ADOPTE LES MAQUERAUX-NIKE$ (l’Enfer-Me-Ment)
26 août 2021 par vincent
Derrière l’affiche publicitaire 2021 de l’entreprise ‘AdopteunMec.com’, on voudrait faire croire que les époques sont révolues et que les féministes sont l’égal… Pure duperie, voire même une prodigieuse supercherie « nazillonne ».
En effet les femmes choisissent, mais dans l’esprit de cette institution de « Adopter un Mec », les féministes avouent et légitiment que l’amour, le droit d’être aimé, le droit d’être touché par la douceur et la sublissime délicatesse d’une femme, ces miracles d’humanisme ne sont possibles, accessibles, uniquement si l’homme en quête de romance (éternelle ou d’une nuit dans la couette) est en mesure de taxer la facturation, de rétribuer l’offre à la demande, accessible à ceux-là qui payent. D’où l’expression couramment répandue « paye ta chatte ».
Quelque part le message est : « tu veux être aimé ? Tu veux un mot d’amour, une caresse humaine et sensuelle avec elles ?… Alors il te faudra payer la facture ainsi que le coût de la prestation. En fonction de ton compte bancaire et de ton apparence, là tu pourras être autorisé à être aimé, à être effleuré… ». Dans un consortium où la clientèle est reine. Dans une ritournelle où l’humain se définit par les objets qu’il achète, les produits qu’il consomme, le style de vie qu’il affiche à la vue de tous, le nombre de zéro qu’il possède sur son compte en banque, ainsi que la multiplication des diverses cartes de crédit aux mille couleurs.
Quelque part le message que les féministes renvoient envers tous ces siècles de calomnie et d’injustices que la société a infligés aux femmes. Tous ces actes ignobles que des hommes ont fait subir aux femmes, au nom sacro-saint de la religion et de l’état. Toutes les épreuves et les douleurs pour lesquelles de nombreuses femmes se sont battues pour être entendues et acceptées comme égales en droit, égales en humanité. Ce pourquoi je me suis battu, au nom de ma maman et de ma grand-mère, ainsi qu’au détriment de la relation paternelle dont mon père m’a fait payer la souffrance à l’état pur. Et ce combat qui était le mien pour elles. Ce combat que j’ai enchaîné pour elles, au point de me bousiller la verge et de détruire toute possibilité pour moi de connaître la grâce rédemptrice d’une jolie relation sensuelle avec une belle.
Il n’y a pas que les travailleuses du sexe qui subissent l’atrocité de la prostitution. Nous sommes quelques-uns à en souffrir. Et pour ma part c’est une douleur trop violente, trop ignoble, trop irrespirable, d’être condamné à chercher de la douceur tactile, d’une tendre caresse, d’un contact de peau à peau, d’une chaleur féminine, de la sensation exquise lorsqu’elle vous embrasse… Une immense souffrance d’être condamné à payer et de ne vivre que des heures segmentées, restreintes, où le regard de la partenaire est faux. Où l’instant ne ressemble qu’à un zapping télé, télécommande chronométrée. Loin d’elles, près d’HELL.
Le message que les féministes renvoie c’est : « prostituez vos vagins aux plus offrants, tarifez votre beauté et votre jeunesse à ceux-là qui payent. N’aimez jamais et haïssez les gentils garçons, ils ne sont que des bites sans valeur et sans argent, ils n’apportent rien au monde ni au bon fonctionnement de la société. Ils sont coupables !!! (Coupables de ressentir un profond désir pour elles, toutes. Désir d’aimer, désir de sensualité, désir de ressentir et de s’émerveiller à la vue d’une belle. En un ultime mot : COUPABLE d’être des bites masculines hétérosexuelles & existentielles) Vous devrez crever les bites, les exécuter et surtout châtier et condamner les bites hétéros qui ont l’offense, l’outrage d’aimer une belle pour la sacro-sainte gloire de MeToo ». Ainsi que des Marlene Schiappa, Rose McGowan, Scarlett Johanson, les féministes tapinent des farfelus politiques afin que les publicités soient la mise à jour, « RESET », du mental humain. Incitation à ce que les miséreuses bites non rentables soient contraintes d’aller en night-club gay pour trouver un moment de douceur féminine dans une violente et sordide sodomie crade d’une bande d’homosexuels sous acides & Chemsex.
