Ha$htag CON-F€$$€$
10 nov 2022 par vincent
« Les obsessions trahissent la dévotion, elles transgressent les superstitions aux mille pentagrammes. L’inquisition de religieux blasphématoires déchaîne une vague de flammes contradictoires, les hyènes se ‘déchiennes’ sur Instagram. Les maux-dits balayeront les béni-oui-oui ».
« Le chaos caresse nos ivresses, l’apocalypse enlace nos excès, l’abîme dévisage nos faiblesses, l’éclipse accroît notre solstice ».
« Les religions reniflent la trouille tyrannique lorsque les transgressions épèlent nos prières paranoïaques ainsi que nos affres des désirs. Les hyènes sont sacralisées par le sceau des Godefroy « messianiques », mais les Jacquards technocrates anoblissent l’asservissement aux tartufferies des « Judas ». La gaudriole évasive des monarques n’ont de cesse que d’uriner sur la splendeur des dahlias ».
« Enfants du chaos et des ivresses, l’étreinte de la fin embrase les cendriers aux frais brasiers. Elle gifle l’ardeur de la décrépitude d’une foulée de siècles obsolescents. Enfants des abysses, solstices de l’apocalypse, la poudrière enlace l’amertume de nombreuses prières. Les blasphèmes sont de fougueux manifestes exprimés par les ombres oubliées d’en-bas ».
« ‘Maux-Dits Infer-NO’. La dualité de mes blessures rend la texture de ma signature schizophrénique. Dans ce bal, au milieu de tout ce mal abyssal, j’hésite, je tangue, à savoir si je danse avec les flammes, les drames ou les femmes. En moi-même j’ai l’ivresse du blasphème. J’ai l’hymne rythmique de l’enfer à tue-tête, la frénésie de la vengeance qui sifflote. Le désir orgiaque et la culpabilité effroyable de répondre aux chefs d’accusations énoncés par les « proclamés » monarques. La nuit m’attire, elle me fascine, elle m’invite à m’affranchir vers le vertigineux vide. La lumière m’appelle à croire encore à mes prières, à persister de tenir le chapelet en récitant le mantra et les rosaires, disciplinaires et rigueurs. La lumière m’appelle à vaincre ma noirceur par la froideur des émotions lunaires. Battre le Feu par le feu(XXX). Guérir à mieux en périr. Les éclipses font taire milles apocalypses, les délices nous entraîne mieux vers les précipices. Est-ce que Dieu fait-il exprès d’être sourd ? Dieu fait-il semblant d’être évasif, feinte-t-il à s’emmurer dans un mutisme ? L’insomnie brûle déjà les réponses, bien avant la moindre réflexion. Le silence est atroce, il est un sceau de la sentence, laquelle me plonge vers une obéissance à toutes dégénérescences. Choisir le ciel ou bien les enfers ? Je me terre et j’apprends à bien me taire. Ici-bas règne dans la démence à outrance, cet effarant ‘Apoca’LIP$’ ».
« Douce amante, tendre soleil levant d’un matin Transylvanien. Attrayante libertine. Désirable cabotine dont le sex-appeal est un gourmet, onirisme à l’originel. Elle est l’esquisse d’une exquise, elle s’érige dans la saveur parfumée de chaque jonquilles. Sensuelle immortelle, charmante inconditionnelle. La caresse de cette belle jouvencelle est mon Ciel, un puissant calmant tel un onctueux caramel. Par-delà son regard à l’état de grâce, toi désirable gazelle de l’infidèle, toi prêtresse de mille rebelles, à travers ton émoi vaginal, tu es mon Graal ».
« Je cherche l’amour de Dieu, derrière les yeux d’elles. Je n’ai que le crachat des Cieux, les glaires des Dieux. Là où derrière ces frontières il n’y a pas d’ailes, seulement ‘HELL’ ».
« Nous sommes ces chats noirs à Salem, nous sommes ces maux-dits félins des blasphèmes. L’enfer nous y tend ses bras jusqu’au trépas, les solstices fanent et se meurt, à l’infini dans une ritournelle, folle et éternelle ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Enfants de l’abîme, enfants du chaos. Préludes à l’ivresse, joujoux des gonzesses. Annexe d’un Karma désabusé, dévergondé à l’excès, pervertit et travestis à la guise de leurs églises. Les damnés sont les éternels refusés, les faciles prostituées stigmatisés, les proies lâchées à vos putains démocratisés ».
« Emmuré aux mille enfers, l’air y est hostile voire austère. Emmuré par le caveau vétusté d’un cimetière, ma croix et ma bannière sont la muselière qui asservi, domine et aseptise la conjugaison de mes molaires. Emmuré par l’hiver, enclavé par l’horreur, vous m’avez livré à des cerbères pour mieux m’y faire taire. Ma souffrance n’a de vertu ni de sens qu’à vous ravir, vous divertir. Elle n’a de logique qu’à vous plaire, qu’à vous satisfaire. Interné à jamais dans un cancer ».
