Ha$htag CON-F€$$€$
10 nov 2022 par vincent
Le temps est jonché d’armes, il est inondé par le sang. Le temps est l’époux du vertige. L’horloge consomme le néant et le néant consume le temps.
Le temps est l’amant de la violence incessante, le temps est l’indécent, il soulignera ses traces avec notre sang. Belphégor, le temps s’annonce comme une belle fée gore.
« Enfants du chaos et des ivresses, l’étreinte de la fin embrase les cendriers aux frais brasiers. Elle gifle l’ardeur de la décrépitude d’une foulée de siècles obsolescents. Enfants des abysses, solstices de l’apocalypse, la poudrière enlace l’amertume de nombreuses prières. Les blasphèmes sont de fougueux manifestes exprimés par les ombres oubliées d’en-bas ».
« Les religions reniflent la trouille tyrannique lorsque les transgressions épèlent nos prières paranoïaques ainsi que nos affres des désirs. Les hyènes sont sacralisées par le sceau des Godefroy « messianiques », mais les Jacquards technocrates anoblissent l’asservissement aux tartufferies des « Judas ». La gaudriole évasive des monarques n’a de cesse que d’uriner sur la splendeur des dahlias ».
« Soutanes écarlates, soutanes acariâtres. Gourous d’ânes, âmes corrompues par d’avilissantes courtisanes, lesquelles n’ont de grâce qu’envers des ânes ».
« Amères sont les mêmes enfers, machiavel sont les mêmes femelles. L’humain est un vilain refrain, un quatrain malsain. Les Cieux n’appartiennent qu’à Eux, moi je ne suis rien de moins qu’un miséreux, et les miséreux ne sont pas les bienvenus chez Eux. Amer est ce soupir, mon soupir. Amers sont ces désirs, mes embrasant désirs, des désirs qu’ils ont plongés dans l’éther. L’Éden n’est que pour Eux, ce divin jardin parfumé, pervertit, travesti en gazons maudits. Un jardin brûlé, consumé, défragmenté. Un paradis éternel qui n’est offert qu’à Eux. En bas je reçois leurs crachats pendant qu’ils festoient allègrement là-haut et ici-bas, moi, je me dévisage, j’enrage, tournant en cercles dans cette cage. Je ne suis que ce sale gueux, je n’ai de vertu qu’à me qualifier d’honteux. Disqualifié de ceux qu’ils ont jugés d’élogieux. L’amer se conjugue dans l’amertume, je ne suis qu’une éphémère écume. L’humain n’est qu’une rime de versets malsains, Dieu m’en est témoin, je n’en suis pas un, je n’en ai jamais été un ».
« L’ecclésiaste inquisiteur n’est qu’un emmerdeur accusateur. Pinailleur masturbatoire de la dernière heure, véritable usurpateur spirituel. Ces blasphémateurs de la première heure ont la Führer de vivre. L’ecclésiaste accusateur exhibe de pauvres « laid’heure ». En bon branle-heure inquisiteur, le prédicateur prédateur crame à tout-va se dédouanant par divers prêchi-prêcha, alléluia. Sinistre dilueur de venins inquisiteurs, le prêcheur aura pour objectif d’égayer via d’échos l’égo de son misérable quart d’heure ». (Hommage à Diane De Poitiers, ainsi qu’à toutes celles dont l’horloge fut sèchement éteinte).
« Salem n’a pas résolu son dilemme, bien au contraire. Salem n’a fait que rugir l’ecclésiastique blasphème, l’hérésie s’y communie au sein du requiem, la flemme y est un flegme ».
« Enfants de l’abîme, enfants du chaos. Préludes à l’ivresse, joujoux des gonzesses. Annexe d’un Karma désabusé, dévergondé à l’excès, perverti et travesti à la guise de leurs églises. Les damnés sont les éternels refusés, les faciles prostituées stigmatisées, les proies lâchées à vos putains démocratisées ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« La nuit est l’exquise promesse d’embrasser la merveilleuse chatte jouvencélique, celle dont l’esquisse caresse mes plus beaux songes hypnotiques, celle à l’érotisme absolu. La journée est l’exècre prostituée, elle est l’offense au moindre « À-venir ». Je suis feu je suis haine, ils sont creux et ils dégueulassent mes verveines. J’ai trop d’éther-niqué intoxiquant, nécrosant l’intérieur de mes veines. La lumière est un vacarme d’âmes calcinées dans un baiser de furieux brasiers. La nuit pactise, elle expire, la journée diabolise, elle inspire. L’éclipse paralyse, l’apocalypse révèle la traîtrise ».
