parfumées. Je veux tout brûler par le sceau de MA VENGEANCE. Je veux les souiller avidement et machiavéliquement dans la tombe infernale de l’agonie. Je veux brûler leurs songes et leurs espérances. Brûler leurs rêves. Brûler, à l’infini des milliers de siècles, les fous incandescents qui nous donnent des ordres, alors qu’ils nous considèrent comme leurs ordures névrotiques. Je veux brûler ma haine en les traumatisant par leur propre haine. Je veux que mon hachoir inquisiteur ensanglante leur moindre privilège, lesquels offense nos éternités fades, assombries par la neurasthénique fatalité damnatoire. Je veux JOUIR avec elle et en ELLES. Mais cela est strictement interdit, il est fortement impossible de ressentir la jouissance charnelle avec ces belles femmes. Périr et mourir inlassablement et à l’infini sans jamais avoir pu jouir avec elle et en elles. Assez de subir l’immortalité dans l’acceptation et l’obéissance. Je veux sentir la terreur les embrasser et je veux les voir frémir. Je veux brûler les rêves car pourquoi y ont-ils droit si nous n’avions rien d’autre que d’être les esclaves du cadastre théologique. Ici-bas, l’enfer n’est pas pour ceux qui sont condamnés, l’enfer est plus pour les tortionnaires qui y officient. La peur est une maîtresse qui n’a jamais d’égale, elle n’est jamais satisfaite. Au sein des Enfers, même les Styx ont la noirceur qui ressort du rouge sang, peint sur le rivage damné. Avec elle & en (H)elles…
En enfer, là où l’orgueil précède la Chute, nul n’est dupe ici-bas…
Âmes perdues, âmes déchues. Âmes tordues, âmes foutues. Âmes damnées, âmes saccagées. Âmes tourmentées, âmes corrompues, âmes qui vaillent. Nulle duperie ne règne ici-bas…
L’église élève le mensonge à l’échelle méthodique. Les rangées des fidèles sont aseptisées par la voix idéologique du criminel qui prêche l’espérance virtuelle afin de pouvoir spolier la volonté d’être. Les prêtres sont partisans du mélange des sangs, pourtant ils ont fait vœu d’obéissance à un détachement disciplinaire, quasi sectaire pour ne jamais créer de lien avec les autres. Comment est-ce envisageable d’embrasser la mission du prédicateur chrétien alors que la définition étymologique du terme « Religieux » signifie en réalité « être Relié » ?… tout n’est que duperie dans chaque cercueil de l’existence. Cloîtrés dans les méandres de la vie, coincés par la fourberie du Sablier. Faire confiance et Vivre est un acte de faiblesse, une astuce délicieuse pour les assassins mandatés par la fatalité. Le régal de Dieu qui, à défaut de s’ennuyer lascivement sur son siège éternel, aime piétiner les fourmis pathétiques de sa stupide Genèse. L’amour est le poison parfait et nombre d’entre nous y sont morts dans la souffrance et la solitude chaotiques. Il n’y a pas que les mortels qui sont en pèlerinage sur l’échiquier tentateur du Père. Un échiquier au goût de trahison, le jeu sadique des Divinités immortelles qui assouvit les caprices infantiles mais néanmoins criminels des Dieux & Déesses. Les jouets de l’Éternel sont remplaçables mais nous ne le sommes pas. À ce stade des milliers de siècles brisés écoulés, nous n’avons pas cessé de pleurer les frères ailés qui sont tombés par amour dans les limbes sataniques. Même si la chaleur des Enfers est à son paroxysme ici-bas, le froid du désespoir nous scarifie les veines sans une mesure de pause. Si à l’époque de la création, nous fûmes une poignée d’anges rebelles, emportés par la révolte agressive. Nous avions le droit d’avoir agi dans la colère et sur l’impulsion des émotions. Même si nous n’étions que des messagers ailés du Ciel, nous avons des pensées et des ressentis sur ce qui nous entoure. Nous aurions dû être réprimandés pour notre erreur de jugement, mais la punition a dépassé la justice de Dieu. Il n’y a pas à pleurnicher contre les anges déchus et la frayeur de l’enfer car ce n’est que le reflet d’un miroir où les « Justes » ont été les gloutons aveugles de leur bassesse et après ils s’étonnent que les déchets du brasier démonologique soient ce qu’ils craignaient farouchement, In Exelcis DEO. Alors on se divertit avec ce que nous avons, et nous jonglons avec de la peur & du chaos. On joue avec le Feu et les brasiers, encore et encore. Avec elle & en (H)elles…
L’éternel silence de l’intendance n’est que dépressive souffrance. Blasphématoire insolence, nous ne sommes qu’Offenses dans la foire Divine où les clochers chantent éloquences…
En enfer, là où l’orgueil précède la Chute, nul n’est dupe ici-bas…