« Elles dansent, tendrement, elle a des fesses qui dansent avec nonchalance, elle a des fesses qui groove avec insolence. Délicieusement, sous l’esquisse abondante de ses douces lèvres. Elle a la langue qui valse avec délicatesse dans ma bouche. Lentement, elle tangue de sa délicate langue, en harmonie symphonique avec ma langue, elle dicte la cadence en conjugaison sensuelle et sensorielle avec ma langue. Elle avec moi-même, nous avons nos deux langues qui vacillent dans l’irrévérence, j’aime m’y épanouir, évanoui dans ses plaisirs des sens. Elle. Avec elle et en elles ».
« Amères sont les mêmes enfers, machiavel sont les mêmes femelles. L’humain est un vilain refrain, un quatrain malsain. Les Cieux n’appartiennent qu’à Eux, moi je ne suis rien de moins qu’un miséreux, et les miséreux ne sont pas les bienvenus chez Eux. Amère est ce soupir, mon soupir. Amères sont ces désirs, mes embrasant désirs, des désirs qu’ils ont plongés dans l’éther. L’Éden n’est que pour Eux, ce divin jardin parfumé, pervertit, travestis en gazons maudits. Un jardin brûlé, consumé, défragmenté. Un paradis éternel qui n’est offert qu’à Eux. En bas je reçois leurs crachats pendant qu’ils festoient allègrement là-haut et ici-bas, moi, je me dévisage, j’enrage tournant en cercles dans cette cage. Je ne suis que ce sale gueux, je n’ai de vertu qu’à me qualifier d’honteux. Disqualifié de ceux qu’ils ont jugés d’élogieux. L’amère se conjugue dans l’amertume, je ne suis qu’une éphémère écume. L’humain n’est qu’une rime de versets malsains, Dieu m’en ait témoin, je n’en suis pas un, je n’ai jamais été un ».
« Il est plus courant, voire plus simple, de tutoyer les diables et les divers enfers que d’effleurer l’attention d’un Ciel, afin que Dieu puisse nous prêter oreille ».
« Le temps avance, il s’accélère, toujours plus vite, toujours trop vite, si vif, si incisif. L’horloge s’affole, deviendrait-elle folle ? Le sablier s’écoule, pointilleux, il n’arrête jamais son défilé inexorable, inextricable. Le sablier découle, il énumère mes larmes amères. Le temps avance, lentement mais sûrement, le temps lacère mes remords, chacune de mes prières n’émouvront aucunement cet implacable juge, si froid, si méthodique, trop dogmatique. Le sablier s’achèvera un jour peut-être, les instants ne deviendront que d’éphémères poussières. Les regrets ne seront plus que des cendres amères. Le temps vocifère, il s’accélère ».
« Ces représentants de Dieu qui peuvent être des missionnaires du Diable. Parfois la soutane habille des ânes qui déglinguent de fragiles âmes ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Rue de Verdun, tranchée de l’excès, tranchée du chaos. Là où fines fleurs vaginales bouillonnantes de vénales exigences. Là où jonquilles intimes rimes. Elles, précieuses capricieuses aux parfums éphémères d’innocences monnayables et monnayées. Ces roses gardées entrecroisent quelques ombres desséchées dans la glaciale misère, précarité disciplinaire dont l’aigreur ainsi que l’ardeur y déverse une saveur autoritaire ».
« Marcher par-delà ces mille labyrinthes, incalculables, incontrôlables. S’égarer puis s’abandonner à la vocifération infernale, résonnance brûlante, bouillante d’une prêtrise soumise à leurs traîtrises. Virulents poison nécrosifs à la demande, à l’échéance. Des traîtres attentifs aux prêtres, lesquels garantissent la caresse de la somptueuse prêtresse. Une douce magnificence, une divine charnelle indolence. Charmante amante tarifée. La caresse de la prêtresse contre la promesse de vous vendre corps et âmes à leurs dégénérescence ».
« Marchander avec ces marchands d’âges, marchander la marchandise. Âmes coupables, âmes d’un idéal idéalisé. Une jeunesse qui s’enracine à sa décadence, une jeunesse qui pactise avec ses hantises, une jeunesse qui cherche à fuir son obsolescence ».
« Tutoyer avec aisance et nonchalance la froideur, l’ardeur frénétique des gifles. La simplicité de résoudre les énigmes dans un infernal labyrinthe aux éternels enfers. Pourtant la difficulté, la dure complexité de parvenir à décrypter les codex d’elles. Ne pas comprendre ce qui semble être invisible. Savoir marcher comme un grand sur plusieurs brasiers déchaînés et cependant ignorer la notice pour bien plaire à ces belles. Les ailes ne volent pas à proximité d’HELL. Croix de bois et croix en fer ».