« Les empires ont été asphyxiés par l’avarice de goules avides, les empires ont été empoisonnés, les seigneurs vampires furent détrônés par la fourberie de goules perfides. La Transylvanie fane dans la putréfaction des flatulences hypocrites. L’orage gronde l’insolent outrage, camouflet d’irrévérents-cieux freluquets, aussi grégaires que venimeux ».
« Chaque ombre cherche à accumuler de l’abonné uniforme et « uniformisé », conditionné au conditionnement imposé sans conditionnel. Conforme à l’unique religion visible, un dogme obligatoire, le seul qu’on entend, le seul qu’on diffuse, le seul qu’on transfuse dans l’oratoire. Malheur aux miséreux gueux, des Jacquouilles contestataires, blasphématoires complôtistes ».
« Je suis un incendie engourdi, je suis un feu sanglé dans l’insomnie et la calomnie. Je suis une flamme qui brûle dans le vide, j’appelle la vie à revenir. Je suis une larme qui s’égosille dans la nuit. Je suis une âme qu’on a modelée en arme, je ne suis rien d’autre qu’un cadavre aux drames qu’on n’a cessé d’étouffer pour ne pas ébruiter la monstruosité de leurs actes. Je ne suis que la statistique négligée des successifs diktats écoulés, au long des degrés de Père-version déglinguée. J’attire l’excès, j’aguiche la caresse de la violence. Je canalise l’horreur, j’emmagasine l’hérésie ambulatoire, je collectionne les cicatrices de « la blasphémie » dînatoire. J’aime éjaculer toute l’intensité du feu vengeur, celui-là qui festoie agressivement en mes entrailles. J’aime encrasser leurs visages immaculés de snobisme écervelé ».
« Lorsque la famine ronge le rationnel, lorsque la nuit est la victime des caprices insensés de la journée. La colère devient la plus belle, la plus exquise, la plus onctueuse de toutes les prières. Quand le ciel fait la sourde oreille à nos misères, quand le ciel renvoie à terre la supplication désespérée dans nos chapelets. Alors plus savoureuse est cette colère en échange des prières qu’on nous a bafouées, sans une once de remord. Parfois la colère devient la seule alternative à n’importe quelle autre forme de prière. La misère a dévissé notre raison pour y instaurer, calfeutrer, la déraison incontrôlée mais belle et bien jouissive ».
« L’enfer est ce parfum témoignant de nos faiblesses, l’immortalité est ce lien qui nous retient à l’incarcération, l’éternité n’est faite que d’émerveillement furtif lorsque les fleurs sont en éclosion jusqu’à ce que l’amère déception nous submerge lorsque le jardin est finalement jonché de floraisons fanées. La croix de l’exorciste fait office de bonne conscience face à la férocité, la barbarie de l’église. La croix de l’exorciste est un bon larron pour excuser qu’on nous transfuse un violent poison nécrosif et après nous chasser comme des malpropres en scandant que la malédiction de Dieu est sur nos âmes. L’enfer est le parfum des faiblesses, l’Éden est l’orfèvrerie de leurs bassesses. Vivre ou survivre ?! ».
« La mésange chante vertueusement le désenchantement, la mésange ne fredonnera que de sombres louanges à toutes les misandres, celles-là mêmes qui ont l’ivresse d’uriner un amas de cendres et de méandres. L’église de la mésange accueille toutes les misandres dans sa paroisse, chaque misandre y chante louanges à la mort afin d’y bénir la venimeuse parabole ecclésias-trique de la mésange. Chaque misandre est trop occupée à parfaitement tisser sa toile, telle la virtuelle tarentule, dans l’évangile effrayant, effarant, de la mésange ».
« Errer à travers la nuit, errer et dévisager un millier de nuits. Oublier l’empressement du temps, oublier l’intransigeance des mœurs à la face versatile, capable de trahir et condamner ce dont elles étaient mordicus convaincues. La décadence ouvre les portes à la déchéance, la déliquescence retranscrit comment la raison est désormais une déraison pathogène. Je suis l’amant de l’indécent, je suis l’horreur d’une faim des temps ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Rue de Verdun, tranchée de l’excès, tranchée du chaos. Là où sont fines fleurs vaginales bouillonnantes de vénales exigences. Là où jonquilles intimes riment. Elles, précieuses capricieuses aux parfums éphémères d’innocences monnayables et monnayées. Ces roses gardées entrecroisent quelques ombres desséchées dans la glaciale misère, précarité disciplinaire dont l’aigreur ainsi que l’ardeur y déversent une saveur autoritaire ».