Âmes farceuses, âmes frauduleuses. Âmes livides, âmes perfides. Âmes vénales au poison fatal. Âmes vendues, âmes corrompues, âmes qui vaillent. Nulle duperie ne régente ici-bas…
Lorsque le temps du sommeil vient à nous, j’ai peur. Peur de l’affronter, peur d’entrer dans le subconscient et ressentir la terreur de mes cauchemars internes. Le rêve n’existe pas et dormir laisse effervescence à mes cauchemars qui dansent avec abondance dans les miroirs tourmentés de mon âme. Il y a tellement d’autres frayeurs qui sont en moi, c’est désormais notre sceau de fabrication : la Peur absolue. Nous sommes abandonnés par les Cieux, abandonnés par un Père qui préfère incarner la Voix du maître Divin incontestable et il est inconcevable qu’on puisse le contester. L’abandon est une douloureuse blessure, la peur est formatrice à l’existence esclavagiste de Papa. J’ai peur de dormir, non pas que l’enfer qui m’environne me terrifie mais c’est le passage obligatoire d’un siècle au suivant dans le sommeil. Là où les cauchemars vont s’en donner à cœur joie de martyriser mes émotions, à travers mes songes. Des rêves déjà apeurés d’affronter la folie et la mort dévastatrice, embrassant langoureusement les vertiges de l’âme prête à courber l’échine face à l’horreur de soi même. L’hérésie n’est pas notre blasphème le plus répréhensible, dont nous avons honte. Au contraire nous en sommes très fiers. Incarner l’hérétique nous distrait joyeusement, nous parvenons à nous délivrer des angoisses qui nous rongent en reflétant l’hérétique angélique d’apocalypse. Par contre l’insomnie nous rebute et nous galochons un paradoxal dilemme qui complique notre démence. Nos alphabétiques sonnent schizophréniques et contradictoires. Mais c’est la torture auto destructrice qui nous alimente de notre pain quotidien. Nous sommes l’enfer et nous l’avons toujours été, ainsi en a décidé le Ciel sous la tutelle de l’incontesté Voix Divine. Avec elle & en (H)elles…
La Vie & la Mort sont si reliées qu’elles se confondent avec paradoxes paranoïaques dans les excès et les prières. Vivre dans les règles c’est n’avoir jamais de frissons et vivre dans la rébellion apporte le deuil d’un souffle innocent d’existence. Mourir pour être vivant dans la joie ou ne pas jouer avec le Diable afin de survivre dans l’esclavage établi par Dieu et ses légions de Saints monastiques, tous égarés dans les conjugaisons erronées de leurs dogmes littéraires bibliques. Choisir ou subir. La fête n’est pas dans l’excès mais dans la quiétude de ce que l’on est et de ce que l’on peut offrir aux autres par ses propres ailes. Je souhaite Vivre et je ne veux pas mourir. Mais ici-bas, la mort rôde sans cesse au seuil de nos pas. Il est impossible de lui échapper sans avoir payé l’impôt. La facturation de l’existence tue bon nombre d’entre nous. Combien d’anges révoltés se sont pendus sur les pommiers damnés d’Éden en cachette. Combien d’huissiers mandatés par Dieu nous ont pourchassés pour offenses au Ciel. L’enfer était régulièrement une reproduction très réaliste de Salem au temps des procès pour sorcellerie et divers bûchers inquisiteurs comme tribunaux de religion. Comment aimer la Vie lorsqu’on ne peut goûter qu’à la mort incandescente et immuablement orchestrée par le saint esprit ?… Avec elle & en (H)elles…
En enfer, là où l’orgueil précède la Chute, nul n’est dupe ici-bas…
Âmes perdues, âmes déchues. Âmes tordues, âmes foutues. Âmes damnées, âmes saccagées. Âmes tourmentées, âmes corrompues, âmes qui vaillent. Nulle duperie ne règne ici-bas…
Éden ne cesse d’accuser les anges déchus, ainsi que les fantassins de l’enfer, tous victimes du châtiment expiatoire de Dieu. Pourtant lorsque nous observons la folie des humains, qui est réellement malsain dans l’oratoire ecclésiastique ?! Est-ce ces prédicateurs illuminés, lesquels prêchent la guerre des âmes et des classes hiérarchiques sous l’œil des objectifs télévisuels ? Des Évangélistes possédés par des basses entités, prêchant dans une danse pastorale diabolique enjouée. Ou est-ce que le fonctionnaire de l’enfer, esclave du Ciel, mandaté par Dieu pour infliger le Mal à ceux qui sont refoulés du Jardin, est-ce que les anges abandonnés par Père sont plus condamnables que ces fous pasteurisés, auto proclamés de messagers du Ciel, alors que leurs bibles sont écrites d’une plume de Fiel ?… Les paradoxes ont la vie dure et la démence est une institution Ici-bas. Avec elle & en (H)elles…