Désormais l’éducation nationale enseigne aux tous petits que les sexes doivent être les mêmes dans les rapports. Un enfant se conçoit dans la passion de deux êtres, un homme et une femme. C’est dans la nature humaine depuis des millénaires. Ce n’est pas en revendant des enfants (pour la plupart orphelins) sur Amazon, ou sur catalogues pour les gays friqués en manque d’amusement pseudo parental, s’ennuyant entre deux gangs-bangs crasseux de boites à partouzes homosexuelles. Évolutions Darwinienne soi-disant, selon EUX.
Visons progressistes, selon EUX…
L’image que renvoie ‘AdopteunMec.com’ c’est également la contradiction avec le discours des féministes à savoir « nous ne sommes pas des objets sexuels, nous ne sommes pas des salopes à vendre »… Mais pourtant l’affiche indique que pour l’aimer il faut payer pour la consommer… CQFD non ??!!!…
Et cependant, dans les commerces de fringues fashionista, dans les magasins de luxe, vous observerez que les managers engagent des jolies vendeuses dans la stratégie que la beauté de la jouvencelle pousse l’érection psychologique à faire rentrer l’éventuel client (une vilaine bite hétérosexuelle) dans le magasin. La vendeuse batifolera virtuellement par des sourires et des fadaises verbales dans l’objectif de séduire psychiquement l’égo vantard de la bite hétéro (le client) afin que ce dernier, bien crédule, prêt à être mis dans ses filets d’argumentations publicitaires, la jolie vendeuse vendra un vêtement cher et inutile à la bite client, lui bien content que la belle ait flatté son orgueil et caressé dans le sens du poil sa vanité machiste de trimard stéréotypé. La bite a payé une merde dont il n’a absolument pas besoin, mais la vendeuse a bien travaillé son alphabet du mensonge et de l’hypocrisie, elle a parfaitement maîtrisé, orchestré, interprété de sa beauté et de ses charmes redoutables pour faire illusion qu’elle est elle-même un pion, un pion que des PDG masculins (des p’tites bites friquées capitalistes, très machistes, suprématistes, aryanisées) utilise pour faire fructifier leurs business.
La jolie vendeuse croit que sa beauté est une force, une arme, mais en vrai elle fait d’elle l’esclave d’un système facho, macho et trop boulimique de pognon. La vendeuse est la catin du patron de magasin, elle est la catin des clients friqués (les bites Gogols qui zappent et matent des merdes la cervelle lessivée par France 2 & Macron), les CON$-SOMMATEUR$ !!!
Les jeunes femmes sont encore exploitées, utilisées, manipulées, conditionnées, « marchandées » aux plus offrants des bites, donc mesdemoiselles sans le savoir vous êtes quand même des prostituées… Sauf que la société vous fait croire que vous n’en êtes pas…
Alors très chères déesses attrayantes, très chères jouvencelles de l’excellence, lorsque vous utilisez votre charismatique élégance et l’ivresse de votre fraîcheur envoûtante, auxquelles nous pauvres diables ne pouvons résister. Lorsque vous marchandez votre beauté pour vous faire offrir les joies matérialistes et autres consommations, ne vous attristez pas d’être prises pour des « distractions », des « attractions », et en plus vous les partagez avec des brutes stupides, stéréotypés qui n’ont rien d’autre comme idée que de vous « violenter », de vous « secouer », de vous « consommer » comme les analphabètes arrogants qu’ils sont. Puis après ils vous « jettent » froidement comme des malpropres. Ils ne savent rien faire autre que d’être des CON$-SOMMATEUR$. Très chères jouvencelles, vous méritez mieux qu’eux. Vous méritez mieux que les dirigeants commerciaux qui ne veulent que vous utiliser comme arguments de vente pour écouler leurs stocks de merdes commerciales inutiles.
« Ici-bas j’ai tellement été sous l’asphyxie d’une survie sans vie que la perspective de l’enfer en est devenue une issue favorable au bonheur, une vertu à l’état de grâce. »