« Marcher par-delà ces mille labyrinthes, incalculables, incontrôlables. S’égarer puis s’abandonner à la vocifération infernale, résonnance brûlante, bouillante d’une prêtrise soumise à leurs traîtrises. Virulents poisons nécrosifs à la demande, à l’échéance. Des traîtres attentifs aux prêtres, lesquels garantissent la caresse de la somptueuse prêtresse. Une douce magnificence, une divine charnelle indolence. Charmante amante tarifée. La caresse de la prêtresse contre la promesse de vous vendre corps et âme à leurs dégénérescence ».
« Marchander avec ces marchands d’âges, marchander la marchandise. Âmes coupables, âmes d’un idéal idéalisé. Une jeunesse qui s’enracine à sa décadence, une jeunesse qui pactise avec ses hantises, une jeunesse qui cherche à fuir son obsolescence ».
« Tutoyer avec aisance et nonchalance la froideur, l’ardeur frénétique des gifles. La simplicité de résoudre les énigmes dans un infernal labyrinthe aux éternels enfers. Pourtant la difficulté, la dure complexité de parvenir à décrypter les codex d’elles. Ne pas comprendre ce qui semble être invisible. Savoir marcher comme un grand sur plusieurs brasiers déchaînés et cependant ignorer la notice pour bien plaire à ces belles. Les ailes ne volent pas à proximité d’HELL. Croix de bois et croix en fer ».
« S’égarer dans la confusion lorsqu’il s’agit d’entamer une conversation avec des caresses. Être ignare lorsqu’il s’agit de bienveillance. Être analphabète en douceur, en harmonieuse paix avec soi-même. Ne parler qu’un langage de violence et de feu(XXX). Les flammes sont une institution, les femmes en sont la perversion. Croix de bois et croix en guerres ».
« La poussière d’ange étiole quelques auréoles, elle isole la trimarderie d’une farandole de Gogols. La malédiction devient un dicton, définition résonnant comme une accusation, laquelle prendra possession d’un sablier incompressible. Un implacable sablier pleurant chaque cendre des trépassés. Des sacrifiés tous immolés après avoir été défénestrés par l’idéal du tribunal, Graal d’un sociétaire cendrier composé de milliers d’oubliés ».
« Tenanciers de la perdition, bradeurs de sensations, Thénardier désaxé. Ici-bas, dans cette foire carcérale, prison de l’infernal, là-bas tout en bas, les trahisons s’habillent à la perfection. Des sous-doués soudoyés, sollicités à faire puis défaire tout et son contraire. Construire, déconstruire, bâtir, rebâtir, à l’endroit puis à l’envers. Déviances et dégénérescences ».
« Fourmilière abstraite, elle n’a guère d’autre voix qu’à se taire. Ombres prolétaires, gestes barrières funéraires. Fourmilière cadrée, cervelles lessivées, la fourmilière écervelée en rangs disciplinaires obéit aux plus absurdes prières, divers caprices totalitaires à tort et à travers. Confinés par des ‘Cons-Finement’. La Fourmilière qui déjà marche à l’envers est sommée de buzzer, Tweeter à donf l’éclate génocidaire (génocides-ères). Calcinée, reprogrammée, la fourmilière délaissée doit maintenir la muselière, s’infester au sein de la chair sous l’exigence sanitaire déguisé en « Gouverne-Ment » tortionnaire, lequel se prend pour « Buzz l’Eclair ». Quitte à subir l’apocalypse, pourquoi ne pas institutionnaliser voire déifier pour mieux refourguer à coups de billets la sombre pisse qui pue et qui gise aux fond des abysses ? Idéocratie d’idiots sommés de manger les miettes par terre. Illusoire monastère, despotiques presbytères, kermesses gorgées d’éther. Cloîtré dans ma chair, emmuré par ma douleur, sanglé dans l’antichambre des pervers, les ténèbres résonnent comme un virulent tonnerre ».
« Autrefois on craignait tous la foudre du reichstag rugissant. Désormais il y a un déferlent vomissement de hashtag ahurissants, voire aliénants (cons-sommations) ».
« Arcs en ciel défigurés, obéissance dénaturée. Croix de bois déguisées en croix de fer facturées. Mœurs imposés. Société structurée dans une défenestration cadencée, folie groupée tyrannique d’une démocratie désaxée. Hérésie à souhait. Pas de joie, pas de voie, aucune voix. Va-t’en parce qu’il n’a aucune place à toi. Barre-toi, le ciel ne t’aime pas ».