« S’égarer dans la confusion lorsqu’il s’agit d’entamer une conversation avec des caresses. Être ignare lorsqu’il s’agit de bienveillance. Être analphabète en douceur, en harmonieuse paix avec soi-même. Ne parler qu’un langage de violence et de feu(XXX). Les flammes sont une institution, les femmes en sont la perversion. Croix de bois et croix en guerres ».
« Rue de Verdun, là où les démences d’âmes désabusés s’entremêle avec l’apollon bien alcoolisé par son « Game ». Le miroir des narcisses bluffe & marchande la fraîche floraison de quelques « vulnérables » vulves. L’apocalypse embrasse l’hérésie des éclipses, le déclin enlace la morosité des ivresses ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Peindre l’enfer à l’envers. Écrire, décrire et retranscrire divers travers. Des hivers infernaux, mesure d’une démesure à l’exagération. Objectif, leurs cracher mille glaires, à torts et à travers. Faire la guerre derrière les barrières. Haïr la frontière envers cette génération 2.0. Aberration devenue malédiction. Un cancer qui gangrène tel un ver de terre. Une abomination 2.0 laquelle a été forgée de travers, à l’envers, par des boutiquiers de faits divers ».
« La perversion des émotions entache la clarté de toutes journées… Ils n’arrêtent pas de rimer « funèbres » avec ténèbres… Quand pourrions-nous ne plus conjuguer femmes & charmes par drames & flammes ?… Avoir des peurs ou certaines frayeurs c’est avoir un œil tourné vers la lueur. (Laids Nor-MAUX) ».
« Immaculée pasteur, ta blancheur n’éblouit rien d’autre que ta violente laideur. Sombre tricheur, étriqué pisseur dans la nuit. Tu n’as aucune candeur ni même aucune valeur. Tu n’es jamais qu’un freluquet. Tragédien raté, Tragédien foiré. Tes privilèges te sont octroyés par ta voix paternelle. En expérience tu n’es que carences. Petit joueur, amuseur ridicule, lequel travaille dans un sommeil de marmotte retraitée. Sans la vaillance tu n’es qu’une obsolescence. Une vitrine factice dans cette jungle virtuelle. Savanes aux parfums de tourterelles et de minables efféminés. Moi j’avancerai loin lorsque toi petit nain, tu n’es rien et tu resteras à jamais un moins que rien ».
« Il fait froid et noir. Là ici-bas, tout en bas. Dans la marre aux cauchemars il n’y a que des ignares, des criards baignant dans un brutal tintamarre. Des bâtards sans âme, des retardés d’âme. Ces machiavels qui donneront bas à d’autres charognards infantiles, lesquels se titilleront leurs nombrils. Des nouveaux bâtards, 2.0, dans des kermesses à trimards industriels. Ces ignares s’imaginant être des « stars » alors qu’ils ne sont que de piètres ringards, sans fards, avec neurones en retard. Là-bas, toujours aussi bas, il fait toujours aussi froid ».
« Jouvencelles réelles, votre parfum est à l’état de grâce des saveurs intemporelles que sont les jonquilles de l’Éternel. Lys vaginales, vertigineux nectar aphrodisiaque. Olympe de l’inconditionnel émerveillement éphémère. Le sablier s’embrase, l’horloge s’enflamme à l’extase, l’esquisse exquise de caresser votre peau. Dans un crayonné sensuel, tisser les traits attrayants de vos courbes charnelles. Charmantes amantes de l’universel, demoiselles de la nuit virtuelle. Le songe hypnotique, névrotique, m’enlace et la démence m’embrasse. Ici-bas le souffre m’écrase, la réalité me castre. L’unique porte accessible s’ouvre sur la vitrine d’annonces sordides. Amère, mortifère, régulière. L’existence se prolonge, elle s’allonge dans des draps de braises aux pastelles de sang. Innocent ou dément ? Révoltant certainement ».
« La poussière d’ange étiole quelques auréoles, elle isole la trimarderie d’une farandole de Gogols. La malédiction devient un dicton, définition résonnant comme une accusation, laquelle prendra possession d’un sablier incompressible. Un implacable sablier pleurant chaque cendre des trépassés. Des sacrifiés tous immolés après avoir été défénestrés par l’idéal du tribunal, Graal d’un sociétaire cendrier composé de milliers d’oubliés ».
« Tenanciers de la perdition, bradeurs de sensations, Thénardier désaxé. Ici-bas, dans cette foire carcérale, prison de l’infernal, là-bas tout en bas, les trahisons s’habillent à la perfection. Des sous-doués soudoyés, sollicités à faire puis défaire tout et son contraire. Construire, déconstruire, bâtir, rebâtir, à l’endroit puis à l’envers. Déviances et dégénérescences ».
« Autrefois on craignait tous la foudre du reichstag rugissant. Désormais il y’a un déferlent vomissement de hashtag ahurissants, voire aliénants (cons-sommations) ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Ivresse puérile, jeunesse débile.
