LOIN D’ELLES, PRES D’HELL (l’Enfer-Me-Ment)
7 août 2021 par vincent
Malheureusement à notre époque moderne.
Beaucoup de jeunes femmes ont une fascination à l’égard des « bad-boys » et elles ont la tendance facile à heurter, à broyer, à bousiller le cœur et l’âme des « mecs gentils » et la plupart du temps elles s’en amusent avec ivresse et elles aiment nous faire beaucoup de mal, elles nous blessent et après elles sont étonnées que les mecs bien deviennent des êtres grossier et d’une nouvelle perspective de « misogynie » « agressive » mais lorsque l’on a le cœur nécrosé, dévoré et lapidé sans vergogne par celles dont nous étions prêts à mourir pour les défendre contre les connards.
Personnellement j’étais un gentil garçon, un mec bien, toujours trop « friend-zoné » et jamais aimé par elles.
J’ai tellement été « engagé » dans le combat pour toutes qu’en réaction adversaire à mes congénères masculin qui me semblait être les ennemis de la cause des femmes. En répulsion, révulsé par l’outrance des gamins obsédés à l’école et en opposition avec mon propre père qui incarnait le misogyne et le pervers arrogant même. J’ai abîmé volontairement mon sexe et j’ai passé les 33 années de mon existence à rejeté, à haïr, à avoir honte, à cracher de la violence autodestructrice sur tout symbolisant l’amour charnel.
À l’époque avec mon incompréhension de ce monde, j’ai fait la maladresse et la mauvaise connexion dans mes neurones en associant « faire l’amour » et « tendresses érotiques, douceurs charnelles » avec une action de disgrâce envers les femmes. Je croyais que coucher avec elles c’était comme les « salir » comme si je devenais le même connard contre lesquels je me battais.
Lorsque j’ai vécu l’effroyable deuil de ma grand-mère et suite à la décennie de souffrances extrêmes qui vient de passer. Je n’avais pas dix options : soit je devenais sociopathe et froid parce que tout le romantisme que je ressentais pour certaines filles qui m’ont détruit sans sourciller un cil. Soit j’accepte d’ouvrir mon esprit à la sensualité et l’érotisme.
J’ai choisi de vivre et de ressentir (comme pour les autres humains normaux) de la tendresse et de la douceur des mains des femmes. Je souhaite vivre et connaître la beauté et la joie des émotions sensuelles, érotiques qu’on ressent dans les bras des femmes.
Malheureusement pour moi, j’ai été pris à parti et accusé par les femmes. Elles m’ont infligé énormément de cruauté. Elles m’ont infligé des mots si violents que j’ai décidé que je ne pouvais jamais au grand JAMAIS être une personne humaine.
Je n’ai jamais eu le bonheur de recevoir et percevoir la magnificence qu’on puisse ressentir dans les yeux, dans les bras d’une femme en faisant tendrement l’amour avec elles.
Elles m’ont dit :
« Si je te touche c’est un film d’horreur…. il faut être bourré pour t’apprécier…. tu es hideux, tu es laid, il n’y a pas de place pour les gens comme toi…. les gros ça ne baise pas…. puisque les filles refusent de te toucher va sucer des hommes…. les belles femmes sont pas pour les gros comme toi…. devient moine dans un couvent fermé » et pleins d’autres phrases violentes.
La vénalité ainsi que l’ambition, avec la folie de l’apparence obsessionnelle de perfection due aux télés réalités et la loi des réseaux sociaux TT
Tout ce micmac a corrompu et dénaturer le sens de l’humain.
Quant aux féministes kamikazes elles font énormément de tort à la cause qu’elles souhaitent défendre. Elles stigmatisent les mecs bien parce qu’elles ont besoin des connards, sinon elles n’ont plus de raison de motiver la haine qui les passionnent, elles n’ont plus de matière d’inspiration à hurler « mises à morts pour les zboobs innocents et les hommes hétérosexuels timides ».
J’aime de tout mon cœur les femmes et toute la noirceur blasphématoire que j’ai écrites et dites, elle vient de toute l’incompréhension avec elles, celles de mon époque. Une époque moderne où je suis perdu, égaré et effrayé.
Mais ma noirceur est également la conséquence de ce que j’ai découvert en voyant les nanas mentir et pavoiser de s’afficher avec des connards qui eux-mêmes ne se cachent plus pour revendiquer leurs misogynie agressives et leurs fierté de posséder leurs belles en laisse psychologique comme une vitrine, un trophée matérialiste vantant l’ego du « dominant » cabotin chef de meutes.
Alors j’ajouterai que la résilience de la branlette en solitaire n’est pas une solution absolue, c’est une survie dans l’enfer de cette guerre.
Rien ne remplace l’onctuosité réparatrice d’une caresse de femmes, ni même l’absolution salvatrice de toucher la peau féminine et de prendre la fille dans mes bras pour me sentir un peu plus comme un « humain ».
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