« La perversion des émotions entache la clarté de toutes journées… Ils n’arrêtent pas de rimer « funèbres » avec ténèbres… Quand pourrions-nous ne plus conjuguer femmes & charmes par drames & flammes ?… Avoir des peurs ou certaines frayeurs c’est avoir un œil tourné vers la lueur. (Laids Nor-MAUX) ».
« À la croisée de l’horreur, carrefour des enfers, pissotières de divers univers. Où se chamaillent trimards, zonards. Ici-bas je ne suis que l’en-cas, ici-bas c’est le sacre d’une père-version, c’est l’éloge d’une génération « génocides-ères ». Cramez ma raison jusqu’à foison, mes blessures sont ma signature, la meurtrissure est au cœur de ma nature, la brûlure est l’essence même de mon écriture ».
« Oyé Oyé trimards et gentes pouffes trimardes. Nous sommes vos Jacquouilles et non des fripouilles. En revanche vous qui pensez à tort être des Godefroy parce que vous tyrannisez les Montmirail, vous qui pensez être à la même échelle des « Berney&Berney », parce que vous buvez des tisanes tarifées dans leurs backrooms VIP, abonnements à l’année. Vous n’êtes rien de plus que des Jacquards. Vous êtes un trait d’union entre le minable et le misérable. La traîtrise est votre prêtrise ».
« Rue de Verdun, là où les démences d’âmes désabusées s’entremêlent avec l’apollon bien alcoolisé par son « Game ». Le miroir des narcisses bluffe & marchande la fraîche floraison de quelques « vulnérables » vulves. L’apocalypse embrasse l’hérésie des éclipses, le déclin enlace la morosité des ivresses ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Ivresse puérile, jeunesse débile.
L’excès s’invite encore. Lascivement les flammes d’un désenchantement caressent régulièrement mon âme.
Pendant que la gangrène humaine savoure la douceur d’une belle chatte.
Pendant que l’Éternel absout leurs caprices…
Cette nuit était un somptueux banquet de péchés. Un Graal de chaos cauchemardesque. L’enivrant parfum, l’envoutante senteur de mal.
L’ivresse autodestructrice, l’orgie sordide incendiaire de désirs suicidaires. L’onctuosité culinaire de damnations à la vie, un feu purificateur contre un feu destructeur. Traquer le goût amer du châtiment plutôt que l’horreur hérétique des sentiments.
Je vois au loin d’elles la lueur du Seigneur…
Elle me murmure que je suis l’erreur. L’erreur du Seigneur. Le parjure de sa conjecture.
Oh oui Dieu TOUT-PUISSANT…
Cette nuit Dieu fût mon dealer. Il m’approvisionna de douleurs et de cataclysme. L’Éden ria de tout cœur avec ce Seigneur tout-puissant. Dieu est mon dealer.
Il jeta le chaos sur la table et j’en ai sniffé mille traces. Puis avec un briquet je m’suis envoyé un shoot de « BLASPHÈMES » pur dans les veines.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Des TDS prétentieuses, des TDS capricieuses. Des TDS rabatteuses, des TDS calomnieuses.
Des âmes vénales qui s’enjaillent planquées derrière cet écran virtuel. Des âmes qui blâment d’autres cœurs cabossés, bousillés sans une once d’un regret.
Elles aiment l’orgasme lorsqu’il assassine ces garçons-là qui subissent une cruelle famine, celle qui élimine les désargentés, peu importe si le tourmenté est apeuré, ces furies nazillonnes n’en ont rien à secouer du moment que tu gicle la monnaie, sensualité facturée.
Les TDS n’obéissent qu’à l’art-gent, les TDS jouissent si elles ont aiguisé le poignard pour la gratuité d’un crime, cachées derrière le déloyal smartphone virtuel.
Tues de l’hétérosexuel et fait ta belle.
Des écervelées qui prétendent exercer un « métier » alors qu’elles ne font qu’accumuler de l’abonné à balle frustré, lui-même déjà prêt à se flinguer, prêt pour se fumer, se sentant oublié et méprisé il est prêt à se suicider bien discret. Garçonnet damné, garçonnet abstrait.
Courtisanes flemmardes, artisanes trimardes, la haine gravée dans vos veines.
Jouvencelles virtuelles, amazone Ikea déloyales, cyprinez sur nos bûchers, cyprinez bien car vous qui vous revendiquez « TDS », vous, vous êtes les ouvrières de nos T.S.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Mon ENFER c’est leur Paradis à EUX. Ma désespérance est alimentée par leurs espérances. Leurs cruautés n’ont d’égal que leur « pureté » dominicale.