L’excès s’invite encore. Lascivement les flammes d’un désenchantement caressent régulièrement mon âme.
Pendant que la gangrène humaine savoure la douceur d’une belle chatte.
Pendant que l’Éternel absout leurs caprices…
Cette nuit était un somptueux banquet de péchés. Un Graal de chaos cauchemardesque. L’enivrant parfum, l’envoutante senteur de mal.
L’ivresse autodestructrice, l’orgie sordide incendiaire de désirs suicidaires. L’onctuosité culinaire de damnations à la vie, un feu purificateur contre un feu destructeur. Traquer le goût amer du châtiment plutôt que l’horreur hérétique des sentiments.
Je vois au loin d’elles la lueur du Seigneur…
Elle me murmure que je suis l’erreur. L’erreur du Seigneur. Le parjure de sa conjecture.
Oh oui Dieu TOUT-PUISSANT…
Cette nuit Dieu fût mon dealer. Il m’approvisionna de douleurs et de cataclysme. L’Éden ria de tout cœur avec ce Seigneur tout-puissant. Dieu est mon dealer.
Il jeta le chaos sur la table et j’en ai sniffé mille traces. Puis avec un briquet je m’suis envoyer un shoot de BLASPHÈMES pur dans les veines.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Mon ENFER c’est leurs Paradis à EUX. Ma désespérance est alimentée par leurs espérances. Leurs cruautés n’ont d’égal que leurs « pureté » dominicale.
Mon enfer, préliminaire d’un chaos lascif. Mon père, rosaire d’un beau salaud abusif.
La déraison, la décadence, la sacralisation de toutes déviances, éloges de la dégénérescence, trafic d’influences, marché de la décadence.
Inquisition des émotions, jugement, châtiment des sentiments. Parjure
Caresser divers excès puisque l’excès devient une caresse, la brûlure en est parvenue à une promesse. Traqué par les désirs, persécution de l’espérance, chimérique parfum d’existence.
Hantises de la douleur, écrasée par l’asphyxiante douceur imperceptible. Le temps est silencieux mais les rêves sont génocides. Un vacarme ahurissant d’âmes scarifiées, un insolent brouhaha rugissant de cicatrices cauchemardesques jetées en pâture au lion le plus offrants.
La douleur de l’enfer parfume la douceur du Ciel. Caresses glaciales d’Éden, ivresse infernale d’un horrifique carnaval aux cannibales. Suis-je l’erreur ? Suis-je l’horreur ?!…
Hérétique devint l’erreur, pornographique devient l’horreur.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Pauline, douce morphine. Pauline, trop belle sanguine.
Elle est celle pour laquelle j’ai combattus l’orage et les brasiers de l’Alhambresque. Elle a refusé de considérer mes sentiments comme n’importe quel prétendant ‘humanoïde’.
Je n’étais pas le barman BG à la coupe millimétrée.
Elle est la première fille dont je suis tombé follement amoureux, celle où je vivais à travers l’amour de ses yeux et l’irrépressible envie sulfureuse d’une passion « charn’elle ».
Désir envoûtant de son corps, désir sexuel, plaisirs sensuels à toucher ses courbes, sa peau et sa douce silhouette. Ode à l’onirisme parfumé des Cieux.
J’en suis mort un million de fois.
Pauline, Fantasme irrésistible. Pauline, chimère incompressible.
Je survie, je vivrai sans elle. C’est un enfer de l’oublier. Tendre et chère Pauline Schaeffer.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
La haine me dévore les veines, accumulation de rages, overdose d’injustices. J’ai le feu inquisiteur au bord des lèvres, une fureur incendiaire qui ronge mon attention, elle brûle mes pulsions et mes impulsions.
Comme toutes addictions, comme tous toxicomanes ou vieilles bigotes intégristes, il me faut ma dose, mon shoot, mon fixe, cette endorphine, intime morphine du plaisir.
Chaque nuit j’erre et vaque, je zigzague et je traînaille, j’ai le manque lacérant mes entrailles. Je me frotte à l’excès, à la violence, au chaos dans l’ivresse de libérer cette virulence qui me dévaste, l’addiction d’éjaculer ma fureur et mon incendiaire vengeance. Quelque part je vadrouille aux putes, comme dans un bordel je traque la haine la testostérone dans mes narines. Je tapine la vermine pour jouir de l’haïr, endorphine et morphine du plaisir.
Le sentiment d’insécurité est palpable à fleur de peau, à fleur d’âme, une âme si vive écorchée.
Trop de tourments emmêlés de passions toutes désordonnés, surdosage de désenchantements, de châtiments. J’ai un besoin viscéral d’aboyer, ce féroce dragon vengeur qui désire faire sa promenade d’une heure. Un p’tit shoot de provocation, un fixe de blasphèmes incendiaires, mon héroïne de vengeance et de contre injustice.