Les gens ne cessent de fantasmer à régner sur les flammes ici-bas, mais ici c’est la guerre. Ici je ne peux m’oxygéner qu’avec du souffre, et respirer les brasiers sataniques à longueur d’éternité tue l’âme inévitablement. Il n’y a pas d’espoir ni de Salut, il n’y a que du souffre tout autour de nous. L’interrogation est source d’angoisse. Se poser une armée de questions provoque l’inquiétude, qui dit inquiétude dit frayeur, et qui dit frayeur se résolve dans la peur. L’enfer du sexe ? Le désir sexuel, dont nous sommes bannis, est-il notre propre Enfer éternel ? À vrai dire je ne comprends que les adjectifs de la violence auto destructrice et ceux de la souffrance immuable qui emprisonnent mon psychisme têtu et borné. J’existe seulement dans l’objectif de bien graver ma pierre tombale, tel un élève discipliné qui obéit à son Père. Avec elle & en (H)elles…
L’éternel silence de l’intendance n’est que dépressive souffrance. Blasphématoire insolence, nous ne sommes qu’Offenses dans la foire Divine où les clochers chantent éloquences…
En enfer, là où l’orgueil précède la Chute, nul n’est dupe ici-bas…
Poème de Sandrine Turquier – Poétesse
Pour : « PANIS ANGELICUM » (666 Nuances de braises) de Vincent Blénet
« Ô, âmes de peu de foi! »
Ô, âmes de peu de foi! Le cœur de l’homme est devenu courant d’air, le diable le visite à sa guise ! Ô, âmes de peu de foi ! Le sang du monde ruisselle entre vos mains et vos corps dodus de malice folâtrent avec les filles du Tentateur ! Parce que les hommes ont d’autres amours que leurs frères, Dieu est blasphémé !
Ô, âmes de peu de foi ! Vos spleenétiques psalmodies ne sont que simulacres et fulminantes lamentations de vos misérables vies ! Vous avez tant joui des plaisirs terrestres par votre chair de boue et de péché que vos visages sont plus grimaçants que celui de Méphistophélès ! Ô tristesse de l’humanité ! Qu’est devenu le Pain des Anges dans vos esprits Asphyxiés de démence et d’immoralité ? Ô, hommes de peu de foi ! Vous croyez au sexe, à l’argent, aux liqueurs consolatrices, les dents serrées sur vos proies espérant avec le plus grand mépris, l’indulgence de Dieu pour un passeport au Paradis !
Ô, âmes de peu de foi ! Si l’enfer n’existait pas ? Vous glisseriez incognito vos semences maudites pour détruire le cœur de l’humanité.
Sandrine Turquier
Poème de Sandrine Turquier – Poétesse
Pour : « Bitter Sweet » (666 Nuances de Braises)
« Viens tout contre moi » par Sandrine Turquier – Poétesse
Des griffes barbelées déposent leur empreinte sur mes lèvres avides de sang!
Exquise libellule, Viens tout contre moi!
Rien encore ne vient troubler tes timidités. Ici-bas, la corruption fait rage et les pauvres âmes perdues crachent les venins de l’errance et de la luxure! Meute de loups enragés, assoiffés du nectar de la Toute – puissance. Ici-bas, les cœurs sans récompenses macèrent dans l’aigreur du désamour et de la trahison! Nul ne se souvient de la bonté et de la compassion.
Viens contre moi tendre inconnue, exquise libellule… Approche-toi, ta robe déjà voltige sous l’emprise de ma voix … Viens, tout le bonheur du monde respire entre mes lèvres! Rien de gai ici-bas que tu ne dois souffrir. Ma jouissance prend sa source à l’orée de ta chair! Moi le répudié de l’Eden, il n’est destin plus cruel que la damnation! De toi, je veux goûter le sang, aspirer ton fluide de vie,
Viens ma douce libellule, viens. Détaches toi des liens infâmes de l’apparence, ici-bas, des sourires ronces et des caresses perfides appellent ton innocence! Cède à ma douleur, vois mes sanglots et ma peine!
Être ou ne pas naître ? Telle est la question dans cet enfer sur Terre.
Sandrine Turquier
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Sermons de l’hypocrisie ecclésiastique, bénitiers mercantiles pour des prières falsifiées. L’assassin embrassera l’étreinte de Dieu, le tourmenté galochera le baiser de l’enfer. Les traumatismes sont-ils une institution en développement durable ici-bas ? Alors qu’elle s’offusque de l’innocence timide par cette âme ténébreuse, bien plus apeurée par la propagande des Soleils. Les serpents s’en iront dormir dans les voix apaisantes du Ciel, pendant que les colombes seront noircies par l’oxydation furieuse des caresses enflammées du royaume des ombres. Et Dieu chérira ses tueurs & ses traîtres sous l’éloge du clocher paroissial. Est-ce que l’ange de Feu est-il honnêtement l’ennemi absolu ou est-ce l’humain déguisé en prêtre qui a menti par omission pour servir les mensonges des églises ? Qu’est-ce que la vérité ici-bas ? Avec elle & en (H)elles… #666NuancesDeBraises #Gazhell #DeFeuxetdEncres
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