Mon enfer, préliminaire d’un chaos lascif. Mon père, rosaire d’un beau salaud abusif.
La déraison, la décadence, la sacralisation de toutes déviances, éloges de la dégénérescence, trafic d’influences, marché de la décadence.
Inquisition des émotions, jugement, châtiment des sentiments. Parjure
Caresser divers excès puisque l’excès devient une caresse, la brûlure en est parvenue à une promesse. Traqué par les désirs, persécution de l’espérance, chimérique parfum d’existence.
Hantise de la douleur, écrasée par l’asphyxiante douceur imperceptible. Le temps est silencieux mais les rêves sont génocides. Un vacarme ahurissant d’âmes scarifiées, un insolent brouhaha rugissant de cicatrices cauchemardesques jetées en pâture au lion le plus offrant.
La douleur de l’enfer parfume la douceur du Ciel. Caresses glaciales d’Éden, ivresse infernale d’un horrifique carnaval aux cannibales. Suis-je l’erreur ? Suis-je l’horreur ?!…
Hérétique devint l’erreur, pornographique devient l’horreur.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Omettre l’éther, j’oublie tout, j’oublie la calomnie, j’oublie l’absence d’existence, j’oublie la ritournelle théologique d’un calice sans vie mais bien ivre de vices. Omettre l’éther, j’efface les traces du précipice, j’efface les affres de mes sévices, j’enlace le danger de l’apocalypse, les solstices ne paraissent plus l’angoisse, l’oppression d’aller aux supplices.
Lorsque l’éther n’est pas de la fête, l’espace et le temps s’éveillent, l’immortalité traverse une déferlante, un océan d’air pur, un tsunami de sens, les pupilles se ravivent, les papilles s’activent de nouveau. Loin de l’asile, loin, loin derrière cette prêtrise qui nous diabolise.
Approcher ces flammes qui nous électrisent. Loin derrière ces suppositoires de suppôts notoires, dans une éternité où nous sommes un symbole d’anges-heureux.
Omettre l’éther, j’oublie l’asphyxie, j’oublie tous ces parjures de la vie. Décliner nos éclipses.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Vaginal est mon Graal, vaginal est mon ciel, glacial en est l’Éden. Perdre la raison, tourner de la tête, ivresses vaginales au cœur de la fête. Vaginal est mon Graal, vaginale est mon blâme. La douleur m’enlace, leurs douceurs à l’état de grâce qui m’efface. Excali’Burnes ».
« Fraîche rose envoûtante, ta beauté ainsi que l’innocence apparente enivre chacun de mes sens jusqu’à frôler l’indécence. Fraîche rose parfumée, ta vertu de circonstance est un vacarme dans la quintessence aux mille plaisirs oniriques. Ta vertueuse innocence de circonstance ferait pâlir un milliard de désirs, embrasant tous mes cierges d’élixirs. Et voilà que tes cavaliers sont des stratagèmes de barbaries pornographiques, ces rustres analphabètes arrogants n’auront qu’un seul objectif, celui de butiner sauvagement ta douce intimité. Ta pudeur nargue avec insolence mon malheur. Je rêvais tant de respirer l’onctuosité parfumée, la douceur de ta petite « fleur ». Serait-il possible qu’à la place de nous tutoyer, pourrions-nous se vulvoyer ?… Juste elles et moi ?… ‘Vulvoyons-nous’ chères jouvencelles de l’excellence ».
« Observer celle qu’on aime du plus profond de son être et voir qu’elle s’émerveille dans les bras d’un autre. Comprendre qu’elle se fiche éperdument de mon cœur qui verse quelques larmes amères. Mon âme pleure pour elle, le monde peut-être à la fête, tout peut basculer dans un brasier apocalyptique, cela m’est égal parce que je l’aime « Elle ». Parmi ce bal incandescent, dans les cendres de ce carnaval abyssal, mon cœur danse avec insolence dans mes pleurs encore et toujours pour elle. Elle pour qui je ne suis que poussière et néant dérisoire ».
« Fleurs tentatrices, de vous voir j’en esquisse suprêmes délices. Fleurs accusatrices, ma « laid’heure » m’en inflige d’extrêmes supplices. Fleurs tentatrices, jolies déesses à l’émerveillement des sens, vertigineuses onirismes du sexe. Quintessence de l’indécence. Fraîches rosées de mes désirs, embrasant plaisirs de l’offense. Fleurs inquisitrices, ma « laid’heure » érige mes cicatrices, ma lourdeur enivre mon impulsive dérive ».