Je ne peux pas jouir, je n’ai su que haïr.
Mais j’aimerais tellement jouir avec elles, écrire et déployer mes ailes. Faire pâlir mes adversaires et faire taire mes contestataires. Faire du zèle pour mieux m’éloigner d’HELL.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Toi Pauline Schaeffer pour laquelle je vacille, oui je l’admets je frémis des sourcils et ma vie se suspend sur le fil lorsque tes yeux vers moi sont dociles.
Toi Pauline Schaeffer pour laquelle mon cœur se brise, toi pour laquelle mon âme se calcine et disparaît dans des poussières de brise. Toi qui l’aime sachant qu’il s’est joué de toi.
Toi qui sais déjà que l’amour t’y a souvent pincé les doigts, croix de bois croix de tralala.
Toi Pauline Schaeffer pour laquelle j’ai chaque soir tutoyé l’excès des Enfers, toi Pauline Schaeffer pour laquelle j’ai marché dans le désert. J’ai hurlé, je hurle et je hurlerais que toi Pauline Schaeffer je t’aime. Bien que dans la misère tu sois dans mes prières.
Bien que les rêves aient un goût amer, bien que la tristesse m’ait galochée une éternité entière. Approcher la fin du monde pour te voir me sourire.
Caresser l’apocalypse pour enlacer d’un tendre baiser tes joues.
Effleurer la fin des Temps pour t’entendre me chuchoter quelques mots doux…
(Ha$htag CON-F€$$€$).
L’égoïsme de se haïr, vanité de se détester. L’horreur a forgé mes erreurs, je ressasse les horreurs, je rabâche mes erreurs, j’en ai fait l’emblème comme un honneur.
Grossière erreur.
L’égoïsme de s’autodétruire, zapper volontairement le reste de la fête pour ne penser qu’à soi-même, infliger sa vengeance et diffuser sa plus féroce virulence. Le vertigineux narcissisme de n’entendre que l’écho pervers provenant des tourments abominables de son passé.
Grossière erreur.
Il semblerait qu’être immobile s’avère davantage sécurisant que d’attraper ces quelques rosiers jonché d’épines. Rester coincé dans la terreur de me blesser plutôt que d’avancer, préférant l’inaction et l’immobilité, figé. Sécurisant certes mais tellement frustrant.
J’ai longtemps joué avec la fureur de l’excès et j’ai brûlé mes phalanges à nombreuses reprises.
Avancer, encore et toujours, avancer pour s’infecter puis mieux comprendre et s’accepter. Trépasser pour mieux écrire et retranscrire.
Mieux guérir et s’inscrire enfin afin de s’y décrire. Seulement me faut-il saisir les parenthèses discrètes qui fustigent entre deux battements d’ailes de papillons fragiles.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Combien c’est insolent, voire dégradant…
Ils ont tellement de beauté, de magnificences, de parfums exquis et envoûtants à leurs portées, à leurs narines.
Mais ces p’tits cons arrogants, déviants, gâchent tout. Ils foutent tout par terre dans la gadoue et les méandres marécageux de leurs excès. De leurs frivolités, simulacres de télé-réalité.
Tous ces laids « Nor-MAUX » de gosses sont incapables de mesurer la valeur, la grandeur, la bienfaisance, que la vie leurs offres. Quel gâchis. Quelle offense. Quelle insolence. Sacrilège infâme.
La vie est trop courte pour la dégueulasser de vos excès. Bordel…
Pourquoi vouloir faire un saut vertigineux dans les abîmes infernaux, pourquoi chercher la déchéance, la chute ?
Pourquoi ? Pourquoi ?…
Il y a tellement de belles choses à voir, à ressentir, à découvrir et partager.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
Je caresse sensuellement ses cuisses et j’enlace langoureusement ses fesses, oh Dieu que mon existence missionnaire est faite de purs délices.
Mais qui suis-je ? Nouvel indice ?
J’embrasse avec délicatesse sa peau lisse, j’habille ses seins avec finesse et je hisse son décolleté avec prouesse. Mais qui suis-je ? Encore un indice ?
Je me prélasse sur ses jambes, j’étreins avec allégeance ses hanches et j’embrasse la cambrure si douce de son dos si fragile, je suis l’éternel complice, ce sensuel partenaire qui s’immisce et se glisse, confesseur intime de ses confidences.
Dans l’intimité je suis toute ouïe, j’exerce et je confesse ses sentiments profonds avec grande délicatesse de l’Aube jusqu’au solstice. Mais qui suis-je ? Quelle importance car elle et moi ne faisons qu’un lorsque le soleil éclate et que la journée resplendissent.
Je suis un vêtement, un soutien-gorge, un bas-résille, une culotte.
Je suis un textile aux parfums envoûtants de féminine sensuelle française qui aguiche, voire enivre les narines de ce narrateur timide.
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« L’enfer appelle, il s’égosille à la pelle. Les enfers vocifèrent, ils hurlèrent et exagèrent chaque désir que je ressens envers Pauline Schaeffer. Les arrogants roulèrent tant de pelle. Oh Pauline, chère et tendre amante virtuelle, irrésistible, fantasme irrépressible. La nuit je pleure celle qui a dévastée mon cœur, mon amour s’évapore à travers l’envie dévergondé, libido possédée dans l’amour passionnel éphémère. Sémantique qui se déverse dans la tragique ruelle aux regrets amères ».
« Pour plaire à elle, rien qu’elle, il faille que je me rende jusqu’aux enfers. Pour plaire à ma belle déesse, ma belle jouvencelle, elle qui hante mes émois, elle qui traque mes sentiments et mes désirs les plus coquins. Afin que j’y parvienne, afin qu’enfin je lui « con-fesse » à elle, rien qu’elle, même si la raison est déraison, tant pis, de l’instant qu’elle m’appelle. Si traverser l’éternité est un crayonné de brasiers intemporels, mais avec elle, elle, ma douce charmante amante de l’irrationnel. Si le péché est dans ses bras, si fauter est dans ses courbes, dans ses caresses, ses yeux, avec elle, rien qu’elle, amour sensuel, amour charn’elle, juste avec elle. Alors la sentence n’est pas une potence. Cette condamnation est pour moi la bénédiction du Très-Haut. Si l’enfer est dans ses bras, elle et rien qu’elle, alors l’enfer est un don de Dieu ».
« Les faux-semblants s’assemblent, ils se rassemblent, tous ensembles ils forment l’exemple de nos contre-exemples. Des miroirs brisés, reflets d’âmes désabusées, fragments inversés où ils assemblent leurs versets afin de descendre leurs opposés, « proprement », insidieusement, vertigineusement, indubitablement. Idolâtrant les calembours de pathétiques troubadours ».
« Faire taire ses prières, faire pâlir ses désirs. Silencieux au cœur de leur monastère, seuls les travers de leurs affaires restent prioritaires. L’hérésie est encore populaire. Pauline Schaeffer, si l’enfer est dans tes yeux, l’enfer j’en suis amoureux ».
« Pauline Schaeffer, si l’enfer est dans tes bras, dans tes yeux, dans ton corps, dans tes caresses. Alors l’enfer n’est qu’un ciel, un ciel éternel, l’enfer est un paradis. Avec elle, en elle, jouissance immortelle, plaisirs intemporels ».
« Fleurs tentatrices, de vous voir j’en esquisse suprêmes délices. Fleurs accusatrices, ma « laid’heure » m’en inflige d’extrêmes supplices. Fleurs tentatrices, jolies déesses à l’émerveillement des sens, vertigineuses onirismes du sexe. Quintessence de l’indécence. Fraîches rosées de mes désirs, embrasant plaisirs de l’offense. Fleurs inquisitrices, ma « laid’heure » érige mes cicatrices, ma lourdeur enivre mon impulsive dérive ».
« Le temps avance, il s’accélère. Toujours aussi vif, toujours trop incisif. Le sablier s’écoule, pointilleux, rigoureux. Il n’arrête jamais son défilé inexorable, inextricable. L’horloge s’envole, elle énumère mes larmes amères et mes rongeurs mortifères. Sûrement mais progressivement, le vent m’embrasse et souffle inexorablement un changement. Les siècles vocifèrent, les époques hurlèrent envers chaque révolutionnaire. Aisance à tutoyer plusieurs Diables, complaisance à converser avec divers enfers. Le temps s’accélère, il se déchaîne et fait le tri dans nos amères poussières ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Plaisirs aux corsaires alcoolisés et assez grégaires bien que tartuffes prolétaires, adolescents dépendants du compte bancaire de leurs ‘chers’ pères. ‘Happy Hours’ de haters sur quelques Twitter, selfies giclés à volontés, orgasmes virtualisés narcissiques, porno tarifée sur pentagrammes d’Instagrams. Soumission, allégeance envers des idées arriérées, il faudrait bien déféquer quelques croix gammée à travers la télé-réalité. Tais-toi, branle-toi en silence, barre-toi, Dieu n’aime pas ceux-là qui ne payent pas ».
« Arcs en ciels défigurés, obéissance dénaturée. Croix de bois déguisées en croix de fer facturée. Mœurs imposés. Société structuré dans une défenestration cadencée, folie groupée tyrannique d’une démocratie désaxée. Hérésie à souhait. Pas de joie, pas de voie, aucune voix. Va-t’en parce qu’il n’a aucune place à toi. Barre-toi, le ciel ne t’aime pas ».