« Jouvencelles réelles, votre parfum est à l’état de grâce des saveurs intemporelles que sont les jonquilles de l’Éternel. Lys vaginales, vertigineux nectar aphrodisiaque. Olympe de l’inconditionnel émerveillement éphémère. Le sablier s’embrase, l’horloge s’enflamme à l’extase, l’esquisse exquise de caresser votre peau. Dans un crayonné sensuel, tisser les traits attrayants de vos courbes charnelles. Charmantes amantes de l’universel, demoiselles de la nuit virtuelle. Le songe hypnotique, névrotique, m’enlace et la démence m’embrasse. Ici-bas le souffre m’écrase, la réalité me castre. L’unique porte accessible s’ouvre sur la vitrine d’annonces sordides. Amère, mortifère, régulière. L’existence se prolonge, elle s’allonge dans des draps de braise aux pastels de sang. Innocent ou dément ? Révoltant certainement ».
« Quelle est la différence entre la princesse et une déesse ? La princesse sera odieuse et capricieuse, la déesse, elle, elle sera radieuse et talentueuse. Quelle est la quintessence ? La princesse est traîtresse, la déesse est prêtresse, les déesses du sexe incarnent le symbole du désir, elles sont les icônes du plaisir. Quelle est la référence, la révérence ? Si la princesse est une garce finie, la déesse est d’une grâce infinie. La princesse travaillera aux crasseux « Dallas » alors que la déesse sera vénérée dans de somptueux palaces ».
« Branle-toi sans elles, sans ailes tu n’es qu’HELL. Les voix infernales des enfers hurlèrent à l’envers tout en bas. « Laid’heure » à tire larigot autour de vos verres, blessures d’effets mers et beautés éphémères. Branle-toi sans joie, sans émoi, sans elles, Dieu ne t’accordera pas d’ailes, les Cieux ne t’offriront qu’HELL. Ici-bas c’est l’univers à l’envers. Contre-sens, décadences jusqu’à la dégénérescence. Et même si dans désirs sensuels j’y écris ‘elles’, même si dans plaisirs charnels je pense à sa chair mais je pense à ‘elles’. L’horreur me crache chaque jour sa fureur et ses glaires. J’écris l’enfer à travers mes vers. Pour moi chaque jour est un hiver sévère sous des nuages totalitaires, caressant les gifles de ces brasiers ‘ensoleillés’ ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Pauline, douce morphine. Pauline, trop belle sanguine.
Elle est celle pour laquelle j’ai combattu l’orage et les brasiers de l’Alhambresque. Elle a refusé de considérer mes sentiments comme n’importe quel prétendant ‘humanoïde’.
Je n’étais pas le barman BG à la coupe millimétrée.
Elle est la première fille dont je suis tombé follement amoureux, celle où je vivais à travers l’amour de ses yeux et l’irrépressible envie sulfureuse d’une passion « charn’elle ».
Désir envoûtant de son corps, désir sexuel, plaisirs sensuels à toucher ses courbes, sa peau et sa douce silhouette. Ode à l’onirisme parfumé des Cieux. J’en suis mort un million de fois.
Pauline, Fantasme irrésistible. Pauline, chimère incompressible.
Je survis, je vivrai sans elle. C’est un enfer de l’oublier. Tendre, chère Pauline Schhhhhhh…
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Je caresse sensuellement ses cuisses et j’enlace langoureusement ses fesses, oh Dieu que mon existence missionnaire est faite de purs délices.
Mais qui suis-je ? Nouvel indice ?
J’embrasse avec délicatesse sa peau lisse, j’habille ses seins avec finesse et je hisse son décolleté avec prouesse. Mais qui suis-je ? Encore un indice ?
Je me prélasse sur ses jambes, j’étreins avec allégeance ses hanches et j’embrasse la cambrure si douce de son dos si fragile, je suis l’éternel complice, ce sensuel partenaire qui s’immisce et se glisse, confesseur intime de ses confidences.
Dans l’intimité je suis toute ouïe, j’exerce et je confesse ses sentiments profonds avec grande délicatesse de l’Aube jusqu’au solstice. Mais qui suis-je ? Quelle importance car elle et moi ne faisons qu’un lorsque le soleil éclate et que la journée resplendit.
Je suis un vêtement, un soutien-gorge, un bas-résille, une culotte.
Je suis un textile aux parfums envoûtants de fémininité sensuelle française qui aguiche, voire enivre les narines de ce narrateur timide.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Somptueuse et sublime déesse. Désirs, érotisme, tu en es ma poétesse. Sulfureuse hôtesse, rose parfumée à la quintessence de mes ivresses. À tes seins et à tes fesses je m’y confesse dans la plus belle allégresse. Dans mes rêves les plus intimes, tu y es la plus douce promesse. Attrayante jouvencelle, charmante tourterelle, messe aux enivrants supplices. Délice de mon Ciel, tu en es l’amante qui y enflamme mes plus jolis caprices. Traverser les enfers de mille charmes, zigzaguant l’Éden aux mille femmes ».
« Elles dansent, tendrement, elle a des fesses qui dansent avec nonchalance, elle a des fesses qui groove avec insolence. Délicieusement, sous l’esquisse abondante de ses douces lèvres. Elle a la langue qui valse avec délicatesse dans ma bouche. Lentement, elle tangue de sa délicate langue, en harmonie symphonique avec ma langue, elle dicte la cadence en conjugaison sensuelle et sensorielle avec ma langue. Elle avec moi-même, nous avons nos deux langues qui vacillent dans l’irrévérence, j’aime m’y épanouir, évanoui dans ses plaisirs des sens… Elle, aile… Elles, ailes… Vivre d’ailes avec elles… Avec elle et en elles ».
« Douce amante, tendre soleil levant, ‘Matin Transylvanien’. Attrayante libertine. Désirable cabotine dont le sex-appeal est un gourmet, onirisme à l’originel. Elle est l’esquisse d’une exquise, elle s’érige dans la saveur parfumée de chaque jonquille. Sensuelle immortelle, charmante inconditionnelle. La caresse de cette belle jouvencelle est mon Ciel, un puissant calmant tel un onctueux caramel. Par-delà son regard à l’état de grâce, toi désirable gazelle de l’infidèle, toi prêtresse de mille rebelles, à travers ton émoi vaginal, tu es mon Graal ».
« Je cherche l’amour de Dieu, derrière les yeux d’elles. Je n’ai que le crachat des Cieux, les glaires des Dieux. Là où derrière ces frontières il n’y a pas d’ailes, seulement ‘HELL’ ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
La haine me dévore les veines, accumulation de rages, overdose d’injustices. J’ai le feu inquisiteur au bord des lèvres, une fureur incendiaire qui ronge mon attention, elle brûle mes pulsions et mes impulsions.
Comme toutes addictions, comme tous toxicomanes ou vieilles bigotes intégristes, il me faut ma dose, mon shoot, mon fixe, cette endorphine, intime morphine du plaisir.
Chaque nuit j’erre et vaque, je zigzague et je traînaille, j’ai le manque lacérant mes entrailles. Je me frotte à l’excès, à la violence, au chaos dans l’ivresse de libérer cette virulence qui me dévaste, l’addiction d’éjaculer ma fureur et mon incendiaire vengeance. Quelque part je vadrouille aux putes, comme dans un bordel je traque la haine, la testostérone dans mes narines. Je tapine la vermine pour jouir de l’haïr, endorphine et morphine du plaisir.
Le sentiment d’insécurité est palpable à fleur de peau, à fleur d’âme, une âme si vive écorchée.
Trop de tourments emmêlés de passions toutes désordonnées, surdosage de désenchantements, de châtiments. J’ai un besoin viscéral d’aboyer, ce féroce dragon vengeur qui désire faire sa promenade d’une heure. Un p’tit shoot de provocation, un fixe de blasphèmes incendiaires, mon héroïne de vengeance et de contre injustice.
Je ne peux pas jouir, je n’ai su que haïr.
Mais j’aimerais tellement jouir avec elles, écrire et déployer mes ailes. Faire pâlir mes adversaires et faire taire mes contestataires. Faire du zèle pour mieux m’éloigner d’HELL.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
La violence qui anime mes pensées, ma raison, tous ces excès qui me démangent.
Cette violence est davantage une virulence, un moyen d’expression pour illustrer l’autre violence, celle des carences, celle des absences.
Une virulence qui hurle cette non-existence. La violence de l’excès, la vengeance par la crise colérique. La violence contre l’autre violence, par exemple la violence des mots d’un père absent, tout juste présent quand il fallait me détruire.
La virulence comme substitution pour apaiser la cruelle séquestration qu’est l’absence de caresses d’elles. La violence comme shoot d’héroïne pour masquer le cataclysme de l’errance solitaire, sans réponse à toutes mes questions, sans réponse à mes angoisses.