« Branle-toi sans elles, sans ailes tu n’es qu’HELL. Les voix infernales des enfers hurlèrent à l’envers tout en bas. Laid’heure à tire larigot autour de vos verres, blessures d’effets mers et beautés éphémères. Branle-toi sans joie, sans émois, sans elles, Dieu ne t’accorderas pas d’ailes, les Cieux ne t’offriront qu’HELL. Ici-bas c’est l’univers à l’envers. Contre-sens, décadences jusqu’à la dégénérescence. Et même si dans désirs sensuels j’y écris ‘elles’, même si dans plaisirs charnels je pense à sa chaire mais je pense à ‘elles’. L’horreur me crache chaque jour sa fureur et ses glaires. J’écris l’enfer à travers mes vers. Pour moi chaque jour est un hiver sévère sous des nuages totalitaires, caressant les gifles de ces brasiers ‘ensoleillés’ ».
« Mon cœur la pleure, quand je jouis je me saigne et je la désire d’une folle ardeur. Elle, elle qui possède des milles et des cents crânes d’ânes, elle qui les cultives en jachères. Dans ma lancée j’ai le sperme amer mais rêveur, je suis le jouet de ma chimère. Le plaisir d’elle y est un supplice entêtant d’HELL. Tel un bélier je fonce tête baissée vers l’erreur, manufacturier de mes horreurs, j’avançais en marche arrière contredisant chacun de mes actes de travers ».
« Quelle est la différence entre la princesse et une déesse ? La princesse sera odieuse et capricieuse, la déesse, elle, elle sera radieuse et talentueuse. Quelle est la quintessence ? La princesse est traîtresse, la déesse est prêtresse, les déesses du sexe incarnent le symbole du désir, elles sont les icônes du plaisir. Quelle est la référence, la révérence ? Si la princesse est une garce finie, la déesse est d’une grâce infinie. La princesse travaillera aux crasseux « Dallas » alors que la déesse sera vénérée dans de somptueux palaces ».
« Observer celle qu’on aime du plus profond de son être et voir qu’elle s’émerveille dans les bras d’un autre. Comprendre qu’elle se fiche éperdument de mon cœur qui verse quelques larmes amères. Mon âme pleure pour elle, le monde peut-être à la fête, tout peut basculer dans un brasier apocalyptique, cela m’est égal parce que je l’aime « Elle ». Parmi ce bal incandescent, dans les cendres de ce carnaval abyssal, mon cœur danse avec insolence dans mes pleurs encore et toujours pour elle. Elle pour qui je ne suis que poussière et néant dérisoire ».
« J’ai essayé de nager vers la surface, je voulais respirer le même air qu’elles. Brûlé par leur soleil, j’ai tutoyé les dagues et les bassesses de leur surface. Sans elles je m’y suis cramé les ailes. Avec ailes et sans elles, ici-bas, tout se passe et s’y trépasse ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« Fourmilière abstraite, elle n’a guère d’autre voix qu’à se taire. Ombres prolétaires, gestes barrières funéraires. Fourmilière cadrée, cervelles lessivées, la fourmilière écervelée en rangs disciplinaires obéi aux plus absurdes prières, divers caprices totalitaires à tort et à travers. Confinés par des ‘Cons-Finement’. La Fourmilière qui déjà marche à l’envers est sommée de buzzer, Tweeter à donf l’éclate génocidaire (génocides-ères). Calcinée, reprogrammée, la fourmilière délaissée doit maintenir la muselière, s’infester au sein de la chaire sous l’exigence sanitaire déguisé en « Gouverne-Ment » tortionnaire, lequel se prend pour « Buzz l’Eclair ». Quitte à subir l’apocalypse, pourquoi pas institutionnaliser voire déifier pour mieux refourguer à coups de billets la sombre pisse qui pue et qui gise aux fond des abysses ? Idéocratie d’idiots sommés de manger les miettes par terre. Illusoire monastère, despotiques presbytères, kermesses gorgées d’éther. Cloîtré dans ma chair, emmurée par ma douleur, sanglé dans l’antichambre des pervers, les ténèbres résonnent comme un virulent tonnerre ».
« Plus il y’a de déserts, plus on peut y implanter l’enfer, tous vos travers comme vertu sanitaire, vendu et revendu comme action bénéficiaire, sanctuaire publicitaire ».
« Voter pour obéir, voter pour abolir, voter pour se taire, dirigeants suicidaires. Rien n’est assez beau qu’un bon alibi médiatique et radiophonique pour maquiller l’assassinat. Vos pervers nous feront encore avaler l’addition de leurs travers. Les affaires sont les affaires ».
« Les affaires virevoltent et s’envoient en l’air tout en chassant notre air. L’enfer devient sanitaire, inquisiteur salutaire. Tartare saveur d’horreur, foire de cinglés, Cauchemars hexagonale en guise de terroir national ».
« La vie est jonchée d’odeurs, qu’elles soient douces ou amères, parfumées ou planteurs. Qu’elles soient exquises ou suffocatrices, les odeurs sont la vie. Sentir c’est vivre. Si vous ne respirez que des odeurs parfumées de jasmins, d’onctuosités satinées de senteurs émerveillés d’un Éden sacralisé, des odeurs commerciales synthétiques et synthétisés. Comment allez-vous apprécier et être perché sur le velours soyeux et lumineux d’un parfum merveilleux si vous-même vous êtes aseptisé et étouffé d’odeurs synthétiques, fabriquées en labos bobos ? Pour savourer l’onctueux parfum doux et poétique, il faut parfois savoir accepter l’odeur de la merde. Plus ça schlingue, plus ça plombe, mille fois mieux en sera la délivrance poétique et fantasmatique d’un spray parfumé des Monts Olympe, même s’il est bon marché ».
« Soutanes écarlates, soutanes acariâtres. Gourous d’ânes, âmes corrompues par d’avilissantes courtisanes, lesquelles n’ont de grâce qu’envers des ânes ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).
« L’ecclésiaste inquisiteur est un emmerdeur accusateur, pinailleur masturbatoire de la dernière heure, véritable usurpateur spirituel, blasphémateur de la première heure ont la Führer de vivre. L’ecclésiaste accusateur exhibent de pauvres « laid’heure ». En bon branle-heure inquisiteur, le prêcheur crame à tout-va se dédouanant par d’hiver prêchi-prêcha afin d’égayer son misérable quart d’heure ». (Hommage à Diane De Poitiers, ainsi qu’à toutes celles dont l’horloge fut sèchement éteint).
« Fraîche rose envoûtante, ta beauté ainsi que l’innocence apparente enivre chacun de mes sens jusqu’à frôler l’indécence. Fraîche rose parfumée, ta vertu de circonstance est un vacarme dans la quintessence aux mille plaisirs oniriques. Ta vertueuse innocence de circonstance ferait pâlir un milliard de désirs, embrasant tous mes cierges d’élixirs. Et voilà que tes cavaliers sont des stratagèmes de barbaries pornographiques, ces rustres analphabètes arrogants n’auront qu’un seul objectif, celui de butiner sauvagement ta douce intimité. Ta pudeur nargue avec insolence mon malheur. Je rêvais tant de respirer l’onctuosité parfumée, la douceur de ta petite « fleur ». Serait-il possible qu’à la place de nous tutoyer, pourrions-nous se vulvoyer ?… Juste elles et moi ?… ‘Vulvoyons-nous’ chères jouvencelles de l’excellence ».
« Mourir pour renaître, mourir puis renaître, mourir et renaître. Mourir afin de se renaître. Parfois il faut savoir drainer sa haine, percevoir sa peine et purger la douleur de ses veines. Parfois il faut apprendre de ses méandres, parfois c’est bon d’apprendre à désapprendre ».
« J’ai traversé divers enfers, de long en large et en travers. J’ai déambulé au cœur de l’horreur, marchant à l’envers à chaque hiver, j’y ai imprimé la psychose de mes nerfs ».
« Oui je suis obsédé par l’ivresse charn’elle, je l’assume et je l’affirme. Mais savez-vous ce que ça fait lorsqu’on est affamé, qu’on a jamais pu manger ni jamais eu l’opportunité de goûter à la tendresse des cerises ? Est-ce que vous avez idée l’effet que ça fait d’être considéré, regardé, comme un enfoiré d’Weinstein alors qu’en vrai on est plus un genre d’Einstein ? L’enfer pervers d’être condamné, d’être privé, d’être frustré d’avoir l’opportunité d’embrasser l’intime éden d’elles. Vaginales demeurent mon Graal, vaginales resteront mon Ciel, littéraire est mon être ».
« Vaginal est mon Graal, vaginal est mon ciel, glacial en est l’Éden. Perdre la raison, tourner de la tête, ivresses vaginales au cœur de la fête. Vaginal est mon Graal, vaginale est mon blâme. La douleur m’enlace, leurs douceurs à l’état de grâce qui m’efface. Excali’Burnes ».
« À travers ces nuits gothiques il y a un océan de songes hypnotiques. Vivre dans ces vagues de flammes, vivre au milieu des drames, traquant l’émoi vaginal des jeunes femmes. Chemin de croix, chemin de Foi. Vivre par-delà ces mille ténèbres énigmatiques, visions complexes et perplexes. Vivre ces nuits blanches, dans les affres et les déchiffrages, elles m’ont délivrées de l’inconscience. Nuits gothiques, songes hypnotiques. Alors que la masse s’endort paisiblement dans une obsolescence et la complaisance. Chemin de croix et chemin de Foi. À travers les nuages rougeâtres de l’excès, par-dessus l’ivresse de la colère, j’y transpire à trop en ressentir. Nuits gothiques, songes hypnotiques, il y a l’écrire ».
(Ha$htag CON-F€$$€$).