La violence comme seul apprentissage des émotions, la vengeance comme unique enseignement de l’existence, une immortalité glacée faite de coups et de négligence.
La violence comme exutoire et comme répertoire. La violence des pucelles d’amour.
Être plus habitué à vociférer la haine au lieu de subir les rengaines, au lieu de périr à survivre sans âme, sans droit, sans humanité, sans goûter à la tendresse de la cerise des tourterelles.
Familier des chaos, des éclipses et divers apocalypses. Familier des enfers et des tortionnaires, familier des blessures et des meurtrissures. Survivre d’HELL, sans aile, sans elles.
(Ha$htag CON-FE$$E$).
L’égoïsme de se haïr, vanité de se détester. L’horreur a forgé mes erreurs, je ressasse les horreurs, je rabâche mes erreurs, j’en ai fait l’emblème comme un honneur.
Grossière erreur.
L’égoïsme de s’autodétruire, zapper volontairement le reste de la fête pour ne penser qu’à soi-même, infliger sa vengeance et diffuser sa plus féroce virulence. Le vertigineux narcissisme de n’entendre que l’écho pervers provenant des tourments abominables de son passé.
Grossière erreur.
Il semblerait qu’être immobile s’avère davantage sécurisant que d’attraper ces quelques rosiers jonchés d’épines. Rester coincé dans la terreur de me blesser plutôt que d’avancer, préférant l’inaction et l’immobilité, figé. Sécurisant certes mais tellement frustrant.
J’ai longtemps joué avec la fureur de l’excès et j’ai brûlé mes phalanges à de nombreuses reprises.
Avancer, encore et toujours, avancer pour s’infecter, puis mieux comprendre et s’accepter. Trépasser pour mieux écrire et retranscrire.
Mieux guérir et s’inscrire enfin afin de s’y décrire. Seulement me faut-il saisir les parenthèses discrètes qui fustigent entre deux battements d’ailes de papillons fragiles ?
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Le passé est l’empreinte, celle qui imprègne ton présent. Ton présent n’est que l’auteur de ton futur. Le moment présent est celui qui écrit ce qu’il y aura dans ton À-venir ».
« La Beauté de la Nuit fascine, elle séduit, elle invite, elle fait des promesses. Infidèle de Dame Lune, la Nuit génère le Bal et enchante le chaos. Mais la Nuit est un océan de larmes. Elle est maîtresse de l’illusion & du désespoir. La Nuit pleure le sang et l’excès. La Nuit attise les convoitises. Elle enflamme les enchères et trahie les passions. La Nuit déchire la raison et orchestre la Décadence. Elle déchante la saveur des jonquilles d’Éden. La Nuit embrasse le Désir et embrase les prières. La Nuit épouse la débauche démocratique. Anges Désenchanté, voire égarés, nous nous allongeons dans le silence et la souffrance. Oublié des festivités du Royaume des Cieux, nous rêvons du Styx et nous-mêmes pleurons reclus à l’intérieur du Brasier Dantesque. La Nuit pleure également son absence à elle, légère jeune demoiselle perdue à travers mes songes. Avec elle & en elles ».
« Mais qu’est-ce qu’on attend ?! Qu’est-ce qu’on attend pour déchaîner un virulent incendie ? L’immédiate prise de conscience, douleur folle, d’un baiser féroce du brasier ».
« Mourir pour renaître, mourir puis renaître, mourir et renaître. Mourir afin de se renaître. Parfois il faut savoir drainer sa haine, percevoir sa peine et purger la douleur de ses veines. Parfois il faut apprendre de ses méandres, parfois c’est bon d’apprendre à désapprendre ».
« À travers ces nuits gothiques il y a un océan de songes hypnotiques. Vivre dans ces vagues de flammes, vivre au milieu des drames, traquant l’émoi vaginal des jeunes femmes. Chemin de croix, chemin de Foi. Vivre par-delà ces mille ténèbres énigmatiques, visions complexes et perplexes. Vivre ces nuits blanches, dans les affres et les déchiffrages, elles m’ont délivré de l’inconscience. Nuits gothiques, songes hypnotiques. Alors que la masse s’endort paisiblement dans l’obsolescence et la complaisance. Chemin de croix et chemin de Foi. À travers les nuages rougeâtres de l’excès, par-dessus l’ivresse de la colère, j’y transpire à trop en ressentir. Nuits gothiques, songes hypnotiques, il y a l’écrire ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« L’humain est l’architecte de l’enfer, l’éther est sa première déclaration de guerre ».
#VincentBlénetÉcrivain #MatinTransylvanien